Une histoire de jeu de rôle entre un oncle et nièce qui est une petite fille.
Un couple joue à petit jeu d’humiliation. Lui joue le rôle de l’oncle maniaque et elle joue la petite fille prépubaire. Son corps avec ses petits seins, sa taille et hanches fines et son sexe épilé sont un terrain de jeu parfait.
Libre traduction http://www.saxon-web.co.uk/fiction/htm/guest-col/megan/megan-23.shtml
Les parents de Lucie sont morts. Elle n’a ni frère ni soeur avec lesquel partager les bons et mauvais moment. Elle a bien des cousins ici et là et son oncle lui rend visite de temps à autre mais elle n’a pas plus de famille. Mais c’est comme ça, elle fait ce qu’elle a à faire de son mieux, et elle fait des erreurs, c’est humain.
« Arrête de sucer ton pouce ! Combien de fois je te l’ai répété ? Tu pense pas que tu es un peu grande pour continuer ? »
« Désolé, j’ai oublié » soupire Lucie en s’essuyant le pouce sur son pyjama et elle entends
« A tu pris ton bain ? Lavé tes cheveux et derrière tes oreilles ? Entre tes jambes et tes pieds . A tu utilisé le bain moussant que je t’ai acheté ? Tes cheveux ont l’air propres et ta figure brillante. Tu sent bon la jeune fille ou je doit vérifier ? »
« Oui, je suis toute propre, comme tu le disait, vraiment » poui vint la terrible réplique.
« Connaissant les petites filles, plus spécialement toi, je pense vérifier quand même, allez viens ici. »
Où pourrait elle aller sans son oncle ? Elle a cela à l’esprit, apprendre la difference entre le bien et le mal et comment le satisfaire. Lucie serait perdu sans lui. Mais si sa main peut faire mal de temps en temps, c’est qu’il n’a pas tord. Il la fait marcher droit, elle en paye le prix de temps en temps.
Lucie est debout devant lui, elle s’est frotté à la brosse jusqu’à ce qu’elle soit toute rouge, nettoyant chaque recoin. Cet homme était exigeant.
« Les dents » Elle ouvre sa bouche, OK.
« Les ongles s’il te plait » Ses mains étaient inspectée pour des ongles court et propres, la paume et le dessus.
3tourne ta tête, s’il te plait »
Les oreilles de Lucie sont scrutées, son cou. Il semblais satisfait. Jusqu’à présent.
« C’est très bien ma chérie. Retire le haut et laisse moi voir si tu a été aussi attentionnée sur le reste de ton corps. »
Lucie marque un temps d’hésitation, retire en toute la modestie le haut consciente de son corps en pleine puberté le haut et le jette sur le lit. Première erreur.
« Essaye encore et cette fois tu le plie et tu le pose sur le lit. tu le sait très bien. Je m’occuperai de cet oubli »
« Je suis désolé. S’il te plait, je n’oublierai plus » répondit elle attrappant le haut, le plie et le pose sur le lit à sa place. »
« Je sais que tu le fera bien, lève tes bras et mets tes mains sur la tête. Bien, tourne toi » Lucie obei, elle sent en l’attrapant pas son bras qu’il la fait tourner el lorsqu’elle est face à lui ses petits seins lui font face et les vérifie aussi. Elle baisse ses yeux et rougi.
Son oncle lui a déjà dit. Il lui a déjà dit que son corps se transforme en femme. Une vraie femme avec des seins et des poils qui poussent à des endroits inhabituels. Ell fait l’expérience d’une étrange sensation, se touchant elle même à certains endroits. Mais son oncle lui réponds que c’est normal, la plupart des gens font ça.
« Bon passons à tes fesses » alors que ses doigts passent dans l’élastique du pyjama, Lucie fini de le descendre. elle ne fait pas la même erreur, elle plie et range le bas sur le lit.
« remets tes mains sur la tête et écarte un peu tes jambes » Les reins encore étroits, ventre plat pas un signe de poils sur le pubis, lisse comme un oeuf. Sa main passe sous son pubis, le pouce glissant dans sa fente en titillant les petites lèvres si innocentes.
« Pourquoi c’est encore mouillé, tu ne t’es pas bien sechée ? c’est moi qui doit le faire ? prends une serviette et allonge toi sur lelit mais avant tourne toi pour que je vois tes fesses, elle devront être irréprochables » ses mains la guide pour se pencher en avant.
« J’ai bien nettoyé, trois fois pour êter sûre »
« C’est moi qui décide »
Ses main écartent ses fesses et scrute tout signe de négligeance. Il pousse son majeur doucement de 2 cm dans son anus. Lucie soupire de cette intrusion. Elle recoit une claque assez forte sur ses fesses.
« Ca fait mal » s’écria-t-elle.
« Oui c’est le but, ne te contracte pas tant que je n’ai pas fini de voir si tu es propre ». L’inspection continue jusqu’à ce qu’une petite tape lui dise de se relever.
L’hygiène était très importante, personne ne voudrait d’une jeune fille qui sent pas bon. Plus spécialement que tu devient grand ton corps peut sentir très mauvais. Pour cela Lucie se lave toute seule avec grand soin, utilise déodorant et parfums, juste au cas où son oncle l’appelle et la trouve négligée. Sinon elle se fait expliquer en détail et son oncle lui montre comment elle doit faire jusqu’à ce quelle le fasse bien.
Lucie revient avec la serviette et lui présente sa face toute rouge.
« Allonge toi sur le dos et écarte tes cuisses, je vais te montrer comment se sécher. »
Elle se tends alors qu’elle sent les doigts cherchant l’humidité. Son visage montre la désaprobation. Il passe la serviette, plusieurs fois mais l’humidité continue d’être là pour le contrarier.
« Quelle petite coquine, d’où cela peut bien venir ? » Un doigt, puis au autre trouvent l’entrée du vagin et le pénètre. Il ressort ses doigts puis recommence plus fort jusqu’à ce que l’humidité ressorte » Elle gémit.
« Ce n’est pas bien du tout. Regarde moi ce désastre. Regarde ma main, elle coule. Je dois m’en occuper de manière sévère, tu m’a désobei et les petites fille devrait faire comme on leur dit. Dis moi Lucie, que se passe-t-il dans ce cas ? » Silence puis elle parle très doucement.
« Pardon, que dis tu ? parle plus fort. Ca commence à m’agacer et tu sais que ce n’est pas bon signe. »
« Je suis fessée » murmure t’elle.
« Comment Lucie ? Comment es tu fessée ? plus fort je n’entends rien »
« Sur mes fesses nues, allongée sur tes genoux » s’exclama-t-ele. un peu plus fort que ce qu’il attendait.
« Est-ce que tu a peur ? Est ce que tu mérite cette fessée ? » Demande-t’il.
« Oui j’ai peur et je ne pense pas mériter cette fessée. » Une touche de tempérance dans sa voix elle fronce les sourcils.
« Oh ma chérie, c’est de la désobeissance, non ? raison de plus »
« J’ai fait tout ce que tu m’a demandé. J’ai lavé mes cheveux, oreilles, fesses et pieds je suis toute propre tu pourrais manger de la glace sur moi. » Cela n’a rien changé.
« Viens ici, de suite »
« Nooon ! » et Lucie cherce à s’échapper mais elle ne va pas très loin, un bras autour de sa taille et elle est soulevée. Elle gigottait mais elle fut placée en travers de ses genoux. elle se débattait et son oncle patientait. Elle s’epuisait et restait toujour allongée.
« Ca y est c’est fini ? » demande-t’il.
Un petit son de sa voix retenti.
« Bien. Que de temps perdu et il n’y a qu’un perdante. Honte à toi. »
Son oncle la fessait plus souvent quand elle était plus jeune lui disant que d’être pas sage est inacceptable. Des enfant sont punis par privation mais Lucie reçoit la fessée, et son oncle (et elle) préfère. Il utilise sa main mais il arrive qu’il la fesse avec la ceinture. Puis ell est envoyée au lit.
Alors un déferlante de claques arrivent sur ses fesses toutes blanches qui tourent rapidement au rosé après une dizaine de claques, à chacune d’entre elle elle cherche désespérement à s’échapper. « Tu me fais mal. »
« A bon, ça fait mal ?
« Arrête s’il te plaiiiiiiit »
« Je suis désoooollééééé, vraiment ! »
« Je ferai mieux la prochaine fois, je te promet »
Il ignore tout cela jusqu’à ce qu’elle abandonne et commence à pleunicher, pis pleure à chaudes larmes. Alors il arrête la fessée.
« Tu te souviens de la brosse à cheveux en bois toute mimi que tu a eu noël dernier ? ou est elle ? » demande-t-il, la faisant se lever de ses genoux et la force à le regarder.
Elle réponds par un haussement d’épaule.
« Je pense que tu sais et ne me fait pas répéter, ça sera mieux pour toi. »
D’un doigt il désigne la salle de bain avec un regard sévère. Ell se tourne et part dans la salle de bain. Elle prends tout son temps pour fouiller les placards. Elle tombe dessus et la donne à contre coeur à son oncle.
« Viens ici. Tu en aurais eu 10 mais ce sera quinze suivi de cinq au ceinturon pour ton attitude. Sèche tes larmes, tu en aura besoin plus tard. » Il indique ses genoux, attrappe Lucie par le bras et l’allonge sur ses cuisses.
Cette brosse était la préférée de Lucie, elle était assortie d’un peigne et d’un miroir avec des petites fleurs roses peintes dessus. Elle l’utilisait tout le temps et la gardait près de tous les pyjama et habits que son oncle lui avait offert. Il aime la voir avec des beaux habit, ce qu’elle adore elle aussi.
La première claque résonne en haut de ses cuisses. Lucie emet un cri aigu et avale sa salive. Elle n’est capable que de dire un mot : « Nooooonn ! »
« Oh que oui Lucie » Il répond alors que la brosse résonne dans une succesion de fessées, quattre sur un fesse, quattre sur l’autre. Pas assez pour laisser des traces mais suffisement pour avoir des fesses en feu.
Lucie sanglottait. Son oncle attends que le feu se calme et reprends avec 5 de plus, son bras haut dans les airs et il entends la brosse claquer fort sur les fesses.
« Est ce que ça fait mal ? » Lui demand-t-il. « Est-ce que ça te fait du bien » dit il en caressant la peau rouge de ses fesses pour apaiser la douleur. Il passe sa main entre ses cuisses et trouve sa chatte encore toute mouillée.
C’était réconfortant, la douleur laissait place à la chaleur. Il pouvait être très chaleureux quand il voulait. Elle a appris à savoir lui répondre pour qu’il ne se mette pas en colère. Mais elle aime aussi le défier de temps en temps, ce qu’il aime aussi.
Il ballade son doigt, tout autour de sa vulve puis va dedans son vagin, elle bouge ses fesses pour faciliter l’introduction.
« Espèce de coquine, trainée… A genoux et montre moi ta pénitence comme je te l’ai apprise » il la tire par les cheveux et la fait se mettre à genoux. Elle se met en place doucement et douloureusement. Elle saisi la boucle de la ceinture.
« Retire la, on va en avoir besoin de suite. »
Une fois retirée, il la pose sur le lit, défait sa braguette et descent son pantalon et son caleçon. La bite en érection prête à être entretenue.
« Juste au bout pour le moment, je t’en dirais plus »
Lucie attrape sa bite par le bout de ses lèvres et le suce. Tourne sa langue et continue de pomper. Il lui attrappe la tête et la pousse sur son sexe. Ca rempli sa bouche sans l’étouffer, elle des va et viens et il regarde ses yeux s’écarquiller.
« Ca suffit pour l’instant, a quattre pattes sur le lit les fesses bien en l’air les jambes écartées. Mais qu’est ce que tu attends ? » dit il alors qu’elle ne bouge pas.
« Je ne veux pas, ça fait trop mal, la ceinture et trop épaisse » dit elle en regardant sa bite raide.
« je crois que tu n’a pas le choix, sur le lit en position » dit il en montrant le lit du doigt.
Lucie se mets en position. Plus tard pour satisfaire son mari elle doit apprendre comment faire correctement. C’était la partie apprentissage ‘sexe’ et tout les deux adoraient cela. C’était important et Lucie était très attentive sur cette leçon.
« J’ai plusieurs choix Lucie, il y a deux endroits que je peux remplir. Dans lequel je peux aller, je ne sais pas où aller, mais je suis émerveillé. »
Lucie ne réponds pas elle ressent son sexe dans son vagin tout mouillé. A chaque mouvement elle pousse un petit gemissement.
« Ca fait mal, arrete s’il te plait » Lucie se plaint essayant de s’esquiver.
« Les vilaines filles ne sont pas écoutées elle sont baisée et fessée au ceinture. » Dit son oncle continuant d’aller et venir laissant ses mais sur ses hanches.
« Reste comme ça, referme tes cuisses » il attrape la ceinture.
Il double la ceinture et lui touche les fesses et la regarde se contracter. Clac ! la ceinture donne uen première fessée et Lucie s’allonge. Elle attrape et mords la couette.
« Remet toi en position » elle s’exécute.
Le ceinturon fait mal peut être pas autant que la brosse qui souvent la fai pleurer. Mais c’est douloureux et sent ses fesses en feu. Ses fesses sont meutries rouges et très chaudes et quand la ceinture s’abat dessus, c’est comme si quelque chose cassait en elle. Un de ces jours, son oncle utilisera la badine (cane). Il ne l’a pas encore utilisé parce qu’elle lui a demandé et l’a écouté. elle en a très peur, elle pense que c’est trop douloureux. Mais le jour où il va se décider, elle devra obeir.
« Combien j’ai dit ? » demande-t-il d’un air moqueur, il le sait.
« Cinq, mais je dois vraiment tout avoir ? Je peux sucer votre membre autant qu’il vous plaira, s’il vous plait » supplie-t-elle.
« Tu le fera de toute façon, on fini les quattre et ce sera la fin »
Lucie reniffle un peu.
Les quattres coup qui suivent sont très fort et précis. D’une main il écarte ses fesses et lubrifie son anus avec sa cyprine. Il approche sa bite et commence à la pénetrer alors que Lucie proteste.
« Non pas ici, ça fait mal et c’est sale. Tu ne devrais pas aller là. Arrête tu me fait pleurer. »
Alors qu’il s’enfonce un peu plus il ressent son cul tout serré. Chacun d’entre eux crie mais de manière séparée aucun des deux a envie d’être séparé. Il joui et alle aussi.
« Sort s’il te plait, tu pèse une tonne. Joan, JOAN tu m’entends, lève toi tu me brise les côtes et mon cul me brûle » Lucie sort de là en poussant son compagnon.
« Oh c’est bon arrête, je suis claqué va faire un plateau télé ma petite femme… »
« Comme ça je suis une salope, j’ai suivi tes instructions à la lettre et restant douce et innocente, mais là c’est fini. De toute façon tu n’a jamais fini ‘mon oncle’. Je te laisse 5 minutes et tu va débrouiller. Je vais chercher de la confiture de fraise ou tu m’a dressé une liste d’instruction. La prochaine fois qu’on joue c’est moi qui choisi, ça me fatigue de faire toujour ‘oui mon oncle, non mon oncle' »
il y a une lettre dans la boite, ce sont de nouvelles instructions. Elle doit aller derrière la maison récupérer un carton couvert sous des baches plastiques. Elle doit ensuite le ramener dans la maison, l’ouvrir. Quand elle a fini elle envera le message pour donner ses préférences et ça sera son dernier choix
Dans la carton il y a trois tenues. une tenue d’écolière : chemisier blanc ainsi que soquettes et culotte, un pull écossais, une jupe plissée et une cravate. Un autre c’est une jupe courte d’été à fleurs avec sa culotte assortie. Et enfin le dernier un pyjama pour petite fille décoré avec des oursons bien épais et tout doux. Lequel pourrait elle bien choisir ?
Chaque tenue aura un scénario différent, mais lequel choisir.
Il faut choisir.