Traduction de l’histoire Baby Susans Punishment
La punition de Suzanne
“Suzanne un mot de plus et je recommence ta fessée” dit Laurence la maman de Suzanne “Maintenant tu remets la sucette dans ta bouche et tu regardes la mur en réfléchissant à ce que tu a fait.”
Cette histoire est une pure fantaisie et peut être continuée chapitre après chapitre si elle plait. Cela n’a aucun rapport avec enfants et bébés.
“Suzanne un mot de plus et je recommence ta fessée” dit Laurence la maman de Suzanne “Maintenant tu remets la sucette dans ta bouche et tu regardes la mur en réfléchissant à ce que tu a fait.”
La fille de 15 ans remet sa sucette dans la bouche en sanglotant et se retourne vers le mur. Laurence regarde Suzanne sa fille très jolie de 15 ans debout au piquet face au coin, ses fesses rouges bien exposées avec son ensemble d’écolière marine la jupe épinglée dans le dos. A ses genoux il y a une couche un peu mouillée et une culotte a froufrou qui ont dû être descendu pour appliquer la fessée cul-nu.
Ces dernières semaines, Suzanne n’a cessé de faire pipi au lit et dans sa culotte sans raison médicale et sa mère en avait assez. Vendredi dernier la maman de Suzanne du aller la chercher à l’école à l’infirmerie car elle avait fait pipi dans sa culotte pendant les cours. Le problème était qu’elle avait déjà mouillé sa culotte deux fois cette même semaine. Ce fut la dernière fois que Suzanne se comporte en bébé, Laurence va la traiter comme tel à présent.
Le samedi matin, Laurence prépare l’arrivée de son nouveau bébé. Beaucoup de marchandises sont dans des magasins pas loin. Pendant que Suzanne est endormie, Laurence commence à retire tout ce qui a un lien avec une adolescente dans son armoire et son placard. Elle laisse seulement les uniformes d’écolière suspendus dans la garde-robe. De même pour tous les sous vêtement, ils sont tous retirés illico dans un carton. Suzanne attendra pour pouvoir les remettre.
Laurence se souvient de l’école de filles tenue par des sœurs Dominicaine. Elle se souvient de cette école très stricte où chaque désobéissance aux règles se solde par une fessée déculottée en travers des genoux ou à la badine. Les sous-vêtements sont systématiquement baissés et cela lui rappelle une expérience humiliante devant la classe et pire devant tout le monde alors que toute l’école était réunie. La raison pour laquelle elle a envoyé Suzanne vingt ans plus tard est que cette école a toujours les mêmes valeurs. Même maintenant ils effectuent des contrôles de tenues de l’uniforme.
L’uniforme que portent toutes les filles est une jupe plissée bleue marine, chemisier blanc, mi-bas blanc au-dessous du genou et ballerines en cuir avec bride. La cravate doit être bien nouées et les cardigans fermés jusqu’en haut. La culottes et bleu marine en coton assez épais. L’inspection est un rituel. Peu d’entre nous craignaient ce moment à partir de l’instant où vous portez l’uniforme sans chichi. La principale accompagnée de la conseillère d’éducation (elle portait bien son nom) passaient de temps à autre dans les classes interrompant le cours aussitôt Les filles sont alignées et la principale inspecte chaque fille individuellement. Tout d’abord les filles se lèvent à l’arrivée cd la principale puis s’alignent sur 2 rangs face à face. Lors du passage de la principale elle regarde la tenue générale puis lors d’un geste de l’index, l’écolière doit remonter sa jupe pour montrer sa culotte. Tout le monde en profite. Si la culotte est la bonne et propre alors l’inspection est finie, la principale passe à l’élève suivante.
Les entorses fréquemment constatées : la culotte est sale ou ce n’est pas la bonne culotte. La sanction est toujours la même. La culotte es retirée la jupe est relevée dans le dos et épinglée avec la culotte. Ce qui laisse voir les fesses de la fautive ainsi que l’objet du délit. Mais cela est aussi réprimandé avec 3 coups de badine. Il y a aussi des filles qui sont négligées ou qui ont la culotte mouillée ou salie. Celles-ci doivent aller à l’infirmerie où elles recevront un lavement et une douche. Il arrive aussi de voir des filles en couches -culotte et culotte plastique. Les parents savent que l’école encourage à faire porter des couches pendant l’école si l’une d’entre elles a fait pipi au lit. En général, il y a toujours une ou deux filles en couche par inspection.
Il arrive qu’à la récréation des filles rasent les murs pour éviter de montrer leurs fesses zébrées de 3 marques. Il arrive aussi qu’après le lavement reçu à l’infirmerie les filles se voient porter des couches et culotte plastique car leur culotte est trop sale.
Laurence sort de ses pensées puis s’assoit sur le lit à côté de sa fille endormie et la réveille. “Suzanne, réveille-toi il est l’heure que maman te prépare”. Suzanne se réveille et trouve bizarre que sa mère l’ai appelée ainsi et elle déteste. Laurence retire les draps et révèle que Suzanne a mouillé le lit. La chemise de nuit est collée à sa taille et elle est allongée dans une petite flaque. Sa petite toison pubienne rappelle à sa mère son jeune âge. “Tu me rejoins à la salle de bain après que tu aies retiré les draps et ta chemise de nuit”.
Suzanne rejoint sa mère dans la salle de bain où l’attends un bon bain chaud. “Merci maman” alors qu’elle veut fermer la porte sa mère l’empêche et Suzanne s’exclame “Je peux prendre mon bain toute seule”. Sa mère prend l’éponge et commence à laver sa fille de bas en haut tout en lui expliquant comment vont se passer les choses à partir de maintenant.
“Premièrement Suzie comme il ne semble pas que tu puisses résister à l’envie de mouiller ton lit et ta culotte comme un bébé tu n’as pas la position de décider si tu prends ton bain toute seule. Je ne continuerai pas à laver tes draps et tes sous vêtement tant que tu te comportes comme un bébé de 6 mois. Mais je vais te traiter comme tel jusqu’à nouvel ordre. Je vais te dire cette punition durera 6 mois pour commencer, peut-être 18 “. Sa mère lui fait signe de se lever et continue de la laver. Alors qu’elle allait protester sa mère lui mets une grande claque sur les fesses mouillées et lui demande de ne pas répondre. Puis Laurence prend un rasoir et savonne le pubis de sa fille. “Un bébé n’a pas de poil au pubis” ainsi elle retire toute trace de maturité sur son corps et continue d’expliquer le nouveau régime.
“Cela a commencé à ton réveil, je vais te traiter comme un bébé de 6 mois. Tu porteras des couches et des culottes de bébé à froufrou vingt-quatre heures par jour. Tu utiliseras les couches pour ce à quoi elles doivent servir. Tu n’as plus accès aux toilettes et ton nouveau statut de bébé sera connu de tous.” Suzanne s’effondre en larmes alors qu’elle apprenait qu’elle portera des couches. Sa mère continue “Dès à présent je t’habillerai, te nourrirai, te ferai prendre ton bain changer tes couches mouillée et merdeuses. Tu seras habillée comme un bébé à l’exception de l’école où tu porteras ton uniforme et tes couches au lieu des culottes en coton.
Sa mère continue “toute désobéissance ou mauvais comportement résultera par une fessée la couche et la culotte descendues. Et crois-moi que je te fesserai même s’il y a quelqu’un. Après chaque fessée tu iras au coin les couches à te genoux et ta robe épinglée dans le dos. Peu importe s’il y a des invités cela sera fait tout de suite.”
Laurence lui demande de sortir du bain et commence à la sécher. Elle continue d’expliquer la nouvelle vie de Suzanne. “Je veux que tu sache que cette nouvelle vie de bébé ne sera un secret pour personne. Quand tu seras à la maison tu porteras des habits de bébé comme t-shirt ou body et ta couche et tu culotte à froufrou sera parfaitement visible à quiconque sera présent? Si tes amis sont ici tu pourras être fessée devant eux et tu pourras t’assoir sur le pot de chambre à chaque fois que ce sera nécessaire. Si nous sortons de la maison tu ne porteras que des jupes suffisamment courtes ou transparentes laissant apparaitre ta couche et ta culotte à la vue de tous.”
Suzanne se mets à sangloter très fort et n’en croit pas ses oreilles alors que sa mère l’emmène dans sa chambre. Elle fait placer sa fille sur le dos sort une couche-culotte très épaisse et la glisse sous ses fesses. Elle passe une bonne dose de crème anti irritation blanche partout sur son pubis, vulve anus raie des fesses et fesses. Elle referme les adhésifs de la couche. Puis elle lui enfile une culotte en plastique à froufrou sur cette couche très épaisse. Suzanne essaye de fermer ses cuisses en vain car la couche est trop épaisse. Puis sa mère lui enfile des chaussettes blanches à volants. Elle fait lever sa fille et à sa grande surprise sa mère lui passe une robe d’été assez fine à volants. Elle lui fait des couettes avec des rubans roses puis lui attache une tétine avec une épingle qu’elle lui place immédiatement dans la bouche. Pour finir elle l’amène devant un grand miroir pour se voir en entier.
Sans surprise c’est une horreur pour Suzanne ses cheveux avec des couettes tenues par un ruban assorti avec sa robe qui laisse bien la couche épaisse et la culotte plastique exposées à la vue de tous. Suzanne regarde attentivement le bébé qu’elle est en train de devenir alors que sa mère explique la suite des règles.
“Voilà à partir de maintenant tu seras habillé comme ça en dehors de l’école. Comme je te l’ai dit avant, peu importe s’il y a de la compagnie ou de la visite ou que nous allons faire un tour dehors. Tu ne toucheras pas à tes couches mais uniquement moi au une grande personne pourra changer tes couches quand elles en auront besoin. Pendant la période scolaire je te donnerai le biberon et te changerai après ton retour de l’école. Je te mettrai au lit à 19H30 et 20H30 si nous avons de la compagnie. Si nous devons sortir et que tu doives rentrer sans moi ce sera avec un baby-sitter qui aura aussi le droit de t’administrer une fessée au besoin. Toute fessée sera suivie d’une mise au piquet puis au lit immédiatement.”
Suzanne descend les escaliers et elle doit se dandiner à cause de l’épaisseur de la couche. Sa mère la fait assoir sur une chaise et lui donne son biberon. Alors que Suzanne tête son biberon elle se demande comment elle va faire avec ses couches sous la jupe plissée de l’uniforme. Elle a une culotte de rechange dans son placard de l’école elle pourra se changer en arrivant là-bas. La honte si ses copines découvrent qu’elle porte une couche. Et elle repense à lundi dernier alors qu’elle avait acheté des beaux dessous. Elles avaient décider de les porter le lundi espérant qu’il n’y a pas d’inspection, mais cela valait bien 3 coups de badine.
A force de bavarder et avoir des petits fous rires, la maitresse rappelle Suzanne à l’ordre. Elle lui indique clairement qu’elle en a marre de ces bavardages et le fait venir à son bureau. “Je t’ai avertie plusieurs fois, maintenant tu vas recevoir une fessée.” Sur ces mots, la maitresse place une chaise sur l’estrade devant toutes les filles en train de sourire, la place sur ses genoux et remonte sa jupe plissée dévoilant la magnifique culotte. “Ceci n’est pas règlementaire ma chère, je vais vous fesser mais tu vas aussi être fessée par le principal à la récréation ce matin.” Puis elle descend sa culotte aux genoux laissant apparaitre ses belles fesses. Elle la fesse à la main jusqu’à ce qu’elle se mette à crier et pleurer comme un bébé. Ses fesses bien rouges elle est envoyée au coin. Alors qu’elle allait remettre sa culotte, la maitresse l’accompagne dans le coin sa culotte entravant sa marche. Suzanne se fait mettre au piquet à côté du tableau les mains sur la tête, la jupe troussée dans la ceinture et la culotte aux genoux exposant bien les fesses rougies. A la récréation, la maitresse retire la culotte de Suzanne et l’épingle dans le dos avec la jupe. Cul nu bien exposé elle doit se rendre dans le bureau de la directrice où elle reçoit ses 3 coups de badines avec 2 autres jeunes filles. Elle a droit à passer la journée sans culotte et les fesses endolories.
Suzanne sort de ses pensées alors que sa mère reprend le biberon vide et lui remplace par un plein. Ce dernier a un gout légèrement diffèrent mais elle ne détecte pas le laxatif que ça mère a mélangé avec le lait. Sa mère a bien calculé son coup pour plus tard, lorsqu’elles seront dehors pour faire du shopping.
Suzanne repense à ce qu’il pourrait arriver à l’école si elle porte des couches épaisses et une culotte plastique a froufrou. Que se passera-t-il lors d’une inspection, quand je devrais remonter ma jupe pour exposer ma couche ? Et si je suis appelée par la maitresses pour une fessée descendra-t-elle ma couche ? Et si elle est mouillée la descendra-t-elle ? Tout le monde verra que j’ai le pubis rasé. Tout cela commençait à lui faire peur alors qu’elle ne réalisait pas qu’elle était en train cd mouiller ses couches.
Suzanne en couches : deuxième partie.
Laurence remarque l’expression du visage de sa fille et souri. Le diurétique dans le biberon a fait son effet et Suzanne commence à se sentir inconfortable. Laurence décide de la laisser tel quel et la fait aller au salon. Suzanne ne peut que se dandiner sous l’effet de l’épaisse couche mouillée alourdie et marcher est quasi impossible.
Sa mère contacte un vieil ami “Jack ça te dis de passer et de finir le plan dont nous avions commencé ? A tu fini ce que je t’ai demandé ? … Ok, merci je pars avec Suzanne faire du shopping, nous serons dehors toute la journée. Elle aura une belle surprise en revenant ce soir.”
Laurence arrive dans le grand salon et demande à Suzanne de la suivre au premier étage. Une fois dans la chambre, Suzanne est allongée sur le lit Sa mère lui retire sa culotte plastique et sa couche mouillée. “Relève tes jambes bébé je vais te nettoyer prête avec une couche toute propre” Sa mère lui nettoie les fesses et son entrejambe bien rasé. Puis elle étale une bonne dose de crème blanche sur les fesses la vulve et le pubis. Les jambes toujours en l’air. Un petit rappel que pendant la punition au centre commercial elle aura droit à voir ses couches baissées et une fessée devant tout le monde. “Je t’ai avertie, tout le monde peut être au courant que tu portes des couches.” Sur ces mots elle glisse deux couches en flanelle sous ses fesses les épingle. Une fois debout elle lui repasse la culotte plastique à froufrou et elle un t-shirt rose avec un lapin.
“Maintenant je te propose de mettre ta jupe d’école par-dessus ta couche. “J’ai besoin de voir comment tu seras habillée à l’école lundi. Tu peux garder les socquettes blanches, le volant et les rubans avec tes cheveux sont assortis.” Suzanne horrifiée “Tu vas pas me faire sortir comme ça ?”
“Si tu réponds une fois de plus tu sortiras en robe de bébé. Tu es un bébé à présent. Tu as fait pipi au lit, mouillé ta culotte et maintenant tu peux mouiller tes couches. Alors tu mets ta jupe et tu descends les escaliers. Nous allons faire du shopping pour acheter le reste de l’équipement du nouveau bébé que tu es.”
Alors que Laurence descend les escalier, Suzanne enfile sa jupe plissée et ferme la fermeture éclair. Elle avait du mal à se fermer à cause de l’épaisseur procurée par les couches. La jupe couvrait à peine son secret et devait faire attention quand elle fait un mouvement. Si elle se penche en avant tout le monde pourra admirer sa couche dans la culotte plastique.
Dans la cuisine, Laurence prépare de quoi changer son bébé avec des couches, la crème, des lingettes, et des biberons. Elle s’attend à ce que les diurétiques et laxatifs agissent lorsqu’elles feront du shopping. Suzanne sera surement changée deux ou trois fois d’ici ce soir.
Alors que Suzanne descend les escalier Laurence voit nettement la couche en bas des escaliers. Sa fille a l’air d’une fillette de trois ans et pas d’une ado de quinze ans.
Suzanne est priée d’aller à la voiture, elle place la tétine dans la bouche de sa fille alors que Laurence ferme la porte de la maison Suzanne s’installe sur la place avant bouclant aussi sa ceinture. “Excuse-moi jeune fille les bébés doivent aller sur le siège derrière.”
Suzanne fait comme on lui a dit et sa mère lui mets la ceinture. Elle attache la tétine avec une épingle et lui dit “tu mets la sucette dans ta bouche et tu la retireras quand je te le demanderai.” Elle devra la porter constamment mais pourra aussi recevoir une fessée à la première opportunité.
Alors qu’elles se dirigeaient vers le centre commercial, Suzanne n’a de cesse de penser comment rendre la couche discrète et qu’est-ce-que sa mère pense lui acheter de plus. Alors qu’elles sont arrêtées au feu, Suzanne laisse tomber sa sucette car des gens l’aperçoivent à l’arrière de la voiture avec sa sucette cela la fait pleurer. “Tu remets de suite a sucette, je t’ai avertie sur ce qui t’arrivera plus tard tu es quitte pour une bonne fessée que tu n’oublieras pas de sitôt.”
Arrivées sur le parking, sa mère sort et dégrafe la ceinture. Elle lui sort la sucette de la bouche et retire l’épingle. “Comme c’est ton premier jour tu n’auras pas la sucette aujourd’hui en public mais tu auras ta fessée promise tout à l’heure. Tu devras utiliser ta sucette en public sans hésitation et peu importe l’embarras.
Laurence verrouille les portes retourne sa fille, lui remonte la jupe expose ses couches à tout ce qui pourraient être présent. D’une main elle tâte le fond de la couche et s’exclame que la couche de sa fille est encore mouillée et qu’elle doit être encore changée. Elle remet la jupe et les voilà se diriger vers le centre commercial.
Le premier magasin est spécialisé dans la nurserie où Laurence empile différentes choses dans le caddie. Lotion pour bébé, talc, crème blanche anti-irritation, biberons, hochets, lingettes et autres petits pots. Elle prend aussi un grand matelas à langer et le plus grand pot de chambre lui faisant remarquer qu’elle pourra s’assoir dessus dans la cuisine, le salon ou partout où elle décidera. Suzanne est apeurée à l’idée de s’assoir sur un pot alors que sa mère regarde ou quelqu’un d’autre ainsi que de se faire essuyer avant d’aller sur la table à langer pour se faire remettre des couches propres.
Alors qu’elles étaient à la caisse Laurence demande s’il y a des tables à langer dans le coin. La caissière lui montre un endroit du magasin et après avoir payé Laurence prends sa fille par le bras se dirige vers l’endroit indiqué et dit “Allez chérie il est temps de changer cette couche mouillée et que tu sois au sec.” Tout le monde autour d’elles ont bien entendu et peuvent à présent remarquer la bosse sur ses fesses ne laissant aucun doute qu’elle portait des couches épaisses sous sa jupe.
Alors qu’elles sont dans la pièce, Laurence retire la jupe et la fait s’allonge par terre où elle retire sa culotte plastique et dégrafe sa couche toute mouillée. Alors qu’elle allait essuyer l’entrejambe sa fille, deux jeunes femmes et leurs bébés arrivent. Les femmes sont surprises en premier mais commentent qu’il n’y a pas d’âge pour remettre des couches.
Laurence continue de nettoyer et passer la crème à sa fille alors qu’elle parle aux deux femmes disant que Suzanne refait pipi au lit et dans sa culotte et qu’elle sera traitée comme un bébé comme punition. Une des deux qui regarde la change dit que c’est très mignon et que la pubis rasé est très pratique pour changer les couches.
Après cela Laurence place deux nouvelles couches coton sous les fesses de sa fille les plie et les épinglent. Elle remet la culotte plastique ainsi que la jupe. Elles parcourent toute la journée le centre commercial Suzanne faisant très attention à ne pas trop dévoiler sa couche. Sa mère lui faisait souvent prendre l’escalator sachant que beaucoup de mode apercevrait la couche.
Après un ultime changement de couches Laurence en a assez pris pour aujourd’hui. Elles ont aussi un autre arrêt à faire avant de rentrer. Arrivés à la voiture, Suzanne s’assoit derrière Laurence lui met la ceinture et lui donne un biberon. “Tu le retire que quand il est vide”. Une fois de plus tous les piétons peuvent voir Suzanne et son biberon.
Alors qu’elles se dirigent vers la maison elles tournent dans une rue qu’elle connait très bien, c’est la maison de la meilleure amie Jenny. Elle s’arrête et détache sa fille lui donnant la tétine “S’il te plait maman pas la tétine Jenny va le voir et elle va se moquer de moi.” Sa mère répond “Ne t’inquiète pas ma chérie ce sera rien du tout”.
Alors qu’elles approchent de l’entrée la porte s’ouvre et La maman de Jenny les accueille n’étant pas très surprise par la tenue de Suzanne.
“Salut Jane, est ce que tout est prêt ?” demande Laurence. “Oui tout est fini comme tu l’a demandé je me suis débrouillée pour finir hier soir.”
Jane regarde Suzanne et lui dit qu’elle est vraiment très jolie habillée comme cela mais je ne peux pas encore changer ta couche, tu devras encore attendre un peu. Suzanne se demande comment elle connait son secret alors qu’elle entre dans le hall. Jenny voit Suzanne et ne peut contenir son fou rire.
Jane regarde Jenny sévèrement et lui demande si tout est prêt dans le living. “Oui maman !” répondit-elle en regardant Suzanne.
Alors qu’elles arrivent dans le living le visage de Suzanne se décompose alors qu’elle voit toutes les robes de bébé pendues remplissant la pièce. Il s’agit de robes de bébé mais toutes à la taille de Suzanne sachant qu’elle allait les porter.
“Regarde Suzanne tatie Jane a fait tout ça pour toi, une garde-robe complète, regarde ces magnifiques robes jaunes, roses, blanches avec tous les volants et si enfantines. Il y a même tout un tas de culottes assorties, des bodys, les bonnets mitaines et chaussons. Tous les bodys facilitent le change avec des pressions pour retirer facilement tes couches. Alors Suzanne, qu’est-ce qu’on dit à tatie Jane, tu pourras lui faire un gros bisou pour tout le bon travail qu’elle a fait.”
Suzanne explose en larmes et dit “Tu me fais chier, tu ne crois pas que je vais porter ces merdes.”
Elle n’a pas fini sa phrase que Laurence lui fout une claque et l’entraine vers le canapé. Sitôt assise elle trousse sa fille la déculotte et lui flanque une bonne fessée. “Je t’ai avertie, cette fois tu prendras deux fois ce que tu mérites devant tatie et ta cousine. Tu montreras que tu es un vrai bébé.”
La fessée est très sévère et malgré les supplications de Suzanne la fessée continue encore et encore. Les fesses sont très rouges puis elle est mise au piquet sa jupe remontée et épinglée dans le dos et sa couche mouillée à la hauteur des genoux. Son derrière bien rouge et exposé à la vue de tous.
“Ok mon bébé tu restes là 30 minutes tes mains sur la tête. Si tu bouges je continue ta fessée ou Jane voir Jenny le feront pour moi.”
“Jenny s’approche de Suzanne, elle n’en revient pas que ce soit avec cette fille les fesses rougies au piquet qu’elle est allée acheter des dessous sexy. Jenny se rends compte qu’elle va passer du bon temps avec al punition de Suzanne.
Les deux mamans sortent de la pièce et Jenny dit “J’ai hâte d’être lundi que tout le monde sache que tu portes des couches parce que tu fais pipi dans ta culotte sans compter que tu as le pubis tout lisse comme un bébé.”
“Tu es une vraie salope !” crie Suzanne furieuse de sa copine se moquant d’elle. Si tu parles à quelqu’un je te tue.”
A ce moment, Laurence arrive et entraine à nouveau sa fille sur une chaise en reprend la fessée. “Je vois que la leçon ‘na pas suffit, il faut recommencer. Tu as désobéi et te voilà encore fessée. Je ne tolère aucun écart de langage ma fille et ne tolèrerai pas plus tard non plus.” Les claques crépitent. Suzanne implore. Puis la fait retourner face au mur.
Laurence demande à Jennifer si elle veut changer son amie et lui faire essayer la nouvelle garde-robe. “Oui merci.”
“Je pense qu’elle doit d’abord aller au pot, Jenny tu peux aller chercher le pot dans la voiture ?”
Un instant plus tard, Jenny amène le pot et le pose au milieu de la pièce et Suzanne doit aller s’assoir dessus puis faire pipi comme une grande. Jane revient de la cuisine avec un biberon plein. Elle lui donne à Suzanne qui sort sa tétine et boit le biberon.
Une dizaine de minutes plus tard. Suzanne doit aller s’allonger par terre et Jenny s’agenouille et lui retire ses vêtements et sa couche. Une fois toute nue, Jenny plie deux couches coton et le place sous les fesses de Suzanne, li passe de la crème puis soulève ses jambes pour passer la crème sur son derrière tout rouge. Elle referme les couches et passe la culotte plastique.
Alors que Suzanne est enfermée dans sa couche propre. Jenny choisi une robe très courte à manche ballons et la passe sur Suzanne et lui ferme la fermeture éclair dans le dos. Elle ajoute le bonnet et les chaussons assortis. Pour la touche finale elle lui met les mitaines et les attachent l’une à l’autre au poignet s’assurant que Suzanne ne puisse plus se servir de ses mains.
“Elle a vraiment l’air d’un bébé” dit Laurence “Maintenant essayons les chaussures. Des chaussures blanches en cuir à boucles.
“Juste un petit détail pour finir la transformation” dit Jane et sort un gros biberon avec marqué “bébé Suzie”. Jane lui attache le biberon autour du cou avec un beau ruban rose et lui mets dans la bouche.
Jane, Laurence et Jenny regarde cette pauvre Suzanne assise par terre habillée en bébé en train de boire son biberon. “Elle ressemble beaucoup à un bébé de 6 mois” rigole Jane.
Laurence se tourne vers Jenny et lui demande si elle veut bien faire baby-sitter quelquefois tout en pouvant inviter d’autres filles. Elle saute sur l’occasion pour lui dire quand elle veut elle était très contente de pouvoir la montrer à tous les gens qu’elle connait.
Sur ces mots elles rentrent à la maison. Suzanne était fatiguée de cette journée et s’endors dans la voiture. Alors qu’elle dort, elle mouille à nouveau sans s’en rendre compte. Mais sa mère se rend compte qu’elle a aussi fait caca vu l’odeur régnant dans la voiture. Elle était satisfaite que sa fille ne se soit pas rendu compte et cela peut durer très longtemps.
Arrivées à la maison Laurence aide Suzanne à moitié endormie à entrer dans sa chambre. Suzanne est un peu hagarde quand elle entre dans sa chambre.
La pièce ressemble à une nurserie. Les murs roses avec des impressions enfantines, une grande table à langer, un panier à linge pour couches sales et le lit avec de grands barreaux.
“Voici ta nouvelle nurserie mon bébé !” Laurence place son bébé sur la table à langer retire sa couche sale et lui nettoie bien son entrejambe tout merdeux. Une fois toute propre et bien langée elle lui fait monter les barreaux lui fait un gros bisou et lui souhaite bonne nuit.
Fin de la deuxième partie
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