Voici une fiction d’une fille prise en flagrant délit.
La punition sera sévère mais méritée.
Me voilà au coin les fesses bien rouges, mon anus rempli avec un plug, mon sexe épilée de près, une épaisse couche culotte adulte toute souillée.
En attendant que mes amis veuillent bien me laisser l’autorisation de bouger un peu, voici comment cela a pu se produire.
Je m’appelle Laura, je suis amie avec Sandrine depuis la lycée. Depuis plus d’un an qu’elle s’est mise avec Laurent, elle me parle de temps à autre des jeux coquins qu’ils font ensemble.
Sans entrer dans les détails elle me parle qu’elle reçoit la fessée comme une gamine et que cela l’excite beaucoup.
Laurent est beaucoup moins bavard mais il agit beaucoup. Il adore lui aussi jouer à ces jeux de rôles. Sandrine adore être dominée de manière soft. Mais cela attise ma curiosité et je cherche à en savoir plus. Je n’ai pas de petit amis pour le moment mais j’aimerais moi aussi me retrouver déculottée en travers des genoux de mon homme recevoir une fessée.
Je suis un peu peureuse quand même et je n’oserai pas demander que mon homme me fasse ça.
Des fois je fantasme que Laurent m’entraine sur ses genoux, me déculotte et me donne une fessée, mais de là à franchir le pas, hors de question.
Nous sommes samedi et après une séance de shopping nous rentrons chez Sandrine nous reposer un peu. Elle me propose de rester pour manger ce que j’accepte avec plaisir. Laurent nous rejoins plus tard après avoir passé l’après-midi avec ses copains. Avec Sandrine sommes allés dans sa chambre faire quelques essayages, je remarque un plastique posé dans le placard et attire mon attention, elle va aux toilettes et me laisse toute seule dans la chambre.
Ma curiosité ayant été attisée par cet emballage, je saisi cet emballage et remarque que ce sont des couches pour adulte. Dans la frénésie, je regarder encore plus loin et je tombe sur un petit bac contenant de la crème bébé pour le change, un plug, une bock à lavement. Je reste bouche bée et toute excitée à la fois. Alors que je reprends mes esprits, je me tourne et mon sang ne fait qu’un tour en voyant Laurent et Sandrine en train de m’observer silencieusement. Je ne les ai pas entendu arriver.
« La curiosité est un vilain défaut ! » dit Laurent. Sandrine me regarde un peu éberluée et très déçue que j’ai percé leurs petits secrets.
Je sens mes jambes qui tremblent, je ne sais pas quoi dire.
« Je suis désolée » dis-je toute tremblante le bac à la main.
« Tu a trahi ma confiance Laura, je ne vois pas comment une amie comme toi pourra tenir sa langue ce n’est pas raisonnable ».
Je commence à pleurer et dit que je tiens trop à eux comme ami. Je leur dit que je comprends que j’ai merdé et leur demande qu’ils me pardonnent, je ne dirais rien. Et que je suis prête à leur montrer ma bonne foi.
Ils se regardent et avec un sourire complice puis se retourne vers moi.
« Cela me rassure que tu veuille rester notre amie, mais là ça va trop loin. Que veux-tu dire par montrer ta bonne foi, je ne vois qu’une solution. »
Gloups, ils attendent la réponse.
« Vous pouvez me punir pour ma mauvaise conduite » dis-je.
Sandrine prends les devant et continue.
« Tu vois ce que tu a découvert, maintenant pour ne plus être embarrassée, tu vas nous dire ce que nous pouvons faire. »
« Me mettre une fessée ? »
« Oui mais encore ? C’est pas la seule chose que tu a vu. » réponds Sandrine.
Je laisse couler une larme.
« Mais encore quoi »
« Je veux que nous restions amis, je ferai ce que vous voulez ! » ma voix tremblait.
Elle me montre les couches et le bock à lavement.
« Je veux entendre de ta propre voix ce qui va t’attendre. »
« Vous aller me faire une lavement et me mettre une couche » Je fond en larme mais reste très excitée.
« Mais avant tu auras une fessée, une chipie comme toi la mérite largement non » me demande t’elle l’air interrogatif.
« Oui… » dit-je.
« Es-tu prête ? »
Sandrine me donne le paquet de couche et le bac et m’attrape par l’oreille et me tire dans le salon.
Elle me guide dans un coin, me place face au mur. Elle me demande ensuite si je suis sûre de vouloir rester amie et de faire tout ce que l’on va me demander de faire. je réponds par l’affirmative, j’en suis toute excitée.
Laurent me dit de remonter ma jupe, la coincer dans la ceinture et de descendre ma culotte pour qu’ils puissent admirer mes fesses.
Je m’exécute, je place me jupe dans la ceinture doucement laissant à la vue mes fesses à peine enveloppée dans un string.
Pensant juste montrer mes fesses, je reste comme ça. Laurent s’approche et retire mon string. J’ai honte et il me fait remarquer que le fond est bien mouillé. C’est assez humiliant je commence à dire quelque chose et me dit que je devais maintenant répondre par oui ou non et finir par monsieur ou madame.
Il ma place mes bras croisés dans le dos alors qu’ils vont s’assoir.
« Normalement, pour une fessée déculottée, il faut une culotte. Ta tenue provocante ne laisse pas le choix, tu va aller acheter une culotte en coton blanc tout de suite. »
« Oui madame »
Sandrine viens derrière moi me remets ma jupe et me dit qu’il y a un monoprix en bas et que je ne porterai pas de culotte. Mon sac restera ici et que je prendrai juste 20 euros pour acheter cette culotte.
Je descends au magasin accompagnée du couple d’amis. Je sens l’air frais passer sur ma chatte et je trouve cela excitant, mon entre jambe mouille. Je trouve mon bonheur et passe à la caisse et remontons dans l’appartement.
Nous reprenons la punition, j’enfile la culotte et Laurent me place à nouveau dans le coin les bras croisés dans le dos, coince a jupe pour découvrir entièrement le fessier et me descend la culotte à mes genoux. Il place sa main entre mes cuisse pour me signifier de les écarter un peu plus.
A nouveau je sens l’air passer sur ma chatte ça me donne des frissons.
Au bout d’un moment qui me paraissait très long. Sandrine me demande de venir devant eux sans remonter ma belle culotte et sans bouger mes mains. Je montre à ce moment-là mon sexe épilé et me sent honteuse.
J’ai droit à une leçon de morale, la pression monte il me demande de répéter que je mérite ma fessée, mon lavement et que je serai langée.
Sandrine tire une chaise au milieu du salon et m’invite à prendre place sur ses genoux.
J’ai un sentiment très partagé de honte et d’excitation, traitée comme une petite fille qui se fait punir.
Avant de prendre place Laurent me dit d’aller chercher la brosse à cheveux placée sous le miroir de la salle de bain. Et me voilà en train de me dandiner avec ma culotte entravant mes pas. Et là en voyant la brosse à cheveux, j’ai compris que ça allait être sévère. Cette grosse brosse en bois plate allait sûrement piquer mes fesses.
Je me dandine et lui donne la brosse, d’un doigt elle me montre ses genoux. Je me place et elle me fait écarter un peu mes cuisses pour « laisser un peu s’aérer les parties chaudes et humides » ce qui n’a échappé à personne.
« Tu n’oublieras pas de sitôt cette punition chipie. Es-tu prêtes ? »
« Oui madame ! »
Laurent ne manquait pas une miette.
Elle commence par claquer mes fesses à la main.
Je ne m’y attendais pas, et CLAC, CLAC. J’en ai le souffle coupé de surprise. Ça fait mal ! Ça pique, ça brule. Elle appuie bien ses coups, une fesse CLAC, une autre elle laisse sa main à chaque fois. La chaleur commence à pénétrer, CLAC, CLAC… CLAC.
Ça commence à me plaire. Je tends mes fesses à chaque claque comme pour attendre impatiemment la prochaine main qui s’abat.
La cadence augmente, clac, clac, clac. Puis elle stoppe. Me caresse les fesses. Je me détends et écarte à nouveau mes cuisses toujours entravées par la culotte aux genoux.
Puis elle saisit la brosse et m’avertit que cela serait moins tendre.
Pourtant je sens que mon derrière est bien en feu et mon entrejambe tout humide.
La brosse s’élève derrière moi et PAN, PAN… les coups sont espacés mais la douleur prend une autre dimension. C’est sec, ça picote. PAN, PAN les coups arrivent de plus en plus rapidement. Je commence à gigoter.
« Arrête de bouger ! » me dit-elle alors qu’elle attrape ma main et me la coince dans le dos.
« Ecarte tes cuisses pour voir ton état vaurienne » Je me fait insulter en plus, traitée comme une gamine, je commence à avoir les larmes aux yeux.
Puis je sens Laurent qui met un doigt lubrifié dans mon anus, puis deux. Je me contracte, je ne m’y attendais pas et me reçoit 2 claques bien appuyées.
« Décontracte toi expose bien ton cul et écarte bien sinon tu auras encore plus mal quand le plug va entrer. »
Laurent ressort ses doigts et me place le plug à l’entrée de mon anus.
Je n’en ai jamais eu et je dis que je n’ai pas l’habitude.
La réponse que j’ai reçue était que je vais en baver un peu au début puis Que j’aimerai ça. Ce plug n’est pas très grand. Ça aide avant le lavement. S’il ressort sale, j’aurai droit à deux lavements.
Sur ces mots, je sens que la pointe pénètre mon cul puis ça commence à s’élargir. Il ressort, lubrifie à nouveau plug et anus et recommence. Ça rentre, c’est très agréable après tout. Puis arrive le moment où le plug doit entrer en entier. La partie la plus large dilate mon anus, ça fait mal. clac, clac. Je suis encore fessée. Puis après avoir forcé un peu et bien tendu mes fesses je sens que la partie large est passée et que la sensation est très plaisante. Puis il est bien enfoncé un peu ressorti, trois au quatre fois. C’est très agréable après tous, je n’ai jamais connue cette sensation jusqu’à présent.
Puis la fessée reprends, les fessée pleuvent, PAN, PAN la brosse fait son œuvre. Je commence à avoir les larmes aux yeux puis à sangloter. PAN, PAN, ça continue. Je me débat mais elle me demande d’arrêter, je suis prise dans un dilemme. Alors ça reprends, je bouge mes cuisses, la culotte est à mes chevilles maintenant. Des coups arrivent sur le plug de temps en temps. Des pauses me permettent de reprendre mon souffle. Puis je m’abandonne, tends mes fesses à cette brosse si sévère. Le plug en plus donne des super sensations pendant la fessée. Il permet de ressentir une pulsation à l’intérieur du corps.
La fessée s’arrête, je reste là amoindrie et sanglotant. Sandrine ma fait me relever et me fait assoir sur ses genoux en me serrant très fort dans ses bras. Je relâche mes nerfs et pleure de plus belle. Elle me serre très fort en me disant qu’ils m’aiment beaucoup.
Laurent a préparé le bock et place une serviette de bain sur la canapé. Après m’être calmée Sandrine me fait retirer ma jupe et ma culotte toute neuve et m’allonger sur la serviette sur le dos.
Laurent met un peu de vaseline sur la canule, me fait monter mes genoux sur ma poitrine pour montrer mon anus encore rempli avec le plug. Après m’être un peu décontractée, Laurent retire tout en douceur et en plusieurs fois le plug. Il est un peu souillé, ce qui fait dire à Sandrine que 3 bocks vont me rendre plus propre à l’intérieur. Elle me dit aussi que c’est pour mon bien-être.
La canule pénètre alors mon petit trou et je sens l’eau chaude remplir mon ventre. C’est très agréable puis arrive un moment où ce n’est plus tenable, j’ai l’impression d’imploser. Laurent stoppe le débit Sandrine me masse un peu le ventre puis le lavement continue. Le reste des deux litres est un peu dur à passer mais ça va.
Je me précipite aux toilettes et évacue tout cela. J’y retourne toutes les 5 minutes.
Puis le second lavement va beaucoup plus vite, les deux litres passent bien, pas de crampes, je peux même le garder un petit moment. Je l’évacue en 20 minutes.
Puis le troisième de la même manière que le deuxième. Je me sens très décontractée. Après un tour aux toilettes. Laurent a préparé une couche et un plug.
« Tu es sûr qu’il faut me mettre une couche ? »
« Je vais t’expliquer, je vais bien te lubrifier te mettre le plug. Ensuite je vais te mettre une couche, ça évitera que tu aille aux toilettes toutes les 2 minutes. Tu vide l’eau qui te reste dans ta couche, une fois bien vidée tu iras te laver puis tu porteras ta couche pour le reste de la nuit »
Je reste stupéfaite. Déjà que je n’ai jamais porté de couches mais en plus je vais devoir faire dedans, là c’est trop ! trop bon en fait me dis-je au fond de moi-même.
Sans cette expérience, je n’aurais jamais connu autant de fantaisies d’un seul coup.
J’ai toujours fantasmé sur une fessée déculottée : c’est fait, pluggée en plus ! Mais il faut rajouter un lavement (trois en fait). Et pour finir des couches ! C’est fou.
Je prends du plaisir et ne saurait refuser ce traitement.
« Au fait tu voudras dormir ici ou on te raccompagne ? »
« Si il y a la place je veux bien dormir ici. » Je me sentais bien entourée et j’étais très détendue sous l’effet de la fessée puis du lavement.
Je me suis rarement senti aussi bien.
Sur ces pensée, Sandrine me fait allonger sur la couche, passe un gant latex et lubrifie mon trou et le plug. Elle l’enfonce doucement en plusieurs fois. Mon cul l’accepte avec un plaisir non dissimulé. Une fois bien en place Laurent fini par envelopper ma chatte avec cette couche et enfin fermer les adhésifs.
Il glisse son doigt dans l’espace laissé entre la couche et ma peau pour vérifier si elle est bien placée puis fini par me tapoter l’entrejambe et appuyer sur le plug. Un peu d’eau s’échappe. Je reste surprise de ne plus avoir le contrôle, je pensais que le plug allait obstruer la sortie du rectum mais pas du tout !
Je me relève et sent cette épaisseur entre jambes. Avant cela, Sandrine derrière moi, me demande d’écarter les cuisses passe sa main droite à l’intérieur de ma couche devant ma chatte et me dit qu’elle « forme » la couche pour qu’elle forme une coupe qui va bien absorber, sinon il y a des risques de fuite.
Je suis très excitée par sa main qui effleure ma vulve.
Ensuite je marche en canard, n’en revenant pas de l’épaisseur entre jambes. Ca tiens chaud aussi, une chaleur très agréable.
Sandrine me dit que je vais encore me vider dans ma couche et que lorsque je vais m’assoir, lorsque je me cambre et me décontracte, de l’eau et du caca vont sortir.
Mais je croyais m’être vidée aux toilettes.
Pas du tout, 20 minutes plus tard, j’étais toujours en train de souiller ma couche.
Pendant ce temps-là, puisque tout le monde s’était décontracté, Laurent avait préparé un lavement pour Sandrine. En fait j’étais en couches pour ne pas mobiliser les toilettes 🙂
J’avais droit à un beau spectacle à présent, Sandrine sur les genoux de Laurent recevait une fessée alors qu’elle avait la canule qui sortait de ses fesses. Elle recevait simultanément une fessée et un lavement.
C’est à ce moment-là que l’on m’a fait mettre au coin.
Me voilà au coin les fesses bien rouges, mon anus rempli avec un plug, mon sexe épilée de près, une épaisse couche culotte adulte toute souillée.
C’était surréaliste. Je pouvais observer Sandrine qui avait pris ma place sur le canapé et qui recevait ses 2 autres lavements mais avec quelques attouchements de Laurent et d’un gode.
Elle aussi pluggée et en couche culottes.
Laurent n’échappe pas non plus à la fessée lavement.
Je ne pensais pas que j’avais encore autant d’eau et de caca à évacuer encore, j’appuyais sur le plug de temps à autres et hop ça sortais.
J’avais peur que ma couche fuie, Sandrine la vérifie et pose sa main en soulevant un peu ma couche par derrière faisant agréablement bouger le plug.
Au troisième lavement de Laurent, couche et plug lui aussi !
Tous les trois en couches, c’était drôle.
Le plan était maintenant d’aller prendre une douche puis de se faire langer.
J’ouvre la bal, on m’accompagne jusqu’à la baignoire où ma couche est retirée, pliée et jetée. Je me fait savonner comme un petite fille pas propre. Sandrine profite pour me tâter les seins, Laurent me savonne mon entre jambes et Sandrine me repasse au savon mon cul et ma chatte. Je crois que je n’ai pas reçu un tel traitement depuis ma plus tendre enfance.
Une fois séchée, ils déplient une couche très épaisse, deux couches droite et m’invitent à place mes fesses dessus. A nouveau, je sens que mon anus est lubrifié à nouveau. Il est tellement décontracté que c’est très excitant de nouveau, le plug bien rentré. Avec sa main gantée Sandrine m’étale un peu de crème de toilette partout sur la zone couverte pas la couche. Puis elle me met une crème toute blanche, anti irritation de change pour bébé à l’oxyde de zinc. La particularité c’est que les parties restent bien blanches, ça fait très bébé. Elle en mets une bonne épaisseur partout, passant bien ses doigt dans la raie, sur le mont de venus et dans la vulve, ça déborde sur les cuisses.
Enfin Laurent me fait relever mes fesse et glisse les deux insert sous me fesses.
Il referme la couche très épaisse sur mon pubis.
La sensation et proche du paradis, oui c’est paradisiaque.
Je me met debout, je n’arrive bien sûr pas à serrer mes cuisse tellement la couche est épaisse. Je tapote, je malaxe ce nouvel environnement entre mes jambes. Je marche un peu, ça glisse tout seul, tout est fluide. Mon anus lubrifié et pluggé laisse de très bonne sensations lors de chaque pas. Je m’assoit, le plug remonte en moi, je me cambre, laissant libre court tout mon bas ventre est une zone érogène.
Sandrine revient de la douche avec 3 pyjama comme des grenouillères et une ouverture sur les fesses, comme dans les dessins animé.
elle me le donne, je l’enfile et elle me défait l’arrière pour laisser libre accès à ma couche sur laquelle elle donne trois bonnes grosse fessée qui font beaucoup de bruit mais pas mal et surtout font bien vibrer le plug.
De même que moi, Sandrine a droit au stock de crème deux insert et en pyjama.
Pendant que Laurent se douche, nous préparons l’apéro? Je ne peux m’empêcher de toucher ma couche, toucher celle de Sandrine aussi, je suis toute émoustillée, mon entre jambe baignant dans un bien être absolu.
Sandrine fini de préparer Laurent et nous commençons l’apéro.
Personne ne pensait que ça pouvait se passer ainsi. Nous voilà assis tous les trois Sandrine au milieu. Nous buvons de la bière, ça fait pisser, un peu d’eau de temps en temps.
Sandrine pose sa main sur ma couche puis l’autre sur la couche de Laurent. Il doit avoir une trique de fou, je suis super excitée.
Sandrine se retire et arrive avec un gode, elle retire le pyjama et nous invite à fair de même tout les trois en grosse couche que nous avions commencé à mouiller.
La canapé est maintenant un grand lit. Sandrine défait les adhésifs d’un côté, me fait allonger défait les adhésif d’un côté aussi me fait écarter les jambes pour avoir accès à ma chatte toute crémeuse et humide. Laurent de son côté sort sa bite de la couche et commence à prendre en levrette Sandrine qui m’engode et s’occupe de ma chatte. Nous sommes tous les trois en état orgasmique. J’ai du jouir au moins trois fois. Le souffle de Sandrine était sans équivoque. De petits râles de plaisir venaient ponctuer nos souffles. Le plug jouait son rôle d’excitateur. A chaque instant les frissons et les spasmes envahissaient mon corps. Je m’abandonnais sous le plaisir. Sandrine prenait les coups de butoir de son homme qui s’est à son tour mis à jouir.
Une fois fini, nous retirons nos plug, remettons les couches en place et nos pyjamas et finissons l’apéro apaisé, relaxé et des sourires béats en regardant un film en mouillant nos couches.
Je venais de traverser le moment le plus sensuel de ma vie. Je n’ai pu m’empêcher de me toucher avant de dormir.