Premiers pas dans l’ageplay
Je lève ma tête et là je vois Alexandra au piquet. Elle porte une pullup et on voit clairement que ses fesses sont rouges, ça dépasse de la couche le contraste est flagrant.
Comment tout cela a commencé ?
Je m’appelle Adrian et Alexandra est ma compagne. Nous nous sommes connus lors d’une soirée donnée par ma société. J’étais invitée et elle faisait un extra au vestiaire. Fille de la patronne des lieux, nous avons sympathisé.
Je suis reparti de cette belle soirée en me disant que j’aurais dû prendre son numéro de téléphone mais je suis un peu timide et je n’ai pas osé.
Le lendemain je reçois un appel qui n’est pas sur mon répertoire, je réponds, c’était Alexandra.
J’avais oublié mon écharpe et elle se souvenait moi et de mon nom et a eu mon numéro depuis le listing des invités.
Elle me dit que j’avais oublié mon écharpe. Je lui dis que je passe la chercher un peu plus tard et elle me propose un rendez-vous dans un bar voisin.
Sans hésiter je lui dit un grand oui.
Arrivé au rendez-vous je suis le premier et m’installe au bar et commande un nestea.
Alexandra arrive, toute pomponnée alors que je sors du bureau en jean chemise mal rasé comme d’habitude.
Elle accepte mon invitation et se joint à la table. Le serveur passe et elle commande la même chose, un nestea.
Nous discutons de tout de rien, j’aimerais que cette conversation ne s’arrête jamais.
Je l’invite au restaurant et nous passons un moment très agréable, je lui tends ma main sur la table. Elle la saisit, mon émotion est immense, c’est plus fort que moi.
Nous sortons du restaurant et nous embrassons passionnément. Mes mains glissent vers ses fesses. Je sens qu’elle se laisse aller, une sorte d’invitation.
Je l’invite chez moi, elle décline, lol
“Mais oui par contre demain je ne travaille pas.” dit-elle.
Ce n’est pas mon cas mais elle me dit que l’on peut aller chez elle ce soir.
Quelle soirée, juste un petit verre que nous n’avons pas eu le temps de boire.
Nous nous embrassons, défaisons petit à petit nos habits.
Arrivé en sous-vêtements elle porte une belle petite culotte et lui dit que j’adore les culottes coton blanches et en rigolant lui mets deux petites fessées.
Je sens que ça lui plait, elle tend bien ses fesses pour accueillir la prochaine.
Je la fait allonger sur le dos et lui descend sa culotte. Je l’embrasse et doucement je descends vers ses seins en lui faisant des petits bisous. Je m’occupe de sa poitrine, lèche et titille les bouts.
Ma main s’occupe d’aller entre jambes et commence à caresser le clito. Je sens une réticence, elle a l’air sensible. Petit à petit je dirige ma tête vers son entrejambes, c’est mon kiff, il faut que j’aille sentir ma partenaire, doucement ma langue parcours pubis, puis clito, vulve. Je passe partout avec entretenant la moiteur ambiante.
Nous passons une super nuit, je passe la nuit et doit hélas me lever, je me douche rapide et part au travail.
Après quelques jours nous nous appelons et refaisons une sortie se balader sur les quais à Antibes.
Cette fois je l’invite chez moi.
Je porte la discussion sur le terrain de la fessée, la domination. Elle me répond franchement qu’elle aime beaucoup la manière dont les choses sont amenées.
La relation continue, un mois plus tard à force de dialogue et de quelques fessées son côté soumise se dévoile tout seul, nous aimons beaucoup tout cela.
Ayant toujours l’idée de lui faire porter des couches, je tends la perche sur le pipi culotte. Un jour lors d’une sortie alors que nous allions rentrer je remarque une tâche mouillée sur sa jupe.
“Je me suis assise sur de l’eau” me dit-elle en souriant.
Arrivés chez moi, je lui pose les bases de l’inspection.
Je m’assois sur le canapé, elle devra se présenter devant moi sa jupe relevée les pieds écartés. Je commence l’inspection l’hygiène. Je touche un peu le pubis, passe ma main entre ses cuisses. Puis je descends sa culotte au genoux. Je cherche d’éventuelles traces blanches, mouillé, rouge jaune ou marron. Ma ‘petite’ doit avoir une hygiène irréprochable.
Je sent sa chatte qui s’humidifie. L’inspection continue, j’observe de près si le mont de Venus est bien rasé, idéalement épilé. Je place un doigt dans le vagin et je le ressort en le faisant frotter sur toute la vulve en remontant par le clito oùje passe quelques secondes à le stimuler. Puis je te demanderai de te tourner et te pencher en avant pour que tu me montre bien ton anus et ta chatte. Quelques palpations s’imposent ainsi que des questions comme quand a tu fais caca. T’es-tu touchée dans la journée ? Des questions qui peuvent être incommodantes, embarrassantes ou humiliantes dans une position qui l’est tout autant, c’est le but.
Ensuite je l’envoie chercher le thermomètre dans la salle de bain, elle ne doit pas retirer sa culotte, elle se dandine la culotte à ses genoux ou tombée aux chevilles. Des fois je la fait mettre nue depuis la taille. On n’est jamais plus déshabillé que quand le haut reste couvert.
Elle me donne le thermomètre et se place sur mes genoux. Je mouille le thermomètre avec ma salive et lui insère dans son anus.
Le temps pour relever la température est très variable en fonction des humeurs.
Je le rentre, le sort pas complètement, le fait tourner. Ma main écarte ses cuisses et fait un tour vers l’entrejambe. Il faut que l’endroit soit et reste humide.
Comme il y avait des traces jaunes sur la culotte, mal essuyée en ayant fait pipi, ça veut dire qu’elle recevra une fessée et qu’elle dormira avec une couche.
Après la prise de température rectale, le thermomètre est retiré et la fessée commence. Une bonne fessée à la main, des fois à la brosse à cheveux.
La fessée commence d’une main ferme, le rythme lent, d’une fesse à l’autre. Je couvre tout le fessier pour le faire rosir.
Des petites coupures pour tester l’état d’humidité. Tout est grand ouvert. Elle se plaint un peu, c’est le jeu.
La fessée continue, la main claque sur un rythme plus soutenu. Elle connait le mot de passe ‘je joue plus’ qu’elle peut dire à n’importe quel moment mais elle ne l’a jamais employé, j’ai toujours réussi le bon dosage. Elle finira en pleur.
La fessée continue elle est sévère et elle commence à pleurer.
Je vérifie l’humidité un doit dans le vagin, son corps ondule.
Je fini la fessée elle est en pleur les fesses écarlates.
Une fois fini, je la prends sur mes genoux et la console en lui caressant ses fesses toutes rouges et chaudes.
Nous faisons l’amour, en levrette, je sens ses fesses chauffées et cela m’excite beaucoup, elle aussi. Elle plaque ses fesses sur mes reins pour sentir cette chaleur qui la pénètre. L’issue arrive, la chaleur monte dans son ventre les fesses rougies frottent le pénis bien enfoncé et donnant les derniers coups de reins.
Ensemble nous sentons les frissons nous parcourir de la tête au pied et la concentration des hormones de plaisir nous faisant jouir dans des grands halètements.
Revenus sur terre, il est temps de passer une couche à mon Alexandra. C’est comme ça, pas le choix. Malgré sa grimace je la fait mettre debout et lui enfile une drynites.
Je l’accompagne au piquet où elle restera pendant un quart d’heure les mains dans le dos la couche et les fesses fraichement fessée bien en vue pendant que je mets la table avant de faire un plateau télé.