La bonne éducation
N’est jamais superflue. A la base elle nous a été donnée par nos parent.
Mais reflétons nous vraiment ce que nos parents nous ont inculqué ?
Cet article particulier sur l’éducation sera axée sur un dérivé du BDSM et très orienté sexuellement, il n’y aura donc pas de rapport avec l’éducation parentale.
Cette éducation est basée sur un consentement mutuel et ouvre la porte sur les jeux de rôles.
Qui ?
Papa/maman, Prof/élève, Oncle/tante/neveu/nièce, Voisin/Voisine, Infirmier(e)/Docteur…
Quoi ?
La fessée ou traitement alternatif comme le lavement ou humiliations diverses.
Quand ?
Il n’y a pas de règles, mais l’éducation est un souci permanent.
Où ?
Partout où cela est possible, la fessée peut être administrée à la maison ou dans un centre commercial, tout dépends du niveau auquel vous placez la barre.
L’éducation est un passe partout, il est important d’avoir été bien éduqué pour avoir un statut social assez élevé.
Mais il arrive dans une relation qu’il s’instaure une relation dominant/dominé.
Arrive la mise en place de l’éducation, souvent s’est installé des mauvaises manières qu’il faut corriger.
Les histoire de discipline domestique illustre bien un pan de cette éducation lire l’histoire de Daphnée où elle avoue à son mari qu’elle a besoin d’être disciplinée, donc son mari l’éduque.
Les hommes aussi ont besoin d’être éduqués, certains couples échangent les rôles, c’est beaucoup plus enrichissant. L’échange permet de se mettre à la place de l’autre et permet de peaufiner les techniques d’éducation.
Les moyens pour éduquer son compagnon sont diverses, la fessée en fait partie. C’est le jeu le plus pratiqué par nous tous. La finalité reste de faire l’amour à son compagnon.
Car toute punition doit mener à la chose la plus importante du couple, le ciment psychologique et sexuel.
Voici un exemple d’éducation donnée un jour à ma femme.
Mariés depuis des années, nous corrigeons notre éducation l’un l’autre, nous sommes dans la discipline domestique mutuelle en quelque sorte, nous nous retrouvons à tour de rôle au coin les fesses bien rouges parce que nous nous sommes mal comportés.
Alors qu’elle rentre du travail éméchée, elle a commencer à mal parler. Je comprends son sentiment mais ne tolère pas son langage de poissonnière, putain, enculé…. j’en passe.
« Nelly ton éducation est à revoir, tu va te changer en jeune fille et tu va me re expliquer ta journée OK ? »
Elle baisse les yeux tout penaude et consentante puis se dirige vers la chambre. Elle en sort habillée en écolière avec sa jupe plissée, un cardigan rouge et surtout les talons plats surmontés de mi bas blanc, c’est le détail qui tue que j’adore.
Elle reviens devant moi et cérémonieusement elle m’explique sa journée, cette fois sans gros mot.
L’émotion l’emporte, elle commence à pleurer alors que je n’ai encore rien dit.
« Nelly, peut tu me dire pourquoi tu a employé ce vocabulaire de poissonnière ? »
« Antoine, pardon Monsieur, je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis vraiment désolé, sniff. »
Alors je la rassure mais reste ferme, lui disant qu’elle ne dois pas se laisser aller comme ça, je sais qu’elle est désolée mais qu’elle sera punie. Je lui fait avouer sa faute et lui fait dire que je lui donne une fessée pour commencer, la punition ne s’arrêtera pas là.
Elle redoute la suite, ce n’est jamais pareil. Il arrive que je la punisse vraiment avec des choses qu’elle n’affectionne pas beaucoup, mais c’est rare et la punition reste adaptée à la faute.
Cette fois ci je la fait se pencher sur la table basse, lui remonte su jupette et lui descend sa culotte sous ses fesses. Je part chercher la cane.
J’arrive à côté d’elle et elle me regarde, au bord des larmes. Cette fois je ne serai pas trop sévère, en effet pour que l’éducation fonctionne il faut se montrer juste. Ce sera 12 coup de badine.
Elle ne supplie pas mais me dit qu’elle fera attention.
« Nelly, je sais que tu fera attention je t’aime et c’est pour ton éducation que je fais cela, je n’ai pas envie de voir une fille mal éduquée »
« J’ai mérité ma fessée, j’ai été grossière, je dois être punie » dit elle en prenant bien appui sur ses coudes et relevant bien ses fesses.
C’est le signe pour deux choses. D’une part elle est prête à recevoir sa fessée. D’autre part qu’elle est impatiente de sentir l’impact de la cane sur son fessier bien exposé.
Je donne quelques grands coups dans le vide faisant siffler la cane. Elle écarte un peu ses jambes, elle est vraiment impatiente.
Je me place à côté d’elle a la bonne distance pour avoir la bonne portée de cane. Je place la cane sur ses fesses pour faire la distance et…
« SWICCHHHHHH CLIC », la claquement sec résonne en travers de son fessier.
« SWICCHHHHHH CLIC », « SWICCHHHHHH CLIC », …, « SWICCHHHHHH CLIC » doucement et méthodiquement, j’applique huit coup laissant quelques zébrures. Nous restons silencieux
Je marque une pause elle pleure maintenant à chaudes larmes, elle vide son contenu émotionnel.
« Il en reste quatre à venir et tu va les compter »
« SWICCHHHHHH CLIC » « neuf ! »
« SWICCHHHHHH CLIC » « dix ! »
« SWICCHHHHHH CLIC » « onze ! »
« SWICCHHHHHH CLIC » « douze ! »
Elle commence à voiloir se toucher les fesses mais je lui mets une fessée lui retenant sa main
« Pas touche, tu n’a pas reçu l’autorisation »
Alors qu’elle pleure à chaudes larmes je la relève et la serre dans mes bras.
Elle me serre très fort et je lui pelote les fesses, elle se laisse faire de bon gré et viens me frotter mon membre en érection avec ses mouvement de bassin.
Je lui dit d’aller s’allonger dans la chambre et que j’arrivais.
Elle redoutais un lavement, car ça faisait des bruits d’eau dans la salle de bain. J4arrive dans la chambre avec du Vicks, le thermomètre et un bout de gingembre fraichement coupé.
Elle me laisse la place sur le lit et découvre se fesses toute seule montrant son envie de recevoir son traitement. je trempe le thermomètre dans le Vicks, lui écarte ses fesses et introduit profondément le thermomètre, laissant juste apparaitre le bout qui émarge de ses fesses.
Je le tiens, le tourne et remarque l’humidité de son entre jambes.
Malgré l’inconfort du Vicks elle assume son désir d’être traitée ainsi.
Au bout de deux minutes, je ressort et lis la température, 37,5°C.
« Tout est OK mon amour, le gingembre te fera le plus grand bien puis tu ira au piquet après être passée par la salle de bain »
A nouveau j’écarte son sillon fessier et lui introduit délicatement le plug de gingembre fraichement coupé.
Je la fait se lever et elle fait la moue car elle croyait aller au piquet alors que nous allons dans la salle de bain. Elle pensait peut être à un lavement mais je la fait s’approcher de moi, me lave les mains et lui fait ouvrir la bouche. Tenant le savon bien mouillé, je l’approche de sa bouche, elle recule.
Une claque sur les fesses.
« Nelly, tu a mal parlée alors je suis obligé te te nettoyer la bouche au savon, que ça te plaise ou non. »
J’approche le savon de la bouche et l’ouvre à moitié, avec ma main savonneuse disponible je la guide à écarter ses mâchoires et commence à étaler le savon partout autour de la bouche, sur ses dents et lui demande de serrer le savon avec ses dents.
Elle avait les larmes aux yeux et faisait une moue terrible, le goût du savon n’avait pas l’air très agréable.
Je la prends par l’oreille et la guide vers le mur du salon où je la fait mettre à genoux.
Qu’elle était belle à genoux au piquet, avec son savon dans la bouche, ses fesses zébrées et le plug de gingembre qui dépassait, cela aurait mérité une photo.
Alors qu’elle était en place je l’averti qu’elle devra rester comme ça dix minutes et j’envoie le compte à rebours de mon smartphone et le dépose à côté d’elle.
« Ne cherche pas à retirer le savon ou te caresser les fesse sinon, on recommence tout. J’espère que tu réfléchira avant de faire et dire des bêtises »
Elle chouinais à travers le savon qui entravait toutes paroles.
Avant de la laisser passer toute seule ses dix minutes au coin, je passe une main dans son entre jambes.
Elle était trempée, cela l’excitait vraiment beaucoup, moi aussi d’ailleurs.
La sonnerie se déclenche, les dix minutes passent. Elle est restée bien sagement dans son coin, je la prends par le bras et l’accompagne devant l’évier de la salle de bain.
Elle retire son savon et se rince la bouche, je lui ai préparé un citron pressé sucré pour qu’elle en finisse avec le goût amer du savon.
Je lui retire son plug de gingembre et remarque qu’elle est toute excitée. Bien plus que ce que je pensais…
Nous allons dans le salon et nous allongeons sur le canapé.
Je la serre fort dans mes bras et la rassure. Alors que je descend ma main vers ses fesses dénudées elle recherche à frotter mon sexe tout raide.
Nous nous déshabillons et partons dans un 69 endiablé.
Elle me travaille bien en profondeur alors qu’avec mes main je pétri ce fesses rougies, la sensation est d’un autre monde. Après avoir frôlé l’orgasme. elle me fait allonger sur le dos et viens me chevaucher en andromaque. Je n’ai plus qu’à laisser aller mon plaisir, le sien aussi, nous jouissons en même temps.
Sacré bien éduquée ma princesse.