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Je passe du temps avec mon fils, je joue avec lui, toujours un grand plaisir.
Alors que lui deviens propre, c’est moi qui prends le contre pas en remettant des couches.
Ça y est mon mari arrive.

Paul, mon fils accourt vers Laurent mon mari.
Il me fait un bisou, et comme d’habitude, se lave les mains, se décontracte et demande si ma journée s’est bien passée.
Je trouve une occupation pour mon fils. Profitant de ce moment je m’installe à côté de Laurent.
Je lui dit que j’ai passé une journée assez normale et lui demande pour la sienne. La routine pour lui.
Puis commence à lui dire que j’ai été une petite cochonne, j’ai mouillé ma culotte au sens propre et au figuré.
Il me regarde interloqué mais amusé.
« Tu mouille ta culotte en pensant a moi ? » dit il avec le sourire.
« Ouiiii mon amour » je crois qu’il n’avait pas compris la subtilité. Il me fallait être plus fine.
« Je me suis même fait pipi dessus, depuis mes fesses jusqu’au coussin de la chaise de mon bureau était mouillé. »
Ça avait l’air de l’amuser. Il m’enlace mais ne remarque pas encore ma couche.
Mon fils arrive et demande à aller aux toilettes, Laurent le guide sur le pot.
Paul a l’habitude comme tous les enfants de son âge à tout répéter, nous faisons attention à ce que nous disons.
Mon mari reviens et me dit en toute discrétion, qu’il faudrait qu’il me mette une couche si je fais pipi dans ma culotte à nouveau, il va falloir aussi t’apprendre la propreté.
Il ne pensait pas si bien dire. J’en attendais pas moins, ça me rassurait. Je le prends dans mes bras et lui dit à l’oreille que j’ai déjà pris les devants.
Il descend ses mains le long de mes hanches et arrive sur mes hanches et sent le crépitement du plastique de ma couche.
Il me pétri les fesses comme d’habitude et me dit que j’étais vraiment très surprenante.
Je sentais son cœur battre très fort, sa bite montait. C’était valorisant.
Il était très curieux et descend sa tête à mon nombril, s’assure que Paul n’est pas là, on sait jamais et soulève ma jupe.
On dirait un gamin a qui on offre un jouet, un grand sourire en disait long sur ses émotions.
Il touchait, sans cesse, l’épaisseur et le plastique le fascinait. Il baissait ma culotte qui était un peu distendue par l’épaisseur inhabituelle.
Moi aussi, j’adorai la sensation procurée par ses mains à travers cette couche.
J’ai pas encore fait pipi, mais sa demande est expresse. Ça devrait pas tarder.
Il était très content et s’est rapidement pris au jeu. Il m’a fait dire que je méritais une bonne fessée parce qu’une grande fille se doit d’être propre.
Ce soir je pense que nous allions bien nous amuser.
Nous nous asseyons sur le canapé, enlacés.
Puis je me lève m’assoit l’entre jambe sur sa cuisse. Il passe ses mains sur ma couche et la je lui dit que je me soulage.
C’est un peu difficile au début, je ne suis pas habitué du tout. Après un bref moment, je commence à me laisser aller, le flot d’urine commence à couler, je sent que ça fait tout chaud sous mon pubis.
Laurent n’en perds pas une miette. Il continue de caresser le plastique avec enthousiasme.
Il me propose de prendre un apéritif, deux bières au programme, le petit cochon, je le vois venir. Je lui propose de mettre une couche ce qu’il accepte me disant que j’aurais dû le faire avant.
Paul arrive et nous le faisons manger, nous gagnerons en tranquillité, du temps j’explique où est la paquet à mon mari qui s’empresse d’aller chercher.
Nous nous occupons de Paul jusqu’à ce qu’il s’endorme, la soirée peut commencer.
Paul sort deux couches et je le fait allonger tout nu sur le canapé, on ne peut pas se tromper, ça l’excite beaucoup, son membre tout raide fait honneur.
Je lui glisse la couche sous ses fesses, l’ajuste un peu et avale un peu de son membre tout frétillant alors qu’il me pétri les fesses à travers la couche mouillée.
Je rabat l’avant et fixe les adhésifs. Je ne peux m’empêcher de toucher sa verge à travers la molicare tout juste fixée.
C’est à mon tour, je retire mon peignoir, Il me fait mettre sur le dos allongé sur le canapé.
Je plie un peu mes genoux et écarte mes cuisses, laissant une belle vue sur ma couche mouillée.
Il défait les adhésifs et passe délicatement sa main sur ma vulve me faisant remarquer que celle ci méritait d’être bien entretenue, en d’autres termes je vais devoir épiler ma chatte, ce que je fais de temps en temps pour mon plaisir.
Il attrape des lingettes et me nettoie avec beaucoup d’attention. Puis il me demande de me retourner  et de soulever mes fesses.
Me voila exposée et toute soumise à son bon vouloir, il sort un thermomètre, lui mets un peu de lubrifiant et me l’introduit au plus profond qu’il est possible, il tient bien le thermomètre le faisant un peu coulisser et tourner dans mon anneau. Arrive le bip, il le sort et me dit qu’il faut confirmer cela, les 37,2°C remets à zéro et ca repart dans mon rectum. Ma chatte montre quelques signes d’humidité avancée ce qu’il teste en palpant avec sa main, ça m’excite d’autant plus. Il me confirme ma température.
Me voila toujours sur mes avants bras et mes genoux, les fesses bien en l’air et exposée, j’ai ordre de ne pas bouger, il part vérifier si notre garçon dort bien.
Il reviens avec une ceinture à la main cela dessine ma fessée à venir. Il commence par me donner des petites tapes, espacée pour commencer puis de plus en plus fréquentes. Des moments de repos où il vérifie l’état de ma chatte.
La suite dans le prochain épisode.