Nouvelle vie – Première punition en CDD
Après s’être mis d’accord sur la discipline qu’il allait régner dans notre foyer, je me trouve dans la situation de la femme soumise à son époux.
Cette situation officialisée de mes aveux me plait beaucoup. J’ai besoin d’être encadrée et j’aime beaucoup ses idées même s’il est un peu tête en l’air, je sais que ma soumission n’aura rien d’un calvaire mais sera un petit paradis. J’ai réussi à briser mon silence pour lui avouer mon penchant de soumise et nous l’appliquons dans le cadre de la discipline domestique chrétienne la CDD.
Face au mur les fesses à l’air, je dois m’habiller pour sortir, mais ne sais pas où l’on va.
Toujours dans mon coin, cul nu il me demande de m’habiller pour sortir.
Sans lui poser de questions il me dit que nous allons faire du shopping à la pharmacie et dans des boutiques car n’avons pas de bock à lavement et que je serai chargée de l’acheter. Des couches aussi, nous aimons bien les tena slip en plastique. D’habitude c’est lui que se charge d’acheter le matériel médical mais là je comprends que ce sera mon tour. J’ai moi aussi appris à grandir et cette « épreuve » n’en est plus une, je le prends donc avec beaucoup de philosophie. De plus il va falloir un martinet, une raquette de ping-pong et au moins une tenue adaptée pour mon épouse qui fait des bêtises. Pour la tenue, celle d’écolière sera la première, mais pas celle des films X trop courte à son gout, il préfère le réalisme des uniformes anglais des « schoolgirls ». L’inventaire est simple je dois acheter une jupe plissée grise ou écossaise tombant aux genoux, un chemisier blanc, une veste d’uniforme et des mi-bas blanc. Les culottes « petit bateau » et les talons plats je les ai déjà.
Quel programme, je sens que je vais apprécier d’en baver. Ces termes antithétiques vont de pair avec les fantasmes finalement. Nous pouvons explorer nos fantasmes les plus tabous avec un grand naturel comme si c’était une évidence.
En voiture je me laisse conduire et il m’arrête devant un magasin de matériel médical. Il me demande d’aller acheter 2 paquets de tena slip maxi. En fait je n’y faisais jamais attention, c’était lui qui achetait les couches habituellement. Quand le vendeur me demande quelle taille j’ai eu un petit embarras mais en répondant moyenne, l’honneur était sauf.
Je ressors avec mes deux paquets en main, je me sentais toute drôle d’avoir acheté ça. Je devais avoir les joues rouges. Prochaine étape la pharmacie, une où l’on ne va jamais, heureusement, je dois acheter un bock à lavement, une poire à lavement ainsi que des suppositoires à la glycérine, tout un programme.
Ça n’a pas été facile mais la pharmacienne n’avait pas de poire à lavement. Puis elle me demande les suppositoires, par combien, 25, 50 ou cent ? Adulte ou enfant ?
J’en ai fait mettre 100, je savais où ils allaient finir. Me voilà avec mon petit sac sortant de la pharmacie pour une prochaine étape en ville.
Nous parcourons les boutiques et avons acheté ma tenue d’écolière au complet.
Nous avons décidé d’aller prendre un bon bain tous les deux. Voyant mes quelques poils il me dit qu’il va me payer une épilation définitive, gloups, c’est vrai que je me rase que de temps en temps et là l’état était très négligé. Il me dit qu’une bonne éducation me fera du bien et qu’il me rasera pour cette fois et que je dois raser intégralement ma chatte tous les jours. Les poils c’est fini, même si l’annonce est un peu abrupte mon nouveau statut de femme soumise m’empêche de répondre, ça serait une offense alors j’accepte.
Bien lavée et rasée, nous sortons tout propres du bain alors que la nuit commence à tomber. Nous nous mettons en pyjama. Mais toujours pas de fessée ou autre punition en vue.
Nous prenons un apéritif et bavardons un peu. Je suis curieuse de ses intentions, mais monsieur cache bien son jeu. Je lui dis que j’ai été vilaine et l’embrasse en lui saisissant son sexe tout dur. Il me déshabille m’allonge sur le canapé et il commence à me pelotter les seins, les sucer l’excitation commence à monter. Puis il descend à mon minou fraichement rasé et commence un cunni très lent mais très puissant, sa langue passant de l’anus en haut de mon clito c’est divin. Il se tourne et me laisse accès à son dart, je masse ses bourses. Je suis très excitée il me fait l’amour. C’est un très bon moment. Puis une fois fini il me dit que maintenant je vais avoir ma punition tant méritée.
Oh merde ! Il me dit qu’une punition ne doit pas être un moment agréable et qu’il sait qu’après avoir fait l’amour on se détend mais là il m’a eu. Il me fait remettre en pyjama m’insère deux suppositoires et me dit de mettre les affaires d’écolière à laver, la tenue devra être prête ce soir. De retour il me descend mon pyjama mi-cuisse exposant à nouveau me fesses et me fait mettre à genoux au piquet derrière la télé pour qu’il puisse mater les deux en même temps.
A genoux les mains dans le dos et mes fesses à l’air je me demande ce qui va pouvoir se passer. Les idées trottent se croisent dans ma tête. Au bout d’un quart d’heure, j’essaye de me retourner voir ce qui se passe, il arrive vers moi et me colle 4 grosses fessées me disant que je ne dois pas regarder derrière, c’est de la désobéissance puis il me dit que je resterai là encore un bon quart d’heure.
Les suppos commencent à faire effet et mon ventre commence à gargouiller. La position sur les genoux devient vraiment inconfortable et je commence à dandiner d’un genou à l’autre. L’attente est interminable. Je l’entends se lever puis plus rien, le son de la télé couvre tout ce qu’il peut faire. Encore 5 minutes dans ce coin, je ne tiens plus j’ai trop envie d’aller aux toilettes, je vais me faire caca dessus si je dois encore rester là mais j’arrive à maitriser.
Je l’entends revenir il fait des choses mais je ne sais trop quoi. Il vient à ma hauteur et me dit que je peux aller aux toilettes. Le soulagement, je me lève et me dandine jusqu’aux toilettes avec mon bas de pyjama entravant mes pas. Je remarque qu’il a mis une serviette par terre et le bock à lavement est surélevé sur une étagère.
« Je t’attends, tu as trois minutes, je n’attendrai pas une minute de plus. »
Je me soulage de l’irritation provoquée par les suppositoires à la glycérine. Ça fait du bien mais je traine pas.
De retour au salon il m’invite à retirer le bas du pyjama et me fait allonger sur le dos plier, soulever et écarter mes genoux.
Il m’introduit la canule vaselinée toute froide dans mon fondement et ouvre le robinet. La sensation est tout de suite agréable. C’est mon premier lavement de sa part. J’en ai déjà eu un à l’hôpital pour les problèmes de constipation.
C’était complètement différent, j’aime beaucoup ces situations embarrassantes. Je commence à avoir des crampes, je grimace il coupe de suite le flot et le laisse reprendre, finalement ça va. Les deux litres passent. Il me fait lever lui montrant mes fesses pour retirer la canule. Lorsqu’elle est retirée l’envie de faire caca se fait très forte. Les crampes sont très fortes. Il me dit que je vais le garder 5 minutes avant d’aller aux toilettes mais je commence à pleurer et me dit de me mettre à quatre pattes de suite. Les crampes se sont calmées. Il me dit que je peux aller aux toilettes et que je prenne mon temps.
Pendant ce temps-là lui recharge deux litres avec un peu de savon, l’eau en est laiteuse puis il passe aux toilettes alors qu’il n’avait jamais fait cela avant. Il me dit de rester puis m’annonce la suite. Il a prévu un autre lavement au savon puis un dernier à l’eau claire. Pendant ce temps-là je suis gênée, mon ventre gargouille faisant des pets mêlés d’eau. Il m’apporte un verre d’eau et me demande de boire. Je m’exécute tant que je me soulage, tout va bien.
Pour le deuxième lavement il me fait mettre à quatre pattes les cuisses un peu écartées posée sur les coudes. Je lui montre toute mon intimité et cela nous plait beaucoup, le tout entremêlé de honte en position déconcertante. Je prends mes deux litres sans rien dire, ça a l’air plus facile la deuxième fois, l’eau est un peu plus chaude. A la fin je dois le garder encore 5 minutes mais il me fait faire des exercices de fessier. Je dois lever ma jambe en l’air et alterner. Me mettre allongée, debout. Il me fait un peu rester debout et les crampes arrivent vite, puis allongée sur le ventre ça tire moins. Je vais enfin me soulager il me rejoint et insiste.
Arrive le troisième lavement, allongée sur le côté gauche une jambe relevée exposant bien mon intimité. A chaque fois qu’il introduit la canule dans un petit trou il profite pour masser la vulve et me faire passer un moment agréable. Alors que l’eau s’instille dans mes intestins, il intensifie ses caresses intimes jouant aussi avec le tuyau connecté directement à un de mes organes de plaisir.
C’est très agréable et ‘pan’ une fessée, quelques coups bien appuyés puis me dit « Tu ne dois pas jouir quand tu es punie, seulement si je te le dis mon ange » Ca me rappelle à la réalité. Du temps qu’il me dise cela, le lavement était fini, je ne le sentais presque pas. Il me laisse là avec le tuyau connecté et un minuteur de cuisine sur 6 minutes. Il continue à jouer avec le tuyau et ma chatte à mon plus grand bonheur.
Cette fois il me fait me lever gardant le tuyau dans mon anus et m’accompagne aux toilettes, me retire la canule et me fait assoir sur les toilettes. Je suis gênée mais il me mets à l’aise et je vide mes intestins.
Les affaires d’écolières sont lavées, un passage au sèche-linge et hop c’est quasi prêt