La punition de Caro

Dès que Caro est arrivée dans le bureau de la Directrice, elle a tout de suite été conduite dans la pièce annexe, la « salle de bains ».

Une table recouverte d’une feuille de plastique attendait la jeune fille. La Directrice avait fait apprêter les accessoires dont elle aurait besoin: des gants médicaux, des suppositoires de glycérine, du talc, un pot de vaseline, une couche-culotte taille adulte, quelques couches droites, deux culottes en plastique, une boite de Kleenex, un rouleau de papier absorbant. Sur un plateau il y avait une bouteille d’eau de 2 litres et un grand verre rempli d’un liquide brunâtre qui ressemblait à du coca.

Caro n’y menait pas large. Les derniers jours elle avait crané, et quand ces amies lui demandaient si elle avait peur, elle répondait toujours « Pffff… ! »
Au fond d’elle-même elle n’était pas tranquille, parce que cette fois-ci, la Directrice allait s’occuper personnellement d’elle, et qu’il n’y aurait pas de témoins. Il parait que lors de séances pareilles, la Directrice se montrait particulièrement ingénieuse… Toutes les filles qui avaient subi une punition « entre quatre yeux » n’en parlaient jamais, elles avaient trop honte…

Caro essaya de se composer un visage indifférent, mais sentit les coins de sa bouche trembler. Debout devant la table recouverte de plastique, elle avait les jambes flageolantes. Elle avait déjà envie de faire pipi en classe, mais l’assistante l’avait cueillie a la sortie du cours, l’empêchant d’aller aux toilettes. L’envie devenait pressante.

« Buvez! »
Caro prit le verre et y renifla. Ça sentait fort. C’était sûrement du coca, mais ‘enrichi’ d’alcool. Elle n’osa pas refuser et but. C’était frais et délicieux. Le goût du laxatif puissant était masqué par le coca et le cognac. Caro ne se rendit compte de rien. Comme la Directrice restait à cote d’elle, l’adolescente vida le verre d’une traite.

La Directrice reprit le verre vide et la toisa de haut en bas.
Caro portait sa blouse et sa jupe d’école. Ses jambes étaient gainées d’un panty Dim couleur chair. Aux pieds elle avait ses chaussures de sport Nike.

La Directrice enfila une paire de gants chirurgicaux.

« Montez sur la table et agenouillez-vous. C’est cela, mettez vos épaules sur la table, votre postérieur en l’air.

La Directrice releva la jupe, puis baissa le panty et la culotte jusqu’à mi-cuisses. Caro gémit de peur et de honte. Imaginez que quelqu’un entre dans la pièce a ce moment!

« Écartez les genoux. Encore. Bien. Cambrez le dos. »
Caro ferma les yeux et obéit, morte de honte d’avoir les fesses a nu devant cette femme.

« Votre culotte n’est pas propre. Avez-vous change de sous-vêtements ce matin? »
« Oui, Madame. Euh, je ne sais pas ce qui s’est passe… »

La Directrice prit une noix de vaseline et l’appliqua sur l’anus de la jeune fille. C’était froid et désagréable. Puis elle lui mit deux suppositoires. Elle les poussa avec le doigt, le plus loin qu’elle put dans le conduit étroit.

Caro, qui détestait les suppositoires, ouvrit la bouche sur une question muette, puis la referma, persuadée que la Directrice ne lui répondrait quand même pas.
Les attouchements continuèrent. Avec honte la jeune fille se rendit compte qu’elle appréciait ces sensations et se laissa faire, relaxant ses muscles intimes. La Directrice s’en aperçut et ajouta un deuxième doigt. Le lent va et vient excitait prodigieusement Caro.

La Directrice retira ses doigts et les essuya soigneusement à une serviette de papier. Elle reprit de la vaseline et se mit à enduire la vulve de la jeune fille de cette pâte protectrice. Caro ne savait toujours pas ou la femme voulait en venir. Elle était fortement troublée. La peur tenaillait son ventre, augmentait son envie de faire pipi.

La Directrice mit quelques feuilles de papier absorbant sur la table.
« Tournez-vous. Couchez-vous sur le dos. »
Caro se sentit affreusement ridicule avec son panty et sa culotte a mi-cuisses, mais n’osa pas les remettre en place. Elle se coucha, le derrière sur le papier absorbant.

« Relevez vos genoux. Plus haut. »
A regret Caro obéit, exposant son intimité. La femme saupoudra son ventre et son entre-jambes de talc. C’était totalement inattendu! Elle écarta les plis de chair et continua de talquer soigneusement. Le sexe de Caro ressemblait plus à un Pierrot lunaire qu’à un sexe de jeune fille.
Les genoux relevés contre sa poitrine comprimaient son ventre et Caro sentit comme un gonflement au fond de ses intestins. Elle mit cela sur le compte de sa vessie pleine.

La Directrice prit deux couches droites et longues de la table et les mit entre les cuisses de la jeune fille.
Puis elle déplia un morceau de plastique blanc que Caro identifia comme une couche-culotte pour adulte!
Elle ne put s’empêcher de demander:
« Qu’allez-vous faire? »

La Directrice ne prit même pas la peine de lui répondre. Elle glissa la couche-culotte dépliée en dessous des fesses d’Caro, puis lui rabattit les jambes. Elle descendit le panty et la culotte pour mieux écarter les genoux, mit la couche-culotte en place. Dans la couche elle mit les couches droites. Elle vérifia que tout était bien en place et ferma les bandes autocollantes. Caro avait rougi en suivant ce manège. Elle n’aurait jamais pu imaginer devoir mettre une couche-culotte! Et de surcroît, mise en place par la supérieure de son école… Les yeux se remplirent de larmes…

La Directrice prit un autre bout de plastique. Celui-ci s’avéra être une culotte en plastique. Caro dut lever son derrière pour qu’elle puisse la mettre en place.
Elle tenta de regarder son ventre et gémit de honte: elle ressemblait a un bébé emberlificoté, mais alors un bébé géant!
Surtout la culotte, qui faisait un horrible bruit a chaque mouvement qu’elle faisait, la fit pleurer d’humiliation.

« Eh bien, » se dit-elle « la Vieille a vraiment des idées horribles pour vous punir. Je n’ai jamais été aussi humiliée de ma vie… Quelle peau de vache! »

Satisfaite de son travail, la Directrice ordonna à la jeune fille:
« Remettez vos vêtements. »

A grande peine Caro parvint à remettre sa culotte et son panty autour de l’énorme épaisseur qui gonflait son derrière. Le collant était ridiculement boursoufle.

« Descendez de la table et mettez ceci. » Elle lui donna une autre culotte en plastique, sans boutons-pressions, cette fois-ci.
Caro la regarda sans comprendre.
« Enfilez cette culotte sur votre panty. »

De son ventre émanait déjà une sensation de chaleur humide, due à l’étanchéité de la couche-culotte, mais elle n’osa pas contrer la femme et glissa ses pieds dans la culotte. Les élastiques lui griffaient les jambes a travers le nylon fin de ses bas et cette sensation lui donna la chair de poule. Elle avait chaud et froid à la fois. Ces jeux malsains ne lui plaisaient pas du tout. En plus, sa vessie commençait à sérieusement réclamer et elle venait de ressentir une crampe dans son ventre.
Comme elle était légèrement constipée cela tombait plutôt bien, elle était contente qu’elle pourrait enfin se soulager. Du moins, si la Directrice la laissait partir rapidement car si elle devait se retenir, l’envie d’aller à la toilette pouvait disparaître et alors elle serait a nouveau constipée…

La culotte en place, Caro lissa sa jupe sous le regard attentif de la Directrice.

« Promenez-vous dans la pièce. Allez! Ne restez pas plantée la, bougez… »
Caro fit quelques fois le tour de la pièce, sa démarche gênée par l’épaisseur entre ses jambes. En passant devant le grand miroir elle ne savait plus si elle devait rire de ce qu’elle voyait ou pleurer: Sous la sage jupe d’école on voyait clairement qu’elle portait une couche-culotte. Caro frissonna à l’idée que la Directrice pouvait l’envoyer sur la cour de recréation dans cet accoutrement, rien que pour l’humilier…

La couche était douce et chaude contre son intimité et la vaseline lui donnait une sensation gluante; les élastiques des culottes en plastique découpaient son corps en deux parties: ce qui était hors de la couche-culotte, et tout ce qui était emprisonne dans cette gangue épaisse. Sa fesse droite chatouilla et elle essaya de se gratter, mais les différentes couches rendaient ses doigts impuissants. Puis elle eut un chatouillement dans l’aine et dut ouvrir et fermer ses jambes pour déplacer la couche et se débarrasser de ce chatouillement.

« Revenez ici. Couchez-vous sur la table, sur le dos. »

Se sentant parfaitement ridicule et affreusement maladroite à cause de l’épaisseur entre ses cuisses, Caro grimpa sur la table d’une façon peu élégante.

« Vous avez déjà moins de bagout, n’est-ce pas? »

Caro ne répondit pas. Elle avait hâte d’en finir. La Directrice avait eu son plaisir et maintenant elle allait faire le chemin en sens inverse et débarrasser Caro de cet affublement ridicule.

Mais la Directrice ne fit pas mine d’enlever ces couches; elle se pencha sur la jeune fille, lui posa la main droite en poing sur le ventre et appuya fortement, juste au-dessus de l’os pubien.
Caro sursauta, la vessie pleine à éclater. La femme la repoussa de la main gauche et continua de presser sur sa vessie qui devint douloureuse à force d’être pleine.

« Vous allez uriner. Allez-y, je n’ai pas que cela à faire! » et elle poussa de plus belle.
Pour échapper à la douleur – qui avait engendre une nouvelle crampe dans les intestins de Caro – la jeune fille relâcha ses muscles. Elle se pinça les lèvres de honte quand elle sentit enfin l’urine jaillir. La sensation du liquide brûlant qui coulait le long de son anus était horrible. Ses fesses furent bientôt trempées. Caro pleurait en silence: la Directrice, penchée sur elle, avait très bien entendu le léger bruit sifflant que faisait sa miction.
On dirait qu’il n’y avait pas de fin, comme si Caro n’avait pas bu un verre de coca, mais une bouteille de deux litres et demie!

La Directrice mit la main entre les cuisses de la jeune fille et soupesa la couche: elle était brûlante, et bien plus lourde qu’avant la miction. Caro ne savait plus ou se mettre. Elle avait oublie la couche et les culottes en plastique et avait l’impression qu’elle avait produit une petite mare sur la table de la Directrice.
Le fait d’être ‘habillée’ ajoutait à son trouble: depuis qu’elle était ‘propre’, elle n’avait plus jamais fait pipi portant une culotte et un panty, sauf ces quelques petits accidents auxquels elle ne pouvait repenser sans ressentir un trouble vaguement honteux.

« Tournez-vous sur le ventre! »
A grande peine, gênée par l’épaisseur entre ses cuisses, Caro obéit. Sa jupe faisait une bosse là ou la couche était gonflée d’urine. Elle avait l’impression d’être trempée jusqu’au milieu du dos: les terminaisons nerveuses l’induisaient en erreur car la couche et les culottes en plastique avaient proprement retenu l’énorme pipi.

Une nouvelle crampe se fit sentir et avec elle, une autre envie pressante: d’aller aux toilettes.
« Madame, je… »
« Vous devez aller aux toilettes, n’est-ce pas? »
« Oui… »
« Vous ne pourrez pas quitter cette pièce avant plusieurs heures, que dis-je, vous ne pourrez pas quitter cette table avant plusieurs heures. Savez-vous ce que cela veut dire? »

Caro savait fichtrement bien ce que cela voulait dire: cela voulait dire que la Directrice l’avait ’emmitouflée’ d’une couche-culotte et de culotte en plastique, justement pour mieux l’humilier… Les suppos, c’étaient des laxatifs, et la vaseline servait de protection… Caro rougit en imaginant ce qui allait arriver… Mais elle ne déclara pas vaincue…

« Non, Madame, je ne dois pas aller aux toilettes. Je voudrais aller dans ma chambre. »

Une nouvelle crampe démentit ses dires.
La Directrice sourit et lui dit doucement « Détendez-vous, sinon vous n’allez qu’empirer les choses. Le processus est inéluctable: endéans les quelques minutes vous allez vider vos intestins, que vous le veuillez ou non. Ce sera une sensation horrible, humiliante… C’est cela votre punition: vous vous montrerez à vous-même qu’au fond, derrière cet air je-m’en-foutiste, vous n’êtes qu’un grand bébé qui a grandi trop vite. Un grand bébé qui souille ses langes…

Elle prit les bras de la jeune fille et les lui mit derrière le dos.

Une nouvelle crampe fit grimacer Caro. Elle voulut se replier pour mieux contrer la douleur, pour mieux se battre contre l’affreuse envie de soulager son ventre, mais la Directrice la força de rester à plat ventre.

Puis arriva l’inévitable: la crampe suivante commença par une douleur si aiguë que la jeune fille laissa échapper un vent. Mal lui en prit, car la crampe n’en finissait pas et le bruit de trompette jouant en sourdine dans les épaisseurs de cellulose, se mua en affreux gargouillis humide. Caro poussa un petit cri. Elle se rendit compte qu’elle était en train de souiller lamentablement sa couche. Une masse chaude s’insinuait entre ses fesses.

Ses vêtements et son panty augmentèrent la sensation humiliante, comme si elle avait été tout habillée.
La crampe suivante fut horriblement douloureuse. Ce en fut trop pour Caro et d’un coup elle abandonna sa résistance. La Directrice lui souleva un peu le bassin et la jeune fille se mit à pousser. Elle n’avait plus qu’une idée en tête: arrêter cette abominable douleur abdominale. Ses dents grincèrent sous l’effort. Une grosse veine battait sur son front. Puis le bruit d’évacuation recommença, horrible. Caro haletait pendant qu’elle expulsait le contenu de ses intestins. Du coup elle urina à nouveau. La couche empêchait l’évacuation et Caro poussa de plus belle. Lentement la massa chaude remplissait la couche et se mit à glisser vers le bas. Quand le magna brûlant s’insinua entre la couche et son sexe, Caro se mit à hurler d’horreur et de honte.

La Directrice avait du plaisir à masser la grosseur qui se dessinait dans la couche-culotte, faisant bouger la masse gluante. Caro faillit en vomir. Chaque crampe s’accompagnait maintenant d’une expulsion plus ou moins importante. A chaque fois la couche se tendit un peu plus, et a chaque fois la Directrice poussa…

Puis les crampes diminuèrent.
Lentement, sans oser bouger, Caro reprit son souffle. La douleur se dissipait, faisant place à une honte sans bornes: tout son ventre était recouvert de cette masse gluante qui la brûlait. Involontairement elle serra ses muscles et cria de dégoût: la contraction avait fait bouger la masse entre les plis de sa vulve.

« Maintenant, asseyez-vous! »
Sans plus attendre, la Directrice prit la jeune fille par les poignets, la forçant de s’asseoir sur le bord de la table. Caro se mit à sangloter: assise sur la couche souillée, elle urina sans pouvoir se retenir. La masse diluée continua d’envahir son intimité. Elle vit le regard de la Directrice, droit dans ses yeux, implacable. Caro ne s’était encore jamais sentie si sale, si souillée, si incapable de se contrôler.

« Levez-vous. Marchez! »
La Directrice l’accompagna sur sa ‘ronde de l’horreur’: une main tenant les poignets de Caro, l’autre main entre les cuisses de la jeune fille, malaxant la couche au risque de la faire déborder.
Après deux tours de la pièce, ce fut trop pour Caro: elle s’effondra sur le carrelage froid…

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