La honte des ados

Traduction libre d’une histoire de experience project

Story from http://www.experienceproject.com/stories/Was-Spanked-In-My-Teen-Years/1795327

Après avoir lu un article posté par une adolescente élevée dans un famille très religieuse et repensé à des souvenirs de fessées. Recement j’ai su que ma nièce de 15 ans avait reçu une fessée de ma soeur. Je lui ai demandé comment ell s’y est prise. Elle m’a décrit la fessée de sa fille presque comme nous étions fessées quand on été ados, en travers des genoux (OTK) et à la brosse à cheveux, mais elle ajoute qu’elle ne l’a pas déculottée parce qu’il y avait son père et son frère.

Après quelques verres de vin, ma soeur et moi nous sommes souvenu comment nous étions fessées et je soutenais le fait qu’elle fesse sa fille avec sa culotte que je suis encore génée des souvenirs de fessée cul nu plus spécialement devant d’autres personnes. Ma soeur approuve alors que nous partagions ces moments.

Je suis de nature timide (vous pouvez me croire ou pas 🙂 et notre église prêchait pour la pudeur et insistait pour les filles. Tout cela ne tenait plus lorsque qu’il arrivait le moment de la fessée. Quand j’étais jeune, j’étais plutôt inquiète de la douleur procurée mais plus grande j’étais plus inquiète par le degré de honte de la « routine de la fessée déculottée ».

Nos parent consideraient notre embarras comme faisant « partie de la punition » et notre mère apportait un soin tout particulier à nous faire honte le plus possible au moment de la fessée. Elle croyait que la fessée en public – relations, famille, amis, voisins etc était le moyen de nous donner une bonne leçon et ainsi montrer à notre église et au pasteur, amis… qu’ils étaient de bons parents.

J’en rougi encore et fremis encore du souvenir de ma mère qui me dénude le derrière alors que j’étais en pleine puberté. Je me sentais honteuse devant tout le monde qui allait assiter à ma fessée. Ma mère employait differentes méthode pour nous déculotter, mais la plupart du temps, elle le faisait elle même.

Mon père lui nous descendait rapidement le jean et culotte d’un geste rapide ou nous demandait de nous déculotter alors qu’il retirait sa ceinture, alors que ma mère nous plaçait au centre de la pièce, les mains sur la tête. Si nous portions de jupes elle defaisait les boutons au la fermeture éclair et nous la retirait. Si nous portions des jean nous retirions les chaussure puis devions nous même retirer le pantalon.

Puis elle nous faisait une sorte de questions – réponses où nous finnissons par devoir admettre que nous avions mal agit et que nous méritions d’être fessée. Je détestais cette partie parce qu’en plus de la honte d’être juste en culotte je devais dire dire le mot « fessée » mais j’étais encore plus consciente que ma culotte allait être baissée devant tout le monde 🙁

Comme la fois où j’ai été fessée dans la maison de ma tante. Ma tante, son mari et ma jeune cousine étaient témoins de cette scène de ma mère retirant ma jupe et que je devait admettre de recevoir une bonne fessée.

Toujours les mains sur la tête je fermais mes yeux alors que je sentais ma mère toucher ma culotte, je rougissait immédiatement et me lamentais « Non maman, s’il te plait » alors que je sentais ma culotte de coton blanc glisser de mes fesses en train de se dénuder, passer en dessous de mes genoux pour finir par tomber à mes chevilles. Je sentais l’air frais passer sur mes fesses et mon pubis exposé à tous les regards. La culotte restait rarement à mes cheville et ma mère la retirait complètement.

C’était tout ce que j’avais le droit de faire : garder les mains sur la tête alors que je voulais désespérement cacher mon pubis. J’étais consciente de mon exposition de ces premiers poils sur mon triangle comme de mes fesses qui prenaient des formes.

Tout ce que je sentait c’était ces regards sur mon corps à moitié dénudé alors que j’observais tout autour de moi ces petits sourires des adulte alors que ma cousine restait bouche bée.

Si seulement ma mère nous tirait et fessait mais c’etait pire que ça. Alors que j’etais toujours cul nu ma mère me gronde une dernière fois et donne la sentance. D’habitude c’est une petite fessée à la main suivie d’une séance de brosse à cheveux ou de cuillère en bois.

Quand j’avais à peine 10 ans, je suppliais, je pleurais, tapais des pieds j’étais en panique. Alors que je grandissait, cela aggravait ma honte d’être exposée et j’ai appris à me mettre nue devant tout le monde sans me plaindre pour ne pas aggraver mon embarras.

Ma mère pour continuer la gêne jusqu’au bout m’envoie chercher la cuillère en bois dans la cuisine ou la brosse dans la chambre. Même si je dois attendre longtemps avant d’être fessée ma mère ne va jamais chercher l’instrument elle même, elle m’envoie le chercher. Ce qui signifie que j’ai dû aller chercher la cuillère en bois dans la cuisine.

Voici la situation, 13 ans en train de marcher complètement dénudée en bas alors que les gens regardent mes fesses en partant et mon sexe en revenant les larmes, gémissant aux yeux préparant le spectacle que j’allais offrir avec ma fessée.

Bien entendu, la honte initiale d’exposer mes parties génitales sera bien pire quand je serai sur les genoux de ma mère, criant et me débattant sous les coup douloureux de la cuillère en bois. Je le sait en ayant vu ma soeur (et d’autres) fessée combien nous montrons notre intimité alors que nous écartons les cuisses pour nous débattre contre la flamme qui chauffe nos fesses. Honnêtment au début je pense à serrer mes cuisses mais après seulement six coup de cuillère intenses, j’oublie tous ce qui me regardent et me concentre et hurle de mes fesses nues en train de rôtir.

Nous avons souvent été traitées comme cela pendant tout le collège et le lycée. Alors que nous continuons à boire ce chablis, nous parlions de l’augmentation de la honte avec l’age. « Pense à tous les gens qui ont vu notre toison ! » Ma soeur alors que nous nous rappelons des nombreuses déculotée devant du « public ».

a soeu me dit qu’elle pense que d’être fessée devant nos cousins mais je me rapelle d’un fessée donné devant no babysitter. Vraiment genant d’être fesséees à 14 ans devant une fille de 18 ans de notre église.

Après un silence, on etait un peu sonnée par le vin quand à l’unisson nous nous exclamons « Le pasteur ! ». On pouffait de rire à avoir eu la même réaction mais sommes redevenues sérieuses alors que nous nous rapellions de cette fessée. Alors que nous étions jeunes filles, nous étions souvent fessées devant le pasteur, toujours très embarrasant et plus spécialement quand il y avait sa femme qui regardait la scène.

J’avais à l’époque 1è ans et ma soeur 15 ans quand le pasteur et sa femme nous gardaient plus exactement nous babysittaient tout un weekend olrs que nos parents étaient en voyage.

Sans aucune appréhension, nous passions toujours du bon temps chez eux, mais nous aurions du nous méfier car on s’est faites attrapper en train de fumer une cigarette.

Il est pas pensable de croire que des filles de notre age sont encore fessées mais notre église était très pieuse et « fumer » était un pecher alors le jour suivant nous étions très anxieuses de la venue de nos parent. La situation était plus compliqué car le pasteur accueillait un correspondant allemand.

Dred avait 20 ans et était très mignon, j’ai flirté avec lui mais là j’étais pétrifiée à l’idée de recevoir une fessée publique, une que je n’oublierais (evidement) jamais.

Bien entendu, quand mes parents ont entendu parler de la cigarette, ça a tourné à la punition du type « toute la famille dans le living ». Cela signifiait que Dred, la pasteur, sa femme était assis sur les canapés alors que nous étions convoqués dans le salon. Je me souvient d’avoir prié pour que ce soit mon père et un rapide « descent ta culotte » pour une fessée à la ceinture mais ce fut ma mère qui pris en main la punition 🙁

Ma soeur se souvenais que nous portions toutes les deux des jupes, nous avions l’espoir que notre jupe soit soulevée alors que nos pantalons auraient été retirés.

Mamant était en colère et nous grondaient alors qu’elle nous défaisait nos jupes et soudain je revenais à mes 5 ans, comme une vilaine fille qui se faisait mettre cul nu et fessée peu importe qui regardait. Mais j’avais 17 ans ! presque adulte ! Debout en culotte devant le pasteur, sa femme narquoise (j’avais le sentiment qu’elle adorait nous voir se faire fesser) and un jeune adulte qui n’en croyait pas ses yeux.

« tu sera la première » dis-je à ma soeur elle accepte alors qu’il était aussi dur pour moi de voir ma soeur fessée avec la ceinture devant tout le monde mais ce qui était encore plus dur c’était que je devais reter debout en culotte, le mains sur la tête regarder ma pauvre soeur fouettée et sanglotante, sachant que j’étais la suivante je pensait à ces gens qui regardait ma soeur se débattant sous les coups de cette fessée humiliante.

Mes espoir furent ruinés alors que ma mère nous faisait la morale, elle se mit à descendre la culotte de ma soeur aux chevilles avant de venir me faire glisser mes dessous de la même manière. Alors que nous étions debout, nos jeune buissons d’adolescentes exposés nous devions admettre que nous méritions une fessée à la ceinure (ma mère insistait pour que nous répétions clairement) pendant que mon père sortait sa ceinture et l’empoignait.

Alors je me tenais là pendant que ma soeur était fouettée avec les poils frisés hérissé de mon mont de venus et je pouvais observer Dred et le pasteur passer du cul de ma soeur ondulant et rougissant à mon pubis que je ne pouvais couvrir de mes mains.fur_display_spanking

Je pouvais très bien voir de derrière, près de Dred, sa fourrure et sa vulve qui dépassait alors qu’elle se débattait en écartant ses cuisses et je savais que c’était le vue qu’aurait Dred de ma chatte quand ce sera mon tour de hurler et ruer sous les coups de ceintures des mes fesses nues et de mes cuisses.

Ma soeur et moi avons eu un blanc et un toast ironique à notre inoubliable fessée déculottée d’adolescente devant tout le monde.

Sis and I shared a moment of silence, and an ironic toast, to our unforgettable bare bottomed witnessed teenaged spankings.

Marci

Laisser un commentaire