La fenêtre cassée
Quand on est ado, il n’est pas rare de faire des bêtises. Je m’appelle Hugo et avec ma cousine Alice nous passons de très bons moments à s’amuser ensemble.
C’est un vrai garçon manqué mais il lui arrive de porter des jupes elle est très sexy et casse-cou.
Les visites chez mon oncle et ma tante sont toujours un grand plaisir.
Nous sommes allés jouer au ballon dans la cour. De temps en temps un coup de pied malheureux faisait aller le ballon sur la terrasse situé plus haut.
Ma tante Danielle sorti et dis « Faites attention les enfants, ne cassez rien, sinon gare à vos fesses ! »
« Oui, oui » fut la seule réponse entre 2 rires.
Un malheureux coup de pied mal ajusté, le ballon allait finir sa course dans la vitre du garage.
Après une courte pause, nous avons recommencé à jouer.
Personne n’avait entendu le bruit de la vitre se casser, c’était pas grave, mais on a bien ri.
Le lendemain, Danielle vit la vitre cassée et demanda des comptes à sa fille. Alice dit que c’étais pas nous. Danielle ne croyant pas trop aux fantômes, elle sermonna Alice. Je sentais que la discussion tournait assez mal, Annabelle s’obstinait à nier. La vitre cassée avait généré de nombreux bouts de verres dans le garage et on risquait de se blesser.
De toute façon il n’y avait que nous qui jouions ici, ça ne pouvait être que nous.
Le ton s’éleva entre mère et fille, Danielle la prit par le bras et la mit devant le fait accompli, lui reprocha de ne pas l’avoir avertie, faire des bêtises ça arrive, mais les fesses d’Alice avaient trop souvent connu la ceinture pour annoncer cela.
Ca tournait très mal pour Annabelle qui s’enfonçait de plus en plus.
« Le pire c’est que tu mens » Dit Danielle « Et là je vais m’occuper de tes fesses, tu vas tout de suite dans ma chambre et tu m’attends ».
Sur ces mots ma tante attrape fermement Alice par son bras et l’accompagne dans la maison.
La dispute a fait sortir tout le monde, ma mère vint me voir et me demanda des comptes sur ce qu’il s’était passé.
Je lui ai raconté pour la vitre, j’étais tout penaud.
En rentrant dans la maison, on entendait la dispute qui continuait dans la chambre.
« Si tu refuses de me dire que c’est toi ou ce qu’il s’est passé, la ceinture s’occupera des fesses d’une menteuse comme tu es ! »
« Pas la ceinture s’il te plait, j’ai rien fait »
En fait le tort était partagé, un coup de pied d’Alice, je l’ai dévié et ça a cassé la vitre.
« S’il te plait maman !!! » furent les derniers mots qui sortaient de la chambre.
Ma tante prit sa fille en travers de ses genoux, troussa sa jupe, descendit sa culotte « NON pas la culotte s’il te plait ! je suis trop grande »
« Tu n’es pas trop grande pour des bêtises de gamines, alors tu seras traitée comme une gamine »
Tout le monde écoutait ce qu’il se passait.
« Clac, clac, clac… »
On n’entendait que ça.
Ma mère se tourna vers moi et me demanda ce qu’il s’est passé.
Je lui racontais sans sourciller.
Elle me saisit par le bras, m’emmena en direction de la chambre ou Alice recevait sa fessée.
En entendant nos pas arriver, Danielle marque une pause.
Alice supplia sa mère de la laisser, de ne pas la laisser voir ses fesses devant nous.
Ma mère dit : « je crois que tu aurais pu prendre la défense de ta cousine et dire que VOUS aviez cassé cette vitre »
Je racontais alors ce qu’il s’était passé.
« Bon très bien Alice tu n’échappes pas à la ceinture » dis Danielle.
« Mais Toi tu vas avoir le même traitement, il n’y a pas de raison » dit ma mère en se tournant vers moi.
« MAMAN s’il te plait, je ne te mentirai plus, je serai sage, pas la ceinture, pas devant Hugo, s’il te plait » dis Alice.
« Vous faites vos bêtises ensembles, vous serez fessés ensemble. Jean, tu descends ton pantalon et ton slip » tout en attrapant le bouton de mon pantalon que je m’empressais d’attraper.
« MAMAN », elle reculait.
« Ne réponds pas, sinon tu passeras la journée cul nu cela rappellera à tout le monde que tu as mérité »
Ma mère ne rigolait pas, je le savais, elle n’a jamais été comme ça avant.
« Descend moi de suite ce pantalon »
Je m’exécutais, le problème c’est que j’étais en érection, la vue des fesses rouges de ma cousine m’avait terriblement excité et Alice l’avait vu malgré ses yeux remplis de larmes.
Je déboutonnais lentement mon pantalon, très gêné « Aller du nerf » Visiblement tout le monde avait vu mon érection, ma mère me prit par le bras, m’emmena dans le coin auquel je fis face.
Dans mon dos, elle finit de dégrafer mon pantalon, me le descendit aux genoux, puis elle saisit l’élastique de mon slip, je ne savais plus « S’il te plait…. » « Pas de manières garçon, Alice reçoit sa fessée cul nul, toi aussi »
Ma mère saisit mes bras et me les fit mettre sur la tête, tout en étant tourné vers le mur, elle saisit l’élastique sur le devant de mon slip, dévoila mon zizi tout dur sans autre manière, puis descendit d’un coup sec mon slip à hauteur des genoux. Mon pantalon, lui s’était affalé à mes chevilles. J’avais les larmes aux yeux.
La fessée d’Alice repris « clac, clac… » Annabelle n’avait pas perdu une miette et continuait à se rincer l’œil sur mes fesses ainsi mises à nu, elle ne se plaignait plus par ailleurs.
Ma mère demanda à ma tante où était la ceinture, elle stoppa la fessée et lui indiqua le tiroir de la commode.
« Tu t’occupes de Jean aussi, je m’occupe de les fesser à la ceinture » Dis ma mère à Danielle.
Je me retournais, je vis qu’Alice me regardais, puis fait semblant de regarder ailleurs pendant que la fessée continuait de plus belle.
« Allez, va remplacer ton cousin dans le coin et toi Jean, viens prendre la place » Alice se leva des genoux de sa mère, et sa culotte aux genoux se dandina jusqu’à ma place, je n’osais la regarder, son sexe commençant à avoir quelques poils en pleine puberté, ses fesses rougies, cela m’excitait beaucoup. Elle a esquissé un petit sourire malgré ses larmes en regardant bien mon sexe tout dur.
Je me tourne et cache mon pubis avec mes mains, personne ne fait de remarques là-dessus, ma tante me couche fermement sur ses genoux, me fait une clé au bras, histoire de ne pas pouvoir couvrir mes fesses.
« Bon garçon ta maman m’a demandé de te punir, tu auras droit au même traitement que ta cousine »
A peine eut elle finit que ça commence « clac, clac… » Ouf, ça fait mal, j’ai les larmes qui me montent aux yeux mon zizi reste dur et plaqué sur la jambe de ma tante.
Je tourne la tête vers le coin de la chambre et je vois Alice les mains sur la tête tournée vers le mur, sa jupe relevée rentrée dans la taille, la culotte aux genoux soulignant parfaitement ses fesses rougies des mains de sa tante.
J’étais en train de recevoir le même traitement.
Au bout d’un moment, les claques ne font plus aussi mal mais chauffent bien cela conforte mon érection.
Alice se tourne de temps en temps pour regarder ma punition.
Ma mère s’approche et SMACK sur les fesses d’Alice « les mains sur la tête t’a dit ta mère » alors qu’elle était en train de caresser ses fesses.
« S’il te plait tatie, ça fait mal »
« Tu n’as que ce que tu mérites » Répondit ma mère tenant la ceinture et regardant ma tante enchainer les claques sur mes fesses déjà bien rouges.
Enfin une accalmie.
Ma tante regarde mon fessier, celui de sa fille et continue. « Je vous mets à égalité » Dit ma tante.
clac, clac « Aie.. » encore une bonne minute à bon rythme, enchainant d’une fesses à l’autre tous les 2 ou 3 coups.
« Bon c’est fini » Dit Danielle « Retourne dans le coin à côté d’Alice »
Cette dernière se retourna, tout le monde voulait voir mon sexe pointé.
Je me cherche à attraper mon slip mais des remarques de ma mère et ma tante « Non, tu y va comme ça » alors je me dandine vers le coin en essayant de cacher ma verge.
Alice n’en perds pas une miette.
« Les mains sur la tête » Me rappela ma mère.
Ma tante se lève du lit, prends les 2 oreillers, les pose au bout du lit bien en boule, je devinais la suite.
« Allez en position les enfants »
Alice se dandine vers le bout du lit, se met en face d’un coussin et s’allonge dessus laissant ses fesses bien à portée de la ceinture, positionnée bien en l’air.
Je fais de même malgré mon érection, Alice ne perds rien de mon arrivée.
Quelle honte de se faire traiter ainsi.
« Vous aller recevoir 30 coups chacun, soyez sages, pas de mains sur les fesses sinon c’est des coups de plus »
Ma mère s’approche, soulève la ceinture, « CLAC ! » sur mes fesses, je criais un peu, les fesses avaient un peu refroidies, c’était terrible.
« CLAC ! » ça continue, dans ses circonstances, mon érection diminue, ouf mais à quel prix.
Au bout de dix coups, ma mère s’arrête et passe à Alice juste à ma droite.
« CLAC ! » « AIIIIE, s’il te plait Tatie, ça fait trop mal » elle aussi avait ses fesses qui avaient refroidies un peu les premiers coups sont terribles.
Puis la douleur s’estompe et laisse place à la chaleur.
« CLAC ! CLAC ! CLAC ! » Les coups s’enchainent. Alice m’attrape la main et la serre au gré des coups, ses yeux pleins de larmes se crispent comme son visage.
Reviens mon tour.
« CLAC ! CLAC !… » humm, ça commence à chauffer dur pour la deuxième série, je ne craque pas, je ne mets pas les mains.
Puis ça reviens au tour d’Alice
« CLAC ! CLAC !.. » La ceinture habilement manipulée par ma mère continue sa cinglage, puis Alice craque « Ca fait trop mal » et elle met sa main sur ses fesses pour se protéger, empêchant le ceinture d’atteindre son objectif.
« Ma chérie, tu recevras 10 coups de plus » Dit Danielle « C’est trop injuste » Rétorqua Alice « Bon alors ce sera 15, tu veux encore répondre ? »
« La ça crains ! » Dit Alice.
Sa mère arrive dessus lui donne une volée à la main et dit « Bon tu auras 25 de plus, c’est moi qui m’en occuperai, en plus tu compteras chaque coup »
« Oui maman » fût la seule réponse d’Alice en sanglot.
Je ne comprenais pas pourquoi elle répondait comme ça. Alors qu’elle n’est pas douillette.
La troisième série commence « CLAC ! CLAC ! CLAC !.. »
A cinq ma mère arrête et dit « tiens tu vas compter les derniers coup à haute voix » Il manquait plus que ça.
« CLAC ! un, CLAC ! deux, CLAC ! trois CLAC ! quatre CLAC ! cinq » ouf c’était fini.
Je commence à me lever mais ma mère m’a fait comprendre que je devais rester là.
« CLAC !… » Et la dernière série commence pour Alice. qui ne dit plus rien, gémi un peu à chaque coup et me tiens fort la main.
Au bout de 10 coups, ma tante m’attrape l’épaule et me fait dit d’aller au coin les mains sur la tête.
Mon érection a repris de plus belle.
Je faisais face au mur et derrière ma tante avait repris les choses en main.
Cette fois Alice devait compter.
« CLAC ! Un, CLAC ! Deux… » les coups et la voix tremblante d’Alice m’excitait terriblement.
Elle était allongée sur le ventre et avait la vue sur mes fesses endolories.
Je me retourne et elle me regardait, je ne voyais pas bien ses fesses mais c’était très excitant.
« CLAC ! vingt… » ce coup était très fort, la cadence élevée.
« Bon allez, rhabillez-vous et filez, j’espère que ça vous aura servi de leçon ! » dit ma tante
Pour une leçon c’était une leçon !
Sans autre avertissements, nous nous rhabillons, en passant devant le salon j’avais l’impression que nos papas se moquaient un peu de nous. « Tu auras besoin d’un coussin ce soir » dit mon oncle
« Ah ah, très drôle »
On est allés au fond du jardin puis nous nous sommes allongés sur le ventre dans l’herbe.
A suivre