Le tiroir du bas
Aujourd’hui c’est le jour de « maintenance », Je déteste ces jours spéciaux. C’est un rituel mis en place avec Daddy et moi depuis des années où je suis sujette à ses punitions pour que je ne soit pas une méchante, vilaine fille vivant sous son toit. Daddy me donne la fessée une fois par semaine pour les bêtises faites dans la semaine pour m’être mal comportée, répondre à Daddy, être vulgaire ou irrespectueuse. Je pense être trop grande plus spécialement pour recevoir une fessée déculottée comme une gamine mais les règles sont comme ça. Nous jouons aux jeu de rôle où moi à 35 ans je joue la gamine de 15 ans. Alors je pourrais partir mais c’est hors de question. Daddy adore les jours de maintenance, je vous raconte ça alors que mes fesses sont encore rouges.
La journée de maintenance fait le tour des toutes les sortes de punition que me donne mon Daddy lorsque je fais des bêtises, peu importe que j’en ai fait ou pas. La journée de maintenance est long, douloureux et humiliant (mais j’aime ça et ne veux pas que ça change) et il l’utilise pour asseoir son autorité sur sa charmante petite gamine adorée. Daddy aime beaucoup prendre des photos de mon petit cul enveloppé dans une couche bien épaisse. Je suis nue avec juste une couche, c’est toujours comme ça les jours de maintenance. Il prend aussi des photos de mon petit cul tout rouge après une fessée ou plusieurs fessée. Après il me met au lit avec mon pauvre petit derrière tout rouge et endolori, j’ai du mal à m’asseoir. Il me place sur le ventre lorsqu’il me mets au lit, des fois il me mets de la lotion, il me berce.
Daddy ouvre la porte de la chambre dans laquelle je prétends encore être endormie. Je ne dort pas bien la veille au soir en anticipation de toutes le punitions et humiliations que je devrai endurer. Il vient à côté de moi, me mets la main sur les reins et me dit qu’il est l’heure de me lever. Je l’ignore.
« Sais-tu quel jour sommes nous bébé ? c’est mon jour adoré, un jour où tu montre ta dévotion et me prouve que tu es une gentille fille et pas une mariecouchetoilà. c’est le jour où je fait toute sorte de choses à ton corps. Allez lève toi mon amour »
Daddy retire la couette et l’air frais me tire du lit. Je suis a moitié habillée, je ne porte qu’un petit débardeur. les jours de maintenance débutent pas un petit examen physique et je ne peux pas me doucher avant ce qui ajoute un peu d’inconfort physique et mental et aussi d’humiliation. Il a raison, je me sent humiliée.
Daddy aide à me mettre assise au bord du lit, il remonte mes bras et me retire le tshirt, me voilà toute nue, des fois je suis autorisée à porter une culotte coton blanche ou rose. Un jour j’ai acheté une belle culotte sexy en dentelle, Daddy pensait qu’il se passait quelque chose m’a fait déshabiller devant lui et m’envoya au piquet nue juste avec la culotte à mes genoux. Il me fessa avec la brosse de bain jusqu’à ce que je sois en sanglots. Il m’a amené dans la chambre d’amis où il m’a placé à quatre pattes à même le sol et m’a fessée avec sa main jusqu’à en crier, ma culotte à mes chevilles fin de parenthèse.
Daddy se place entre mes cuisses et commence les palpation de mes seins, il tourne malaxe il cherche s’il y a une anomalie, une grosseur mes seins pointent de façon éhontée, ça commence à m’exciter. Je reste très calme pendant cette première inspection.Il me demande si ça me plait d’avoir des caresses comme ça je réponds par l’affirmative puis il me demande si je laisse les garçon me toucher la poitrine « Non Daddy tu es le seul qui peut toucher mes seins ». Il me fait mettre à quatre pattes, mes seins pendent et il continue de les malaxer, Cela me plait beaucoup.
Puis il me fait mettre sur le ventre retourne de la salle de bain avec le tube de vaseline et le thermomètre, il s’arrête en chemin récupérer la brosse à cheveux, la bouillotte canules et tuyaux pour le lavement et le ceinturon. Tout est dans le tiroir du bas. daddy n’est pas un monstre il sait me donner du plaisir et en plus il me l’administre.
Puis allongée sur le dos je replie mes jambes sur mon torse et les écartes. Il me fait mettre mon pouce dans la bouche pour faire l’examen de mes parties génitales. Dans cette position je suis très exposée, la position peut être qualifiée d’humiliante (mais j’adore). Je ne rate rien de l’examen de ma partie intime, je suce mon pouce pendant ce moment humiliant depuis des années. Comme je le disait un peu avant je ne suis pas douchée et je deviens toute rouge alors que mon Daddy mets du lubrifiant sur ses doigts pour explorer tous les recoins de ma partie la plus intime.
Je commence à gémir et me tortiller, je suce mon pouce avec conviction. Cela m’aide à supporter cet inconfortable examen mais je suis invitée à garder mes genoux pliée sur ma poitrine et d’écarter mes cuisses autant que possible. Je gigote dans tous les sens. Daddy attrape la brosse a cheveux, me tiens les jambes aussi pliées qu’il le peut et commence à me fesser en position de change (couche), c’est mortifiant. Mes fesses me brûlent et je commence à pleurer. Après une vingtaine de coups, je suis plus apte à coopérer et je re suce mon pouce. J’écarte encore plus mes jambes et Daddy me masse mon clito alors que mon vagin s’humidifie. puis il lubrifie mon petit trou et insère le thermomètre.
Doucement il me dit « Tout va bien mon cœur, c’est presque fini, Daddy veut être sûr que tu n’a pas de fièvre. Garde bien tes jambes écartées que je n’ai pas à te fesser à nouveau. Quand es-tu allée aux toilettes pour le dernière fois ? » tout en retirant le thermomètre.
« Il y a trois jours je pense » ma voix s’éteint. Alors que je devrais manger équilibré avec beaucoup de fibres, je mange plein de saloperies en cachette. Et cela a tendance à être irrégulière aux toilettes. Daddy a mis en place un planning aux toilettes et des fois m’accompagne voir si j’ai bien fait caca, il en profite pour m’essuyer après. Mais lorsque rien ne sort, il me mets un suppositoire ou m’administre un lavement sur ses genoux et cela arrive au moins une fois par semaine.
Pour me mettre les suppositoires, il me fait allonger sur le dos, les jambes repliée sur la poitrine et bien écartée ou à quatre pattes, évidement mon anus doit être bien offert, mes mains écartant les fesses, toute position doit être humiliante, embarrassante, ça me fait beaucoup mouiller puis il introduit doucement et profondément chacun des suppositoires.
Les lavements c’est pareil, sur les genoux, les fesses bien en l’air la tête dans l’oreiller. Si j’ai des crampe je peux me mettre sur le côté ou sur le dos, mais peu importe la position c’est toujours deux litres. Une fois la bouillotte vide il m’accompagne aux toilettes où je vide le contenu pendant de longues minutes. depuis que je suis petite le rituel reste le même, je me penche en avant pour qu’il m’essuie. Je me sent toute petite lorsque je lui dit que j’ai fini et qu’il m’essuie les fesses. En général un deuxième lavement suit le premier pour bien nettoyer l’intérieur.
La parenthèse fermée il m’annonce que je vais recevoir mes deux lavement aujourd’hui avant d’aller me doucher, il commence par l’intérieur. Cette fois ci j’ai droit à un premier lavement à l’eau savonneuse et la canule gonflable, cela me le fait retenir 15 minutes à chaque fois, rien ne sort. comme d’habitude il m’accompagne aux toilettes avec son lot de bruit de liquide et de gaz qui en échappe.
Après une deuxième lavement à l’eau claire, je lui demande si il ne peut pas sauter la fessée. Il me dit que que c’est pour mon bien, cela me préserve des tentations. si j’insiste trop, je suis plus sévèrement punie, je n’insiste pas trop.
J’insiste quand même, je ne veux pas être punie « Daddy s’il te plait je ne veux pas être fessée, je ne veux pas être punie ! »
Alors qu’il m’essuie l’anus, il me prends par le bras et me fait mettre à quatre pattes sur le lit lubrifie ses doigts et me fouille par devant et par derrière, je mouille beaucoup. Il m’introduit un plug. Il se recule et commence à me fesser au ceinturon je suis surprise et j’étouffe mes cris dans l’oreiller, j’ai même quelques gouttes de mouille et de pipi mêlé qui gouttent sur le lit.
« Je vois qu’une couche ne sera pas de trop, tu sera bien protégée, une fille modèle »
« Non ! pas de couches » je criais dans l’oreiller.
Je me calmais petit à petit, Daddy sait me consoler, je me lève et vais prendre ma douche comme d’habitude Daddy me savonne partout, le dos, les bras les jambes et le meilleur pour la fin la poitrine, les fesses et mon entrejambe. Après m’avoir rincé il a pour habitude de me placer un petit plug puis il me laisse me laver les cheveux.
Je sort de la douche, il me sèche délicatement, une fois mes dents brossée je sais ce qu’il m’attends : une bonne grosse couche. Arrivant dans la chambre, je suis surprise de ne pas voir de couches sur le lit mais à nouveau un lavement tout prêt à prendre. Je me retrouve à nouveau allongée sur le dos les jambes repliées sur la poitrine et assez écartées. Daddy lubrifie la canule gonflable et me l’insère délicatement. Il ne me fera pas évacuer ma lavement dans une couche cette fois, sinon je n’aurais pas pris de douche. Les deux litres d’eau passent dans mes intestins, la sensation reste agréable, cela me donne les sensations d’un massage interne. Pendant la durée de l’écoulement, Daddy joue un peu avec mon clito, j’ai frôlé l’orgasme à plusieurs reprises mais je n’ai pas le droit de jouir sans permission, surtout le jour de maintenance.
Après un dernier passage aux toilettes, il me fait allonger sur le lit et me passe une couche, une fabine pour être exacte, puis il ajoute deux inserts. Il ferme les adhésifs et m’enfile une culotte plastique par dessus. C’est très épais ! Le seul vêtement que je pouvais porter était un tshirt qui ne descendait même pas cacher ma couche et des chaussettes. Puis il me fait boire un verre d’eau et un grand verre de jus de fruit. Quelques café par la suite. Un peu plus tard alors que je me lève de la chaise, les pied sur le froid du carrelage je sent une envie de pisser me monter soudain. Je ne voulais pas mouiller ma couche alors je me suis vite allongé sur le canapé. Comme je suis punie je n’ai pas le droit d’aller aux toilettes, la couche est faite pour ça. La dernière fois que j’ai demandé à aller aux toilettes, il m’a descendu ma couche, m’a fessée cul nu et m’a remis ma couche.
Daddy arrive et passe sa main entre mon ventre et la couche pour aller toucher ma chatte vérifier si la couche n’est pas mouillée. Il en profite pour me doigter un peu. Je referme le plus que je peux mes cuisses, avec l’épaisseur de la protection, ce n’est pas facile et il me tapote les fesses. Je m’endors un peu puis l’inconfort l’emporte sur le la honte de demande rà être changée. A ce moment là je ne me retiens plus, je commence à mettre quelques gouttes dans ma couche, mias le jet devient de plus en plus fort. Je libère ma vessie. La couche est maintenant vraiment trempée. Il arrive qu’il me mette au piquet assise sur un petit tabouret pour que je sente bien l’humidité de ma couche pour vingt a trente minutes puis il me met une couche propre. Je retrouve Daddy à son bureau.
« Daddy, j’ai mouillé ma couche » dis-je au bord des larmes « Peux-tu me changer s’il te plait ? »
Daddy s’approche et tâte bien l’entrejambe de la couche, pour vérifier. Il me tourne et me mes une vingtaine de fessées sur le haut de mes cuisses.
« Vilaine, combien de temps depuis que tu es mouillée ? Je vais te fesser pour mouiller ta couche et aussi d’attendre aussi longtemps, il est temps de retirer cette couche. » dit Daddy sèchement.
J’ai horreur de porter des couches, je considère que ce n’est plus de mon age de porter des couches, c’est vraiment humiliant. Si les copine du lycée savaient que je suis fessée, que je porte des couches et en plus que je les mouilles elles se moqueraient de moi et ne me parlerais plus.
Il retire ma couche et m’attire dans la salle de bain. Il me nettoie avec des lingettes me disant que je me comportais vraiment mal. Il me fait courber sous son bras et me fesse à nouveau, avec sa main puis avec la brosse à cheveux. C’est humiliant, ça fait mal et mes fesses sont vraiment très rouges. Je le supplie d’arrêter.
« C’est moi qui décide quand la fessée est finie, tu a compris ? C’est pour ton bien. J’attends de toi que tu sois une fille obéissante, respectueuse, une bonne petite fille et pas une traînée, vulgaire, salope vivant sous mon toi.
Je lui répond oui, je comprends entrecoupé des sanglots.
Mais je sais qu’il fait ça pour mon bien (parce que j’aime ça être traitée comme une « vilaine » alors que mes parents ne m’on jamais touchée) parce qu’il aime aussi me l’administrer et cela facilite à le supporter.
Je suis très reconnaissante lorsqu’il me libère. Comme je suis considéré comme grande dans ce jeu de rôles il a fait quelque chose qu’il n’a jamais fait jusqu’à présent. Il me fait allonger sur le dos, me place une couche sous les fesse puis un insert mais au lieu de fermer les adhésifs, il m’explique que les jeunes filles sont sexuellement excitée par les punitions. Alors il approche sa tête délicatement puis commence à lécher mon clitoris. La sensation avec mes fesses rouges et endolories posées sur la douceur de la couche sèche. La sensation est des plus excitantes. Il utilise un petit plug qui rentre aisement dans mon petit trou tout propre. Je ne tarde pas à gémir sous ses coup de langue et de doigts. Il sait y faire, je ne peux résister à me laisser aller après quelques contractions de mon bassin, il fait durer le plaisir avec sa langue, le plug augmentant le plaisir anal et mes fesses rouges donnent un côté érotique inégalable. J’adore les travaux pratiques d’anatomie de mon Daddy.
Une fois l’orgasme passé. Il rabat le devant de la couche et referme les adhésifs. Je bois encore un grand verre d’eau et un autre de jus. Me voilà à nouveau bien protégée, bien hydratée pour à nouveau mouiller ma protection et très fatiguée des éventements de cette journée. Il m’enfile un pyjama et je m’endors.
Une bonne heure plus tard après m’être reveillé j’ai encore bien mouillé ma couche, mes fesses ne pourront pas supporter la fessée au ceinture pensai-je. Mais tant pis, je me laisse aller dans ma couche, après tout elle sert à ça. Daddy arrive peu de temps après. Il me fait ouvrir mes cuisses pour vérifier l’état de la couche. Elle est trempée. Il me la retire, place deux coussins au milieu du lit. Sans rien dire me me place allongé les fesses relevées par les coussins. Le ceinture claque sur mes fesses CLAC, CLAC… CLAC j’enfois la tête dans le coussin pour étouffer mes cris et pleurs.
Une pause de temps à autre me permet de souffler un peu d’autant qu’il caresse un peu mes fesses, cela retire beaucoup de l’échauffement provoqué par la fessée. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai eu une envie irrésistiible de me caresser, je passe une main sous les oreiller et commence à me caresser. J’écarte mes jambes les claques du ceinturon sont sèches et bien appuyée ça me rends de plus en plus excitée. Daddy encourage ce genre d’attitude. Il me fesses régulièrement accompagne mes coups de reins avec la ceinture. Mes fesses doivent tourner au rouge vif mais la brulure est transformée en chaleur et tout mon abdoment est stimulé. Je joui une nouvelle fois, c’est long, c’est bon. Mais la fessée continue toujours. Mon corps tremble Je pleure à gros sanglot. Après une dizaine de claques au ceinturon ça s’arrête, il me caresse les fesses. Je n’arrivais pas à endurer une telle punition auparavant, le cunni et mon doigtage m’ont fait beaucoup progresser. L’état dans lequel je suis est plus que très agréable, je me sent en lévitation. je demande :
« La punition est finie ? » de manière inintelligible entre deux sanglots, les yeux pleins de larmes.
« Oui mon bébé, la punition est finie »
« Je t’aime Daddy ! »
« Je t’aime moi aussi mon coeur » répond Daddy.
Il m’enlasse et me console. Assise sur ses genoux il me tiens serré dans ses bras et ç ame cajole. Mes fesses sont très rouges et douloureuses mais cela me plait beaucoup. Je fait des bêtises exprès pour qu’il me donne la fessée, je le cherche et il me trouve, les couches sont pour les punitions plus sévère et les lavements sont effectué au moins une fois par semaine.
Après m’être un peu habillée, nous buvons un apéritif et mangeons un bout devant la télé. Il me tiens dans ses bras. Je l’aime et c’est réciproque.
Nous nous endormons tous les deux. Je me réveille tôt dans la matinée, il m’enserre dans ses bras, c’est dimanche qui commence, nous nous endormons à nouveau.
Ma seule pensée est mon amour pour Daddy et la chance que j’ai d’être sa « petite fille ».