Partages intimes

Nous sommes un couple heureux et équilibré. j’aime beaucoup quelques activités érotiques comme la fessée les couches et les lavements.
Nous pratiquons souvent une combinaison de ces jeux. Cela reste très intime mais nous avons trouvé quelques partenaires de jeux.
Sans entrer dans l’échangisme, il nous arrive d’accueillir des amis partageant nos activités.
Tout cela se passe dans le consentement mutuel et nous apprécions ces personnes parce que nous partageons aussi d’autres activités avons quelques atomes crochus aussi.
Ceci est important, nous ne parlons pas toujours de sexe mais aimons boire un verre et partager un repas tout en parlant de choses et d’autres.

Nous sommes un couple très ouvert d’esprit, mariés depuis 2 ans.
Je suis Daniel 43 ans et ma femme Juliette 37 ans.
Je me suis marié sur le tard, je pense que je voulais être à peu près sûr de trouver la bonne.
Sous mon impulsion, nous pratiquons la fessée, les lavements et les couches de manière régulière sans non plus en faire un style de vie.

Lors d’un congrès j’ai eu l’occasion de croiser une personne très intéressante. Une femme Céline de son (faux) prénom avons sympathisé. Nous parlions beaucoup et en sommes venus à parler sexe. Light au début mais crescendo la conversation se faisait plus intime. Nous en sommes arrivés à la domination et m’a dit qu’elle aurait beaucoup aimé être dominée par un couple, cela sous-entendais qu’elle était ouverte à toute proposition.

J’invite Céline à la maison et nous sommes devenus amis. Juliette apprécie beaucoup Céline et je lance la conversation sur le bien-être. Petit à petit nous arrivons à la domination et je constate que Juliette reste ouverte sur une petite expérience que Céline voudrait bien vivre.

La conversation continue et nous tombons d’accord pour qu’elle vienne pour une soirée, voir le week-end.

Nous n’avons pas abordé les sujets des couches et des lavement, cela sera la surprise. En tous cas elle montrait la volonté de se laisser aller, elle confiait sa personne complètement. Les limites sont très simple : rien d’extrême, ça peut faire mal et être humiliant sinon c’est pas rigolo mais pas de dégradation.

Céline arrive le vendredi soir, nous avions convenu que Juliette et moi serions les tuteurs sévère d’une collégienne perturbatrice. Les règles seront les suivantes
Tout est basé sur le consentement
Mot de passe « fuck you! » ou un doigt d’honneur pour arrêt immédiat d’un traitement divers
Mot clé « Je suis désolée » pour dire qu’il ne faut pas aller plus fort.
Mot clé « Pss » pour dire que le traitement est un peu léger et que nous pouvons y aller plus fort surtout pour une fessée.
Pleurer ne sera probablement pas une option.

Contexte :
Nous improviseront sur le sujet « sale gamine mal élevée que l’on va remettre dans le droit chemin ».

Nous avons suffisamment de répartie pour jouer divers scénarios.

Le contexte mis en place OK, il n’y a plus qu’à jouer !!!

Elle ne savait absolument pas ce qu’elle allait découvrir. Elle ne sera pas déçue.

Après être arrivée, bu un grand verre jus de fruit et un de vin nous entrons dans le vif du sujet.

Nous avons un papier récapitulatif du collège consignant toutes les actes de Céline.

Et il ne manque rien : des mauvaises notes, non présentation du carnet de correspondance, fausse signature, faux certificats médicaux, irrespect devant des professeurs. Et tout cela seulement en un mois.

C’est trop, Juliette lui dit que nous commencerons par l’installation de Céline puis la visite médicale, au vu des certificats médicaux, la petite aurait eu mal au ventre…

Après que Céline eut posé ses affaires dans la chambre, une première inspection commence.

« Tu vas sortir TOUTES tes affaires nous les rangerons ensemble, ta valise contiendra ce que nous ne jugeons pas nécessaire, j’espère que tu a bien amené tout ce qui était dans la liste. » Lui dit Juliette sur un ton autoritaire.

Dans la chambre, elle ouvre sa petite valise et l’inspection commence.

La liste comprends : culottes coton blanche, socquettes blanche ou mi bas blanc,t-shirt, jupe plissée unie arrivant au genoux, chemisier blanc col claudine manches ballon de préférence, pull col en V, veste, collants leggins, pyjama, pantalon fitness moulant, pantoufles ou autre, sweat-shirt plus nécessaire toilette.

« Bon, il y a tout, le reste repart dans la valise : tablette, téléphone. Tu n’as pas tes règles ? »

« non » répondit Céline.

« Alors nous pouvons passer à ton examen Déshabille toi, tu restera en t-shirt et culotte » lance Juliette à Céline.

« Mais là comme ça ? » répond Céline.

« Avec toutes les conneries que tu a faites, il est souhaitable que tu ne réponde pas, nous voulons juste entendre oui Madame et oui Monsieur, il n’y aura pas d’alternative. Compris ? »

« Ah bon, ce sera comme ça ? » dit Céline interrogative et un poil rebelle.

Juliette ne dit rien, reviens avec une cuillère en bois, retourne Juliette et lui applique sèchement quelques coup sur ses fesses à travers la jupe.

Céline interloquée réponds « OUI MADAME ! »

« Je préfère, c’est mieux, allez déshabille toi et plie bien tes affaires dont tu n’aura sans doute plus besoin durant ce week-end. »

« Tu te souviens du mot de passe ? »

« Oui MADAME : c’est ‘fuck you’ pour arrêter ou un doigt d’honneur, ‘Je suis désolée’ pour calmer le jeu et ‘PSS’ pour signaler que j’aime bien et que l’on peut y aller plus fort »

Après avoir pris la tension et le pouls de Céline Juliette lance.

« Retire ta culotte et présente moi la et reste debout les bras croises dans ton dos »

Elle me donne sa culotte et je l’inspecte, une belle culotte blanche à dentelle, mais je lui fait comprendre que ce n’est pas dans le standard, une petite fille ne porte pas de culotte pour grande. Je lui fait aussi remarquer deux auréoles, dont une un peu jaune. Je vois deux choses, tu est une petite cochonne parce qu’il y a des traces de pipi et en plus tu est une petite perverse car cela doit beaucoup d’exciter. De plus son pubis a beaucoup trop de poils, c’est mal entretenu, une épilation sera la bienvenue, pas un simple rasage.

Je pose un coussin sur le canapé et l’invite à s’allonger dessus pour bien relever ses fesses. Elle s’installe et je lui écarte ses fesses et glisse le thermomètre à mercure juste lubrifié avec un peu de salive dans son anus petit à petit, je l’enfonce à moitié. Elle grimace car l’introduction n’est pas très agréable. Je mets le minuteur de cuisine sur 5 minutes et le lance.
Pendant ce temps là, nous égrenons à nouveau la liste des bêtises de Mademoiselle, cherchant à la faire culpabiliser comme lui faire dire qu’elle s’est montrée irrespectueuse, malpolie qu’elle méritait d’être corrigée, fessée. De temps à autre, je tourne et enfonce un peu plus le thermomètre. Cette petite chipie nous réponds avec des oui monsieur ou madame, elle s’applique à faire les choses comme il faut.

Je sort le thermomètre elle a 37,5°C c’est bien mais je montre bien qu’il y a des traces de caca, cela implique que je vais devoir lui nettoyer son intestin. Curieuse de ce qui va arriver je lui demande si elle a déjà reçu un lavement.

« Non Monsieur, je ne sais pas ce que c’est. »

« C’est très simple, tu aura deux litres d’eau dans les fesses afin de retirer tout ton caca des intestins pour pouvoir l’inspecter et que tu ne fasse pas de tache sur les plug qui vont visiter ton fondement. Cela reste agréable mais la position et la situation sera très désagréable. »

Je vais chercher une serviette, une alèse jetable et une couche épaisse (abena xplus M).

« Non, je ne veux pas » dit doucement Céline en commençant à pleurer.

Elle joue le jeu, nous aussi. Je lui dit de mettre au piquet, mains sur la tête en attendant les préparatifs.

Juliette étale l’alèse et la couche sur le canapé pendant que je rempli le bock d’eau chaude.

De retour avec le bock je le place sur une étagère au dessus du canapé.

Je fait allonger Céline sur le dos bien placée sur l’alèse et la couche.

Je place la barre d’écartement pour lui maintenir les jambes assez ouvertes, Juliette saisi la barre et fait bien plier les jambes de Céline reste toute passive. Son anus est bien exposé, je mets du lubrifiant sur mon index et fait quelques va et viens. Je lui dit que c’est pour la décontracter, je sens qu’elle est un peu sensible alors je la rassure mais reste ferme.

« Rassure toi, ça ne fera pas mal, c’est même plutôt agréable, tu verra. Pour le moment tu doit être toute propre à l’intérieur. tu ira aux toilettes vider tout cela, tu ne fera pas dans tes couches, elles seront utilisées plus tard »
Je sent qu’elle se détends un peu.

J’introduis la canule et laisse couler l’eau. Elle sourit puis Juliette repose la barre l’eau continue de couler doucement mais sûrement. Au bout d’un litre, Céline grimace je coupe le flot et lui masse un peu le ventre dans le sens contraire des aiguilles d’une montre et relance l’eau.

Le bock se fini. Je l’aide é se relever et à aller aux toilettes. Sa barre entrave ses pas mais nous arrivons. L’envie d’évacuer lui monte vite lors du court trajet et je la laisse s’installer sur les toilettes. A son grand désespoir, nous restons avec elle pendant qu’elle vide son contenu, lui disant que c’est une punition, elle devra même se laisser essuyer pour ajouter un peu d’humiliation.

Je lui explique qu’elle aura au moins trois lavement au moins il faut que le dernier ai l’eau claire. Ce week-end elle sera purgée, mais pas privée de repas à moins qu’elle ne soit pas obéissante et punie de dessert. Entre chaque lavement elle boira un grand verre d’eau, cela la prédisposera à faire pipi, des gros pipi.

L’évacuation du troisième lavement s’avère correct, mais un dernier passage au toilettes montre qu’il reste encore des traces marron.
Voilà un quatrième lavement. Cette fois ci après une première évacuation, pour l’aider à finir l’eau contenue dans son ventre nous lui faisons aire quelques mouvement de souplesse, marcher à quatre pattes, cela permet de bien montrer son minou et lui faisons prendre des position inconfortables et humiliantes, cette chipie adore ça.

Le dernier passage aux toilettes se montre concluant, l’eau qui est sortie est bien claire. Nous pouvons passer à l’étape suivante : l’apéritif avant la fessée.