Nouvelle vie – Mariage et CDD

Nouvelle vie – Mariage et CDD

Mon couple formé durant l’adolescence a duré très longtemps, mais pas assez pour passer le cap de la vingtaine. Après quelques années nous nous sommes retrouvés puis ressortis ensembles. Il m’a initié aux fessées, plugs et couches, toutes ces histoires sont relatées par le tag Daphnee.

Je m’appelle Daphnée j’ai 34 ans marié à l’amour de ma vie Hector 33 ans.

J’ai fait une bonne décision dans ma vie, celle de la discipline domestique Chrétienne.

Ce choix a longtemps été réfléchi et nous nous y sommes lancés avec grand succès.

Notre relation déjà bien épanouie se trouve encore renforcée.

J’ai passé une adolescence fantastique. Mes parents très cool, moi plutôt très sage et mon petit copain de l’époque Hector qui m’en a fait baver. Il m’avait aussi fait découvrir beaucoup de choses. J’ai vu cela quand il était trop tard, mais je n’ai pas baissé les bras et c’est 8 ans plus tard que nous nous sommes remis ensemble.

Ayant tiré les leçon du passé, notre relation s’est vite mise en place. Il avait changé, il est bien plus mature et sécurisant. De mon côté aussi. Pendant que nous étions chacun de notre côté j’ai su me dévergonder et d’en retirer la sagesse qui va avec. J’ai même un peu carburé à la coke, mais rien qui m’ai rendu accro.

Cela l’avait émoustillé un peu. Lui qui fumait beaucoup il avait tout arrêté ou presque.

Au début de notre reprise, il n’y avait pas de « réchauffé » il m’avait quitté à l’époque car il considérait qu’à 15 ans il faut voir d’autres horizons, que notre futur couple marié ne demandait qu’à aller au divorce, c’était écrit.

Nous reprîmes nos activités fétichistes quasi immédiatement. Plugs, fessées et couches-culottes se retrouvèrent au programme. Cette fois je prenais beaucoup plus de plaisir. Je me montrais aussi beaucoup plus entreprenante au niveau sexe. Comme l’Andromaque ou la levrette que je commençais à beaucoup apprécier.

Nous nous sommes installés dans une petite maison en couple, je travaille dans l’industrie pharmaceutique, lui dans l’informatique. nous menons une belle vie.

Hector toujours attiré par des sites tournant autour de ses fétichismes, j’ai commencé à m’y intéresser moi aussi. De mon côté je me sentais plus mature pour aborder cela. Il n’y avait pas de tabous entre nous et j’avais l’habitude de plier sous ses désirs mais maintenant je sais dire non et imposer mon point de vue et m’enrichir de ses idées. De ce côté-là il est assez prolixe.

Cela rends notre relation harmonieuse. Cependant des fois je me sent nerveuse, l’idée de me faire corriger m’est souvent venue à l’esprit. Cela est un fantasme qui m’a envahie après la première cassure que nous avons eu. Mes mains baladaient sur mon entrejambes avec des fantasmes de fessées.

La fessée revient souvent dans mes pensées érotiques, moi la petite fille sage qui sait se dévergonder quand il le faut.

Alors que nous avons passé une soirée bien arrosée, j’ai eu beaucoup de mal à me contenir, ce n’était pas grave, nos amis avons l’habitude des beuveries. Mais là j’ai fini dans un état lamentable mais pas humiliant tout de même.

Un petit mal de crâne le lendemain, il m’avait fait boire de l’aspirine avant de me coucher, ce qui a atténué les effets de la migraine.

Le lendemain matin, je voulais savoir si ça ne s’était pas mal passé, j’ai eu un petit trou noir en fin de soirée. J’admire mon chéri qui tiens à l’alcool mais sait aussi s’arrêter quand il le faut. Il boit beaucoup à l’apéritif et fini la soirée au jus de fruits. Le lendemain de soirée est quasiment sans conséquences me dit-il.

J’étais nerveuse et curieuse de savoir si je m’étais mal comportée. Il m’a rassuré et m’a dit que l’ambiance était assez arrosée en général mais que je n’ai pas fait de grosse bêtise mais.

Hector me dit alors que je mérite une punition. J’avais encore en la tête lourde. Et trouvais que ma punition était méritée. Je me préparais alors à recevoir une fessée. Hector me fit venir devant lui.

Je savais comment ça finirait, mais lui ne savais pas ce que j’avais à lui dire.

« Hector, j’ai besoin que tu me prenne en main, j’ai besoin de plus de discipline. Tu connais la discipline domestique ? »

Il hoche de la tête en souriant.

« Et bien soit, je voyais des signes dans ton comportement qui ne trompaient pas, tu sais que j’aime bien ce genre de choses. Tu m’accorde une confiance dont je suis très fier et nous allons poser les bases de cette discipline domestique à la maison. »

J’étais aux anges de la savoir content. Nous discutons de ma totale soumission à lui. Qu’il prendrait peut être des décisions arbitraires mais que cela ne dépassera pas les bornes. Je le connais trop bien, c’est un homme bon comme je suis une femme qui a besoin de marcher droit.

Cette discipline en vogue dans les années près guerre que nous n’avions jamais connue a un côté très désuet, mais cela m’excite beaucoup. Il a besoin de beaucoup de liberté et moi d’être plus encadrée. Chacun trouvera son compte car je sais que je vais avoir ce que je recherche il va me faire marcher à la baguette et j’en ai très envie, ses idées qui me guident seront un vrai plaisir. Il me dit qu’il m’arrivera de pleurer et j’ai accepté sans conditions. J’en rajouterais un peu car je sais où il veut en venir. J’ai moi-même un petit faible pour montrer mes émotions.

Puisque la décision était prise d’être soumise à mon mari, ses désirs seront des ordres. Pour commencer il me fit aller au coin, le nez collé au mur puis il descend le bas de pyjama et la culotte à mes pieds et me dit que mon comportement de la veille mérite un peu de réflexion. Il me met deux claques appuyées sur les fesses. Et me laisse comme ça.

Il ne m’avait jamais mis au piquet mais maintenant que j’ai avoué mon penchant pour la discipline domestique je ne pouvais plus reculer. Je sais qu’il a en tête beaucoup de choses qu’il n’osait pas me dire peut-être à cause du ridicule, mais cette discipline désuète nous plait beaucoup et il se montrer un mari très aimant.

Il a l’esprit prolixe et je pense que dans pas longtemps je ne vais plus regarder le mur.

A suivre.

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