Ma petite amie en couches
Je suis DL, un vrai. J’adore porter des couches par plaisir, les mouiller, « jouer » avec en somme mais le plus important est que ma petite amie porte des couches aussi. Les mouiller et prendre du plaisir aussi.
Les couches en plastiques sont mes préférées. Le bruit de froissement du plastique lorsque l’on marche me plait beaucoup.
Faire cela tout seul est une chose, mais avec une petite amie ça devient plus compliqué.
Je possède un peu de matériel, pas de quoi faire un donjon mais j’ai toujours trois à quattre paquets de couches, de differentes absorptions mais aussi des accessoires comme un bock a lavement, un thermomètre rectal, des culottes plastique, plugs, tapettes en cuir. Le matériel de base d’une personne à la sexualité décomplexée.
Avouer de but en blanc qu’on aime porter des couches fera fuir à coup sûr votre partenaire mais lors d’une relation si je sent qu’elle a un avenir quelconque, je m’engouffre dans la brêche pour voir ma dulcinée vétue d’une couche. Mes fantasmes sont plutôt orientés vers une femme qui porte une couche ou une culotte bien enveloppante, je n’aime pas les string. La chatte rasée reste un incontournable.
Les bases sont posées une fois avec ma petite amie, j’essaye d’en arriver à parler du sujet sans être trop insistant. Si elle a envie d’aller ax toilettes je lui laisse comprendre que je viendrai bien la regarder même l’essuyer. Sinon je lui dit aussi que si on portait des couches, nous serions pas pressé d’aller aux toilettes. Des fois cela porte sur la température.
Sur ce point voila comment cela s’est passé avec Sandrine.
Cela faisait une bonne semaine que nous sortions ensemble. Nous étions chez elle. On parlait de tout, de rien puis nous en arrivons à parler de plug, je sort celui que j’avais, un petit modèle couleur chair bien souple. Je m’assoit bien droit sur le canapé et elle viens à côté de moi comme pour recevoir une fessée elle baisse sa culotte, retire sa jupe et s’allonge sur mes genoux. La position est très confortable, ses fesses à l’air bien exposée. Ell cambre bien ses reins j’attrappe le plug, le suce pour le lubrifier et ma main descent dans son entre jambes.
Sa vulve commence à mouiller et elle écarte un peu ses jambe pour laisser le libre accès à ma main chaude. Je fais rentrer le plug un peu dans son vagin, le ressort et le présente devant l’anus. Ell se cambre un peu plus. L’accès à son petit trou est plus aisé. Je commence à l’enfoncer délicatement mais fermement. En plusieurs va et vient le plug est bien enfoncé.
J’explore à nouveau sa vulve, il n’y a as de secrets tout est mouillé. A l’aide du pouce je tiens le plug enfoncé et les autres doigts virevoltent tout autour du vagin bien lubrifé et du clito.
« Tu est vraiment une chipie ! » Sur ces mots il part une claque sur une fesses, puis l’autre. Elle cambre à nouveau ses reins, ne laissant aucun doute sur son plaisir, le mien aussi ! Je lui tire les cheuveux et continue ma fessée.
« Oui je suis une chipie » répondit-elle. De temps à autre je vais fouiller son intimité. Je sent que ça monte. La fessée continue, les fesses rougissent le plug et mes doigt dans sa chatte sentent une contraction. Je mets les deux doigts dans le vagin et dans le mouvement de va et viens lent mais ferme je sent que le vagin se raidit et s’humecte encore plus, elle halète puis joui sans réserve avec de petit gémissements. Je continue mon massage perinéen qui fini sa jouissance en apothéose. Une fois revenue à ses esprits elle reste dans cette position sur mes genoux.
Elle se lève et contre toute attente garde le plug. Elle reviens de la salle de bain me montrant le thermomètre. Je lui laisse prendre place sur le canapé et me demande de baisser mon caleçon. Je défait ma ceinture ouvre mes bouton et descent mon jean puis mon caleçon à mes genoux.
Comme elle je m’allonge en travers de ses cuisses, elle place de la vaseline sur le thermomètre et écarte mes fesses avec sa main gauche, la main droite pointe le thermomètre à l’entrée de mon intimité. D’un geste sûr le thermomètre glisse dans mon rectum. En plusieurs fois. Je ne pensait pas qu’il fallait l’enfoncer si loin. C’était terriblement excitant. Mon pénis ne laissait aucun doute sur l’état d’excitation dans lequel j’étais.
Sa main droite faisait entrer et sortir le thermomètre, le fait tourner. Puis je sent une fessée arriver. Je reste surpris. « Tu est vraiment un cochon » dit elle en continuant à me fesser. Sachant qu’elle avait toujours le plug dans son beau petit cul la situation était très excitante. Je sentais la chaleur cd mes fesses monter, cela me penatrait dans le ventre aussi.
Alrs qu’ell marque un pause. Ell retire le thermomètre et sans lire la température me fit lever. J4avais les fesses rouges et mon sexe au garde à vous. Elle me fit allonger sur le dos après avoir retiré mon jean et caleçon. Elle me fit remonter les genoux sur ma poitrine et me remit le thermomètre. Curieuse façon de prendre la température. Elle me fit poser les pied. Le thermomètre toujours bien planté dans les fesses la voila en train de saisir mon pénis tendu et commence à le sucer doucement.
Je tends le bras et lui caresse son entre jambes et touche le plug toujours bien en place. Elle aspire mon sexe d’un manière que je n’imaginais pas, c’était divin. Elle mettait beaucoup d’application pour faire cette pipe. J’étais aux anges. Une main tenait le thermomètre et me massait l’entrejambe, l’autre autour du penis et massait les testicules, elle ne parlait pas la bouche pleine.
Je sentais l’aspiration et ne pouvait resister à l’invitation de jouir. Je senti son rythme baisser mais le maintien était ferme. Elle m’invita à éjaculer dans sa bouche. C’était l’apothéose? Mon sperme giclait dans sa bouche alors qu’elle massait quasiment tout mon entre jambe. J’ai n’ai jamais eu un orgasme aussi long et intense.
Elle retire le thermomètre et mous sommes allés nous doucher. Je lui fait remarquer sa petite trace jaune dans la culotte et qu’elle n’avait pas le choix qu’elle devait porter des couches, marre qu’un mauvaise gamine laisse sa trace.
Elle rigole et me dit que j’oserai pas faire ça. Je lui dit qu’en plus c’est elle qui allait les acheter. Elle a relevé le défi, je n’y croyais pas. Je l’ai ammené devant un magasin de matériel médical, je savais qu’il y avait les bonnes couches, des tena slip maxi (plastiques). Je lui ai montré et elle est rentrer les acheter.
Une fosi sorti du magasin nous sommes rentrés chez elle et avos commencé par se mettre une bonne dose de crème blanche anti-irritation sur l’entrejambe puis mettre les couches.
Nous avons passé une soirée inoubliable. Ce fut son premier contact avec le couches.