La prise de température rectale est souvent associée à notre enfance.
En effet quand nous sommes enfants et que nous n’avons pas encore de complexe avec la nudité, prendre la température à un enfant se fait par voie rectale. Personne ne se pose de question.
Mais dès que l’on a conscience de notre corps, des interdits et autres tabous se mettent en route et prendre demander à l’enfant de baisser sa culotte devient un peu plus compliqué.
Mais qu’en est il lorsqu’on est adulte ?
Lorsque l’on est enfant, nous nous sentons protégés par le giron familial, c’est tout à fait normal.
On grandi et on s’émancipe de cette sécurité, vous voyez vous être traité comme un enfant alors que vous avez 30 ou 50 ans ? lol, le calvaire, fait pas ci, fait pas ça.
Que nous reste-t-il ? Notre éducation. Grâce à cela nous nous tenons bien, pas de gros mots… nous vivons dans le meilleur des mondes.
Lors d’une relation amoureuse je lui ai demandé si elle aimait se faire prendre la température. Sans trop réfléchir, elle est revenue de la salle de bain avec le thermomètre et du lait de toilette.
Je lui fait signe d’approcher elle pose le thermomètre sur la table et je lui défait les boutons de son jean. Je le descend à ses genoux puis attrape l’élastique de sa culotte et la descend aussi rejoindre le jean.
Sans rien lui demander elle prend place en travers de mes genoux et s’installe confortablement, les fesses bien en l’air.
Prenant tout mon temps, je prends le thermomètre, le pose sur son dos. Je saisi le lait corporel et en verse un peu le long de son sillon fessier.
Avec mon majeur je longe le sillon fessier de haut en bas imprégnant bien mon doigt et passant bien sur l’anus. Je descend un peu entre les cuisses de ma belle qui n’était pas indifférente.
Le doigt bien enduit de crème pénètre doucement l’anus, tout en douceur. Je sens ses reins qui se cambre un peu afin de faciliter l’accès.
Doucement je fait quelques allers-retours dans l’orifice de plus en plus profondément.
Je profite de cette vue, la position standard de la fessée. Je saisi le thermomètre, écarte bien son sillon inter fessier, elle me facilite la tâche en écartant ses cuisses tendant bien sa culotte qui l’entravait à ses genoux.
Je pose la pointe du thermomètre sur sa peau en bas du dos et longe tout le sillon pour rejoindre l’anus. Je l’introduit doucement, par petites pressions. Le bulbe d’abord, puis le col, je ressort, je le remets par petites touche. Le thermomètre pénètre l’anus petit à petit sur les trois quart de sa longueur. Une fois bien dedans je le tiens toujours délicatement et continue de le tourner, l’enfonce et le ressort tout doucement.
Je lui annonce que 5 minutes seront nécessaires et qu’il faudra bien évidement confirmer la température avec une deuxième prise.
Je lui demande si elle n’a pas fait de bêtise aujourd’hui, autant en profiter pour donner une fessée, la position est trop tentante.
“J’ai dit des gros mots au boulot” me dit elle. Balivernes mais la raison était trop belle elle me tendait la perche, je la saisi.
Je tiens toujours le thermomètre mais de la main gauche cette fois ci, la main droite commence à claquer ses fesses rebondies et offertes.
La leçon de morale continue, le thermomètre toujours bien en place. Je la sermonne, il ne faut pas dire de gros mots, la vulgarité mène à rien. lui fait avouer qu’elle aurait pas du et qu’elle méritait bien sa fessée.
Les cinq minutes étaient bien passée, je lui dit qu’elle a 37,5°C mais qu’il faut confirmer.
Je secoue le thermomètre et lui introduit à nouveau. Ses fesses ont bien rosies. Mais la fessée n’est pas finie. Je lui fait encore la morale et lui dit que je veux qu’elle apprenne bien sa leçon. La fessée continue, le thermomètre bien protégé par ma main, ses fesses offertes deviennent de plus en plus rouge.
5 minutes, c’est long et son fessier est maintenant bien chaud et rougi.
Je sort le thermomètre et annonce 37,6°C. Ah, ça méritera une autre prise plus tard.
Puis cela viens à mon tour, nous inversons les rôles. Alors qu’elle n’a même pas remonté sa culotte, elle est assise sur le canapé, descend jean et caleçon à mes genoux et me fait allonger comme pour recevoir une fessée, en travers de ses cuisses.
Elle m’insère rapidement le thermomètre et elle aussi le fait tourner et entrer sortir. Je ne pouvais m’empêcher de me frotter sur sa jambe, elle en était toute ravie.
Sans rien me demander elle me fait remarquer que j’avais une tache brune sur mon caleçon (c’était pas vrai) mais elle m’a flanqué une bonne fessée que j’ai vraiment beaucoup appréciée. Mon érection était vraiment de première qualité 🙂
Par contre elle m’a promis un lavement et remettre des couches si je ne suis pas propre ^^.
Après cela, nous avons fait l’amour, nos fessier fraichement stimulés donnaient un piquant très appréciable.
Maintenant, quasiment tous les jours, nous nous prenons la température.
Cela permet de nous décontracter après une journée de travail et de passer un moment proche et chaleureux. J’ai remarque que cela permet aussi de relâcher toutes les tensions corporelle avec cet abandon à l’autre, et de se retrouver comme un gamin dans l’affection familiale, sauf que nous sommes entre adultes aimant et qu’il y a le sexe en plus.