En vacances

Je m’appelle Pascal, j’habite à Poitiers, dans le centre-ville. Depuis tout petit, mes parents me faisaient passer l’été à la campagne chez ma tante dans le Gers. C’est un endroit où il y a plus de canard et d’oies que d’habitants. C’était l’été de mes 15 ans dans la fin des années 80.
Arrivant de Poitiers, ça fait du changement : le décor et un accent très prononcé que j’adore. Ma tante et mon oncle m’attendent à la gare. Embrassades, nous rentrons à la maison. Nous discutons, de tout de rien, de l’année passée.

Mes oncles et tantes ont une fille Sandrine, âgée de 2 ans de plus que moi. Mes parents m’envoie chez eux pour être un peu tranquille, pouvoir travailler puis nous rejoignent et passent deux semaines de vacances ici.

Ma tante est très gentille mais ne badine pas avec la discipline. Ma tante a toute autorité sur moi, elle a même l’accord de ma mère s’il fallait me flanquer une fessée.
Parlant de fessée, Sandrine en connait quelque chose. Ses fesses se retrouvent toute rouges avec tout ce qui tombe sous la main de ma tante quand la situation s’impose. Le martinet est suspendu à l’entrée à côté des clés.

Dans la maison voisine, il y a Florence, elle a mon âge et nous jouons souvent ensemble. J’étais très heureux de descendre ici pour la voir elle aussi. A tous les 3 on s’amusait bien.
Le lendemain de mon arrivée, j’étais étonnée de ne pas la voir, elle était au courant de mon arrivée. Avec Sandrine on décide d’aller la voir. On longe le chemin qui mène à leur maison et nous arrivons, on tape à la porte, on dirait qu’il y a quelqu’un, il y a comme un « clac » répétitif dans la maison, une voix lointaine mais personne réponds.

On décide de faire le tour pour aller voir la chambre de Florence. On s’approche de la fenêtre on entends la voix de Florence : « Maman, j’ai pas besoin d’un lavement s’il te plait pas de lavement !  » on perçoit une plainte dans la voix. Sa mère d’un ton décidée lui réponds « Bon si tu ne veux pas avoir une autre fessée, ne commence pas à te plaindre, tu te comportes comme une gamine, tu en paye le prix, allonge toi sur le lit que je prenne ta température. » On se regarde avec Sandrine interloqués, puis on sourit et on est resté voir ce qu’il se passait.

On penche la tête à la fenêtre et on regarde cette scène irréaliste. La mère de Florence est assise sur le lit elle tient un thermomètre dans ses mains. Juste à côté est posé un martinet. Florence est debout au milieu de la chambre, en t-shirt, son jean au pied du lit, sa culotte aux genoux. Elle se dandine vers le lit et retire à contre cœur la culotte qui la gênait pour marcher.
En s’allongeant sur le ventre, j’ai pu apercevoir l’intimité de Florence, j’avais la trique et ma cousine était toute émoustillée elle aussi. Sa mère écarte ses fesses et introduit le thermomètre dans l’anus de Florence. Elle gémit un peu. Sa mère lui enfonce un bon vieux thermomètre à mercure ne laissant dépasser que le bout.

« Bon, tu en a pour 3 minutes, je reviens avec le bock surtout ne touche à rien, sinon gare à tes fesses » dis sa mère en quittant la pièce « Oui maman » soupire Florence. J’en reviens pas, quelle vue : le martinet à servi, dommage que nous ne soyons pas arrivés avant me dis-je. Mais voir ces fesses bien rougies avec le martinet, toute zébrées, des point rouges au bout, pas de doutes. Sa mère n’a pas dû y aller de main morte. Le thermomètre est bien vaseliné et ressort un peu, Florence se le remet comme il faut en l’enfonçant bien, sa mère va croire qu’elle le sort exprès.

Elle cambre un peu ses reins et touche le thermomètre pour le remettre en place juste quand sa mère arrive avec le bock rempli. « Qu’est-ce que tu fais ? » lui demande sa mère. « Je le remets en place ».
Sa mère lui retire le thermomètre « 37,5°C, ça va tu n’as pas de fière, tu n’auras pas de suppo cette fois, soulève tes hanches que je glisse la serviette par dessous. » Florence s’exécute docilement, puis se tourne côté gauche et rabat son genoux vers sa poitrine ce qui laisse bien entrevoir sa vulve à peine poilue. Sa mère badigeonne du lubrifiant sur la canule et tartine son anus. Elle enfonce aussi son doigt. ce qui a pour effet de la faire grimacer. Ensuite elle enfonce la canule et tourne le robinet. L’eau commence à couler. Sa mère tiens fermement le tuyau à la hauteur du robinet. « tu rentre à pas d’heure, malade en plus. » « Je le ferais plus maman, promis, j’ai mal au ventre, arrête s’il te plait. » Sa mère coupe le flot et maintien bin la canule en place. Les crampes sont présentes « Respire bien profondément » dit sa mère, ce qu’elle fit. Puis le flot repart. « Ça va ma chérie ? » demande sa mère. « Si on veut oui » réponds Florence d’une voix réconfortée.
« Très bien ma chérie, ton bock est fini, tu vas le garder 10 minutes et tu fais ce que tu veux, Pascal est arrivé je crois, non ? »

« J’irai le voir un peu plus tard dit elle » dit Florence, elle soulève ses fesses pour garder son lavement sans crampes. La vue est superbe : ses fesses rougies, son sexe de jeune fille bien en vue. En plus elle écarte ses cuisses. Ma cousine m’attrape par l’épaule en faisant signe de me taire. Je n’ose même pas imaginer être vu en train de mâter.

Mon zizi tout dur à casser les planches je suis ma cousine et nous partons discrètement à travers le grand jardin.

Une fois plus loin là où nous pouvons discuter, je n’en reviens pas. Ma cousine est aussi toute émoustillée d’avoir assisté à cette scène puis me demande. « Tu as déjà eu un lavement ? », non répondis-je elle me dit qu’elle en a eu et qu’elle aimait bien ça. C’est la honte mais la sensation est somme toute agréable et qu’elle préfère un lavement à la fessée, surtout de son père. Puis elle me demande si je veux bien en avoir un. Je suis gêné mais lui demande qu’elle doit d’abord me montrer en s’en faisant un.

Elle hésite mais elle accepte. Rendez-vous est pris. Pour le moment, nous allons chercher Florence.
Nous faisons le tour de la maison, attendons un peu et 5 minutes plus tard, nous faisions comme si on n’avait rien vu.

On tape à la porte et la mère de Florence nous ouvre avec un grand sourire.
« Oh Pascal, ça y est, tu es arrivée ? Ça fait plaisir de te voir, comment va tu ? Vous voulez boire quelque chose ?»

« Ca va très bien, et vous ? On passait voir Florence, elle est là ? »

D’une voix lointaine on a pu entendre « Je me douche et je vous rejoins » On se regardait avec Sandrine en souriant, nous buvons un sirop et papotons avec la maman de Florence.
Celle-ci arrive, toute souriante nous proposant d’aller faire un tour au village. J’ai toujours beaucoup aimé Florence et elle aussi, notre attirance était réciproque. Nous avions déjà flirté ensemble et cette année je sentais que ça allait reprendre.
Sandrine propose d’aller à la piscine, sachant très bien que Florence avait ses fesses zébrées mais elle adorait aller nager. Un léger embarras se fait sentir de la part de Florence.
Et sa mère d’ajouter « Florence est rentrée tard hier soir sans nous avertir, elle est rentrée et sentais l’alcool, elle a eu une fessée et un lavement pour nous désobéir, mais la piscine fera du bien à tes fesses » « Maman, s’il te plait ! » Florence était très gênée que sa mère parle ainsi devant moi, encore Sandrine le savait, elle recevait quasiment les mêmes traitements. Je me dégonfle pas et ajoute que maintenant qu’on sait on n’a qu’à y aller.

Décision prise on prend affaires et vélos et direction piscine.

Florence a mis un maillot une pièce assez large aux fesses qu’elle dissimule à l’aide d’un paréo.

Nous plongeons dans l’eau au milieu du monde, et appelons Florence. Elle ne voulait pas venir. Puis à force de persuasion, elle quitte le paréo et plonge rapidement dans la piscine. J’avais les yeux rivés sur ses fesses, elles me faisaient très envie. Je ne sais trop pourquoi mais je trouvais les fessées très excitantes, je me suis rendu compte plus tard que c’était un fantasme très courant.
Dans l’eau je lui demande de me montrer ses fesses, voir si on voyait les marques, ce qu’elle fit de suite, sur les côtés de son maillot on voyait bien les traces des lanières de cuir du martinet, sa mère a dû y aller de bon cœur. Je la rassure en lui disant que ça ne se voyait pas trop, elle sourit. Je lui caresse le dos, je vois qu’elle se laisse faire.

On remonte sur les serviettes pour se faire sécher, je demande aux filles si elles reçoivent beaucoup de fessées. Elles répondirent par l’affirmative. Les parents sont bons amis et ont une même approche de l’éducation de leurs filles. Florence ajoute au moins une fois par semaine, ce que confirme Sandrine. Ma bite commence à faire le chapiteau dans mon maillot, je me tourne sur le ventre et garde l’air décontracté. Les filles ont saisi et ajoutent des détails. Tiens ça fait un moment que je n’ai pas reçu la ceinture de la part de mon père dit Sandrine elle dit cela en rigolant comme si ça lui manquait.
Sandrine dit aussi qu’elle m’avait déjà vu me faire fesser par sa mère et que dans l’été je passais au moins 2 ou 3 fois à me déculotter pour que ma tante s’occupe de mes fesses. Cela a grandement excité Florence qui m’a fait les yeux doux. Je lance que j’aimerais bien voir des 2 filles alignées leurs culottes à leurs genoux en train de se faire fesser.
On se donnait des idées. Sandrine lâche aussi que j’ai jamais reçu de lavement. Je dis que j’aimerais voir d’abord Sandrine en prendre un et peut être ensuite j’en prendrais un à mon tour.
Florence grimaçait un peu à chaque fois qu’elle changeait de position.
Quelques jours plus tard, Florence nous dit de passer à la maison. On arrive et on voit qu’elle avait sorti le bock à lavement. Il trônait sur la table basse. Groups, ça m’intimidait. Florence propose qu’on en fasse un chacun. Ma bite devient toute dure. « Euh vous êtes sures les filles. » dis-je.
« Tu vas voir comment on fait ça, Sandrine je te prépare le bock, tu seras la première » dit Florence. Sandrine sourit. Nous partons à la cuisine préparer le premier bock. Remplissage jusqu’à 2 litres, un peu de bicarbonate et hop, c’est prêt. Sandrine va chercher une serviette de toilettes et reviens dans le salon.

Elle retire sa jupe, descend sa culotte et se positionne sur le côté, elle remonte sa jambe sur sa poitrine, je découvre tout son sexe. J’en peux plus, je casserai des planches avec ma bite. Florence lui introduit la canule sans ménagement. Elle ouvre le robinet. Sandrine fait quelques grimaces, Florence arrête le flot. Puis elle reprend.

Les 2 litres sont passés à ma plus grande stupéfaction, nous discutons de l’ordre de passage, je serai le deuxième, Florence la troisième. Sandrine ne tarde pas pour aller aux toilettes. Florence me demande si je pourrais lui faire son lavement et me fait furtivement un bisou sur la bouche.

On va laver la canule et le bock pour mes préparatifs. Sandrine reviens rhabillée, tout contente de voir mon lavement « C’est moi qui lui donne » dit Sandrine. Ok. Nous allons dans le salon. « Bon allez déshabille toi » Timidement, je déboutonne mon bermuda. Mon caleçon est tendu comme une toile de tente. Ça m’excite beaucoup. « Alors, ça arrive ? » Les filles rigolaient. J’entends chapiteau… Je descends le caleçon et me mets dans la même position que Sandrine. Puis je sens les fesses qui s’écartent et un doigt qui rentre dans mon anus que je contracte illico. Allez il faut te détendre dit Sandrine. Je me relâche un peu et la laisse fouiller mon fondement.

« Ça te fera du bien, tu as de la matière à enlever » dit Sandrine en retirant son doigt vaseliné. Elle va se laver les mains et reviens. Elle prend la canule et je ressens des fesses s’écarter à nouveau. La canule arrive sur mon anus. Puis elle l’enfonce doucement bien profondément.

L’excitation grandie. Arrive le flot d’eau. Je suis agréablement surpris. C’est tout doux, tout chaud. Arrive la première crampe. « Vite, je dois aller aux toilettes » « Mais non » dit Sandrine en coupant le flot « respire bien profondément ça va passer » en effet, ça passe et le lavement continue. Florence s’assoit à côté de ma tête et me caresse les cheveux en me demandant si tout allait bien. Je répondit par l’affirmative et pose une main sur sa cuisse.

Une fois fini je ne m’en était pas rendu compte quand Sandrine « Voilà monsieur dit tout est passé » Je n’en revenais pas. C’était plutôt agréable. Puis je me lève et me rends à mon tour dans les toilettes. Je n’ai pas résisté à m’astiquer un peu quand je me vidait, c’était trop bien. Je n’arrêtais pas de faire caca.

Une fois sorti des toilettes, je dis que j’allais m’occuper du lavement de Florence tout seul. J’étais bien accompagné. Je nettoie et rempli le bock avec 2 litre, 2 cuillères à café de bicarbonate, bien mélangée. Florence relève sa robe d’été et enlève sa culotte pour se mettre sur le dos. « Je préfère comme ça » dit-elle. Puis elle rabat ses jambes sur son torse laissant une vue imprenable sur son jeune sexe. J’attrape le lubrifiant et enduit mon majeur. « Petite cochonne, tu le fait exprès de te mettre comme ça, je te donnerai fessée aussi ! » Florence sourit Sandrine en rajoute un peu en disant « et bien je vais chercher le martinet je sais qu’il est dans l’entrée. » J’introduis mon doigt dans son rectum et ne peut m’empêcher de lui toucher sa vulve qui commence à perler.

Je doigte bien profondément et sent un peu de matière. Cela lui plait à voir son sourire et l’humidité naissante. Sandrine revient et dis qu’elle avait besoin d’être corrigée sérieusement, petite vicieuse. Je calme le jeu et regarde Sandrine en lui disant que c’est moi qui donnerai la fessée à Florence et toi aussi pour impertinence. Sandrine me regarde puis dit « OK c’est toi qui décide »
J’introduis à présent la canule bien au fond, laissant juste apparaitre le robinet, le cul de Florence a comme avalé les 20 cm de canule. Elle ferme ses yeux de plaisir. « Tu es prête ? » dis-je « Vas-y » J’ouvre le robinet. Elle repose les pieds sur le canapé et écarte grand ses jambes. Je suis entouré par ses longues jambes. Je tiens toujours la canule et profite pour lui toucher son intimité offerte. Je regarde Sandrine et lui promet d’être sévère avec elle pour voyeurisme.

Je coupe le flot, tout a l’air de bien aller, je re-ouvre le robinet et le lavement se fini. Elle se dirige à son tour vers les toilettes. Une fois sortie, je tiens le martinet en main et suggère d’aller derrière la maison, à côté du banc de pierre pour leur donner la fessée tant méritée.

On est sorti dans le jardin. Je désigne le banc de pierre. « Aller, maintenant penchez-vous sur le banc. » J’y croyais pas. Elles s’exécutent. Je commence à remonter une jupe, puis l’autre. Cela laisse apparaitre une très belle culotte satin pour Florence et un boxer pour Sandrine. « Une fessée c’est cul nu » expression que sortait ma tante quand elle donnait une fessée, ce que tout le monde connait. J’ordonne aux 2 filles de s’exécuter, ce qu’elles font sur le champ tout en restant penchée. Sandrine descend sa culotte à peine sous ses fesses, Florence elle descend carrément à ses genoux et écarte un peu ses cuisses.

Je saisi l’élastique du boxer de Sandrine et dis qu’elle aura 10 coups de plus pour ne pas avoir descendu comme il faut sa culotte, c’est entre mi-cuisse et les chevilles, pas à la lisière des fesses. J’attribue 40 coups de martinet à Florence pour exhibitionnisme et 40 plus les 10 à Sandrine pour voyeurisme.

Je commence par un tour de chauffe, par quelques petites claques sur ses deux fessiers offerts. Puis je commence par Sandrine. Dix coups pour commencer SLACK, SLACK fait le martinet sur les fesses de Sandrine. « Même pas mal » dit-elle en souriant. Je me mets à portée de Florence et commence à donner le martinet. Elle ferme les yeux, je suis un peu plus doux avec elle, mais reste ferme néanmoins SLACK…SLACK et voilà dix de plus. Elle se contracte un peu à chaque coup puis reviens en place. Au bout de 30, Sandrine se plaint de vouloir faire pipi. « Je te mettrai des couches dans ce cas » dis-je en souriant. J’ai vu qu’il y avait un sourire pas moqueur mais plutôt réfléchi. Puis je lui dis « Après tes 10 coup, tu pourras y aller » Je fini la série pour arriver à 30 sur Florence. Elle écarte bien les jambes, je ne peux m’empêcher de passer la main sur sa vulve qui est toute mouillée. Je recommence avec Sandrine SLACK..SLACK. Elle se relève. Je lui dis de se remettre en position. « Si tu fais pipi sur toi, ce soir tu dors avec des couches comme un bébé, compris ? Je fini avec Florence et après tu pourras te soulager » Je lui ai pas encore dévoilé mes plans. SLACK, SLACK, je ralenti le rythme sur les fesses de florence mais augmente l’intensité des coups. Elle se mordille la lèvre. Je sens que ça lui plait, elle cambre bien ses reins.

Pendant ce temps. Je vois un petit jet de pipi de Sandrine qui a du mal à se retenir mais fait exprès pour voir la suite. Les gouttes tombent sur la culotte et la mouille un peu.
« Bon ce soir tu dormiras en couches aller va y, pisseuse » Elle commence à remonter sa culotte mais je la retient et lui désigne le sol. « Tu pissera ici, tu vas pas remonter je te regarde faire pipi tiens Florence lève-toi et regarde la aussi » Ce qu’elle fait a robe retombe mais elle garde sa culotte aux genoux. Du temps Sandrine soulève sa jupe et se soulage devant nous.

« Allez, tu vas encore prendre 10 coups, mais cette fois tu vas compter et toi florence tu montres ces belles fesses rougie tu te tournes face à l’arbre et tu tiens ta robe bien relevée.  » Elle se remet en position SLACK « Un », SLACK « Deux ». J’appuie bien mes coups, Sandrine ne la mène pas large et se mordille les lèvres. SLACK « CIIInq » elle sanglotait un peu. Florence elle s’est tournée, tiens bien sa robe relevée elle a écarté ses jambes autant que sa culotte aux genoux lui permettait. Je fais une pause pour admirer ce beau fessier et demande.

« Bon il faudrait une couche maintenant, Florence ta mère est pharmacienne, elle doit avoir des couches pour adulte, non ? » Sandrine n’en revenait pas, je mettais à exécution le délire que j’ai eu et ça devenait sérieux. « Mais je veux pas porter de couches » dit Sandrine. Je lui dis que cette fois ci ce sera toléré, mais que la prochaine fois, elle y aura droit. J’en fini avec les coups restants SLACK « Six »… SLACK « Dix »

« Aller va rejoindre Florence pour me montrer tes fesses de pisseuse » Florence, ta mission sera d’aller chercher des couches, il nous en faut à disposition pour que je puisse vous langer au cas où, la nuit ou dans la journée. » « Oui j’en aurai, je sais où elle les mets à la pharmacie. »

Cela fera partie d’une prochaine histoire.

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