Les préparatifs sont effectués (voir article), l’ambiance est posée, maintenant, il faut passer à l’acte.

Voici une version d’une fille soumise.

La punie part du coin et passe chercher la brosse à cheveux dans la salle de bain, s’approche de vous avec son instrument de torture, elle vous la tends et baisse son regard en attendant les instructions.

Elle a des papillons dans le ventre et le fesseur l’elastique du caleçon qui est très étirée. Son fond de culotte commence à être humide. Vous lui demandez de se pencher sur la table, de bien allonger sa poitrine et d’attraper les bords de la table. Posez la brosses sous ses yeux, afin qu’elle sache quand elle sera fessée avec cet instrument.

Les fesses son bien offerte. Vous vous placer à bonne distance, poser votre main correctrice sur ces fesses si bien exposée en attente de la sentence.

La main commence à caresser la croupe ainsi tendue.

Puis se relève et commence à claquer en douceur. La fessée doit durer dans le temps, inutile de s’acharner de suite, plus c’est long plus c’est bon.

Ca commence par une série bien espacée dans le temps, bien alterner chaque globe fessier.

Ne pas hésiter de profiter du contact de la main pour caresser un peu l’entrejambe, la punie n’en sera que plus stimulée.

Au bout d’une vingtaine de claques modérement appuyée, l’excitation doit produire son effet, une tâche humide devrait apparaitre sur le fond de culotte, s’il faut plaquer le fond sur la vulve et caressez avec conviction, ça doit marcher.

La culotte est encore en place, normalement les cuisses on du naturellement s’écarter laissant une vue plus large sur cette croupe offerte.

Le plaisir indui par la fessée doit agir sur les 2 partenaires, peu importe de le sexe du couple fesseur – puni(e), ça mouille et ça bande, pas de secret 🙂 après tout on est là pour ça non ?

Pour continuer, il faut tirer la culotte bien à l’intérieur de la raie des fesses, c’est pas forcement très agréable pour la punie, mais le frottement risque de provoquer plus d’humidité. Continuer à claquer avec la main. Quand vous sentez qu’elle mouille n’hésiter pas à lui parler, ce discours est essentiel à l’ambiance.

Rappelez lui oh combien elle a mérité cette punition, faite lui dire, faite lui compter les coups à voix haute. Elle mouille, OK, traitez la de salope, elle aimera sûrement, tout dépendra de comment ça lui aura été dis.

Si la fessée est bonne et commence bien, ses cuisses se sont naturellement écartées. Les fesses commencent à afficher une couleur rosée.

Continuer à claquer, sentir comment votre partenaire réagi tout long des claques, un dialogue peut s’installer, comme un silence peut être imposé. On commence  à se diriger vers l’autre partie la fessée cul nu, la brosse ou tout autre instrument comme la raquette de ping pong, spatule, martinet ou autre ceinture.

Pour la punition d’un sujet récalcitran, un article sera proposé plus tard.

La fessée marque ainsi une pose, il est temps de déculotter le derrère de cette punie, cette partie aura tout un chapitre consacré car le sulet est vaste et très exitant.

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