Complicités médicales

Fiction, L’histoire de  deux jeunes filles travaillant dans un hopital.

Soumission, lesbiennes…

Je suis Karine, docteur fraichement sortie des études je travaille au service des urgences dans un hopital.

Le  travail me plait beaucoup, le travail est dur mais passsionnant, j’arrive a avoir du temps libre pour mes activité.

Tout le personnel est vraiment très sympathique, mon intégration s’est très bien passée. Des aides soignantes aux autres médecins urgentistes, tout le monde s’est montré très accueillant.

J’adore bosser dans cet hopital, j’ai remarqué une infirmière très charmante, très douce et gentille, j’ai le sentiment qu’elle est lesbienne, elle a des attitudes que je connais d’une amie à moi, je fréquentes un certain milieu lesbien et gay, je commence à bien les connaitre.

Je ne suis pas lesbienne mais me suis laissé tenté à plusieurs reprises par l’attention et la douceur d’une relation avec une autre fille.

Cette fille c’est Pauline, une infirmière, toujours souriante, j’adorais sa joie de vivre son dynamisme.

Un jour je découvre qu’elle regardait un petit film dans lequel une jeune fille habillée en écolière se faisait fesser par son principal, elle faisait cela très discrètement sur son poste.

D’autres jours elle regardait un film plutôt érotique que porno avec des jeunes filles.

J’arrivait à voir cela discretement, elle restait très pro, toujours présente quand on la sollicitais.

Cela me troubait un peu et me faisait mouiller ma culotte de temps à autre. Ses films me donnaient chaud et une envie de porter mes mains dans ma culotte.

Un jour lors d’une intervention elle accumulait les petites bourdes, sans gravité pour le patient que je traitais, mais elle aurait dû faire beaucoup mieux son travail.

Après que l’intervention fût finie, elle passe me voir et s’excusa de tant de maladresse et de négligences. Pour moi elle était toute excusée. Nous étions que toutes les deux et j’ai eu un éclair de ses petits films.

Sans ambition de la faire chanter, je me hazardais sur un terrain peu familier et lui dit.

« Pauline votre attitude n’a pas été exemplaire, le comportement dont vous avez fait part ne sera pas relaté mais vous méritez tout de même une fessée si ça ne tenais qu’à moi »

Elle a ouvert de grands yeux et n’a pas laissé de blanc pour me répondre : « Oui docteur je la mérite, je me tiens à votre disposition après mon service. Il y a une petite salle de service derrière la pharmacie, je peux vous y ammenez si vous connaissez pas »

« OK Pauline je compte sur vous… » Pauline ne laissait aucun doutes sur sa volonté d’être fessée voir dominée.

Je restais clouée sur ma chaise ne sachant pas vraiment s’il s’agissait de lard ou de cochon.

La journée se fini et Pauline passe me chercher. Chemin faisant nous parlions de la journée comme si de rien était. Arrivé derrière la pharmacie, elle sort un trousseau de clé et ouvre la porte d’un local servant de stockage, elle allume la lumière et nous rentrons, il y a un vieu bureau, plusieurs chaises, des pieds a sérums et une vieille table d’examens.

Je ferme la porte et la regarde preant un air sérieux.

« Votre attitude Pauline n’a pas été exemplaire, j’ai été habituée à mieux. Savez vous ce que vous méritez ? »

« Oui madame, je mérite une fessée »

Je me dégonfle pas et continue comme ça me laissant entrainer dans l’excitation du moment.

« Je vais vous donner une leçon que vous n’aller pas oublier, celle-ci sera exemplaire »

Je tire une chaise au milieu de la pièce, me dirige vers elle et l’attrape par l’oreille, la traitant de vilaine petite gamine qui va recevoir le traitement qu’elle mérite. Elle se laisse faire avec un certain plaisir non dissimulé.

Je la tire pour qu’elle se penche sur la chaise, elle n’offre quasiment pas de résistance, juste celle du jeu de rôle. Je soulève sa jupe et découvre ainsi qu’elle porte un string, les fesses sont offertes, reste plus qu’à s’en occuper.

Les claques commencent à arriver « PAN », « PAN »…. après une dizaine, je commence a appuyer un peu plus chacun de mes coups. Une fesses, puis l’autre, méthodiquement, elle commence à chouiner. J’arrête et lui fait remarquer que sa culotte n’est pas reglementaire à mon gout, les strings ne seront plus tolérés quand elle travaillera avec elle.

« Oui Karine » me dit elle

« CLAC » « CLAC » deux claques rapides et appuyées tombent.

« On dit oui docteur »

« Oui docteur » reprit elle

Sur ces paroles, je le descent jusqu’à ses genoux et lui demande d’écarter ses cuisses pour le maintenir tendu. Elle s’execute et en profite pour bien se cambrer et m’offrir ses fesses.

Je continue de fesser ce postérieur offert ainsi. Ma culotte se mouille, ma chatte deviens très humide au fur et à mesure que le fessées continue.

Je fait des pauses de temps en temps, laissant ainsi durer le plaisir.

Je porte à présent des fessées très appuyées à un rythme assez lent. Ma main reste sur la fesses claquée, je ressent toute la chaleur qui remonte. Je glisse mes doigts vers sa vulve. Celle ci est completement trempée et son leger tortillement des hanches ne laissent aucun doutes sur son désir.

Je recule un peu et j’admire le travail. Les fesses de Pauline sont très rouges, ma main aussi.

Le sermont continue. Elle commence à lever sa tête.

« Reste en position, je ne t’ai pas dit de bouger » Lui dis-je en lui tirant les cheveux pour la maintenir en position. J’en profite pour lui mettres tois claques bien appuyées supplementaires.

« Je devrai prendre ta température, tu es toute trempée va chercher un thermomètre »

« Oui docteur »

Elle remonte son string et s’en va chercher un thermomètre, elle mets du temps et reviens avec un thermomètre auriculaire.

« Je sais qu’il n’y a plus de thermomètre à mercure, mais cela n’empechera pas d’en trouver, demain à la fin du service, je vais finir votre punition vous etes en charge de ramener un thermomètre digne de ce nom »

« Allez au piquet dans le coin pour le moment »

Je me diige vers le bureau et m’installe pendant qu’elle se dirige dans le coin.

 » Remontez votre jupe, baissez votre string, face au mur les mains sur la tête. Il faut vraiment tout vous dire ! »

Je vais derrière elle et lui remets 2 bonnes fessées.

« Merci docteur, j’ai bien compris ma leçon »

Je repart m’installer au bureau et admire cette croupe toute rougie, j’y suis allée fort mais elle a appréciée.

« Cette punition n’est pas finie ma chère, vous allez devenir une petite fille qui dès qu’elle n’est pas sage recevra une bonne leçon.Vous commencerez par acheter un culotte type petit bateau, une grande culotte en coton blanc comme vous n’en avez pas, vous vous croyez grande mais je vais vous éduquer. Il faudra aussi que vous trouviez un thermomètre pour que je puisse prendre votre température, vous le porterez sur vous pour que je puisse vérifier à n’importe quel moment de la journée. »

Je me dirige vers elle, lui touche les fesses et lui demande de se retourner, elle a des petites larmes aux yeux et regarde ses chaussures. Je la prends dans mes bras et la rassure.

« Vous avez raison docteur, je mérite d’être corrigée merci. »

Je sentais qu’elle aimait bien. Nous partimes comme si de rien n’était.

Arrivé à la maison, j’ai sorti mon jack rabbit que j’avais plus trop utilisé et j’ai joué en pensant à ce qui vient de se passer. J’ai vraiment eu beaucoup de plaisir, à plusieurs reprises.

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