Après un déménagement professionnel, Sandy une fille de 27 ans se retrouve chez sa tante qui l’a invitée pour avoir le temps de trouver un appartement.
Tante Janette, une très belle femme de 43 ans a deux filles de 21 ans mais ne badine pas avec la discipline à la maison.
Elle prends du bon temps avec ses cousines de 21 ans. Mais néglige d’avertir sa tante…
Ceci est une histoire vraie d’une jeune fille appelée Sandy qui s’est déroulée il y a quelques années.
J’avais 27 ans et j’ai deménégé l’été dernier. J’avais la chance d’avoir ma tante dans cette nouvelle ville, elle me permit de me loger du temps de me trouver un bon logement. Tante Janette a deux filles jumelles Donna et Darla qui vont à la fac et habitent toujours à la maison. Malgré leur 21 ans respectifs elle sont toutes les deux fessée quand elles se comportent mal. J’ai toujours eu une attirance pour la fessée (comme tous le monde) et j’étais vraiment intriguée de savoir que mes cousine avaient leur derrière rougi quand une d’elle fait des siennes. J’étais également anxieuse à l’idée d’entendre une session de fessée de l’une d’entre elles. Ma tante sait que je n’ai jamais été féssée à la maison pour mon éducation ni pas ma mère, ni par mon père (son frère) ainsi je n’ai jamais été menacée de fessée quand je suis arrivée.
Ma tante Janette a 43 ans mais parait 15 de moins, très charmante et de belle allure, elle ressemble plus à la soeur ainée qu’à la mère de ses filles. Elle a beaucoup d’humour et d’amour à donner mais les filles savents qu’à la moindre incartade les fesses déculottées connaissent le pouvoir de la cuillère en bois ou la petite planche à découper. Depuis une semaine que je suis arrivée Darla a reçu juste une fessée quand j’étais absente et j’en ai entendu parler plus tard. Donna se préserve beaucoup et elles font des efforts pour ne pas se retrouver en position d’être punies déculottées car la cuillère en bois fait mal et je vous expliquerai pourquoi.
Vendredi dernier nous sommes allé en boite avec mes deux cousines lancées pour rentrer tard. Il devait être 2 heure du matin, l’heure maximale autorisée alors qu’elles voulaient rentrer. Je répond que leur mère savait où nous sommes et qu’il n’est pas grave si on rentre une peu en retard à la maison. Je ne voulais pas appeller à la maison de peur de réveiller Janette mais c’était une connerie, en fait elle était debout et s’inquiétais de là où ses filles et moi étions. Quand nous sommes arrivée vers 3 heures à la maison elle n’était pas contente mais très calme, elle dit qu’elle était contente de voir que rien nous était arrivé et qu’elle s’inquietais pour nous. Elle nous dit que nous ferions mieux d’aller nous coucher et parler de cela demain matin.
Alors que je me lève ce samedi il etait presque midi, mes cousine etaient debout depuis un bon moment. Elle me disent que Janette a eu une longue conversation avec elle et qu’une fessée s’imposait parce qu’elle étaient rentrées au dela de 2 heures du matin. J’étais vraiment dérangée par cela et je me décide à aller voir ma tante qui était prête à aller faire du shopping pour lui dire que c’était de ma faute et que les filles ne devraient pas être punies parce que je leur ai dit que tout était OK. Sur ces mots elle prends son air sévère et me rapelle que ce que j’ai fait n’était pas bien et que je pourrais moi aussi être fessée. Alors qu’elle m’annonce ma fessée, je ressent differentes émotions me parcourir : peur, excitation, gène, stupéfaite et surtout je vais assouvir mon désir d’être fessée. Alors que je refais surface après un blanc j’avale la pilulle et dis que je me sentirai mal si les filles sont punie alors que j’en suis reponsable et annonce nerveusement que je dois recevoir la même punition ! Ma tante répondit que la fessée sera sévère, probablement 30 claques ou plus de la planchette (paddle). J’avale à nouveau la pilule et accepte si elle pense que c’est mérité. Elle annonce qu’elle sera de retour dans 4 heures et que les fessées seront données à ce moment là.
Dans les heures suivantes, j’étais vraiment nerveuse et j’essayait de m’occuper dans la maison. Je dis à mes cousines que j’avais acceptée à être fessée moi aussi parce que je me sentais coupable pour les porblèmes que je leur ai causés. Elles trouvent que c’est une noble décision mais est ce que je me suis posé la question de la douleur infligée par la fessée avec la paddle de ma tante.
Alors qua Janette revient moins de 4 heures plus tard, elle nous interpelle pour venir dans le salon. Quand nous arrivâmes, Janette se tenait debout avec la planchette dans sa main, j’avais très peur et devenais très nerveuse. Elle nous rapelle juste que nous savons pourquoi nous allons être fessée. Elle annonce à Donna baisser son jean, de se déculotter et de se pencher sur le dossier du canapé. Alors que Donna s’était exécutée ma tante commence la fessée. J’étais en trance de voir les claques cuisantes tomber sur le postérieur de Donna sachant que j’allais être la suivante.
Au bout de dix coups Janette marque une pause et permet à l’actuelle punie de se frotter mes fesses. Elle se toune vers moi et me demande de retirer mon leggin et ma culotte et me mettre en position penchée sur le dossier du canapé.
Alora ma tante se mit à battre mes fesses avec sa planchette, ma fessée commence à peine que j’ai l’impression que l’on me brûle les fesses avec un fer à repasser. Je n’ai jamais ressenti une telle douleur c’était trop ! Quand elle eu fini avec mes 10 coups, c’est au tour de Darla de présenter ses fesses nues pour recevoir ses 10 claques de paddle, mon esprit était vide et tourné vers mes pauvres fesses je commence à masser mes fesses meurtries. Alors que je me remets de mes émotions, Donna venait de prendre sa deuxième tournée de 10 coups, je me repositionne avec beaucoup de réticence pour mes dix prochaines tapes. Ces dernières m’arrachent quelques pleurs et un postérieur qui fait mal. Après que Donna eu recu sa deuxième tounée nous retirons définitivement nos bas, la culotte reste à nos chevilles. Nous sommes placées toutes les trois face à la bibliothèque avec nos mains sur la tête les fesses rougies et douloureuses à l’air. J’étais soulagée de cette pause malgré le côté humiliant avant les derniers 10 coups, la douleur était vraiment très forte. Tante Janette nous demande si à l’avenir nous allons ignorer la permission imposée dans lefoyer. Nous répondont à l’unisson “Non , Maman .” Elle passe derrière nous et nous met 4 claques sur chaques fesse alors que l’on se contorsionne pour amoindrir ces claques cuisantes qui commencent à devenir insupportable. Je n’arrive plus à retenir mes larmes. Pour les 2 derniers coups restant, elle nous demande de nous pencher en avant et toucher nos pieds, alors que nos fesses sont bien tendues elle vient applatir la planchette sur ces fesses rouges de toute ses forces en rappelant ce qu’il arrive quand on désobei aus règles de la maison. Une fois fini, nous nous rehabillons.
Tout ce que je dis quand je pense à cette fessée que j’ai eu il y a une semaine c’est “AIE”, whaou la fessée fait vraiment très mal !!! Mon fessier se remet à peine de cette magistrale fessée. J’ai caressé mon fessier toute la semaine. Une fessée comme celle-ci vous fait prendre conscience d’une partie de votre corps. J’ai ressenti la présence de mes fesses toute la semaine.
Cela a reveillé autre chose en moi, alors que je me caressait les fesses dans mon lit allongée sur le ventre, mes doigts furent attirés par ma vulve, je carraissait mon anus puis ma vulve. Je me retourne sur le dos pour sentir mon derrière encore cuisant. Cela m’a fortement excitée. Je me cambrais et frottais mes fesses endolories sur le lit, la douleur était transformée en excitation. Mamain gauche petrissait mes fesses et mon anus alors que la main droite etait occupée avec mon clito et ma vulve. C’était dantesque !
J’espère que je n’aurai plus à gouter aux fessées de ma tante. Mais je prends toujours beaucoup de plaisir en repensant à ce moment particulier de ma vie.