Dans une séance de fessée le déculottage est une partie majeure du plaisir.
Pour le fesseur : c’est l’occasion de bien profiter du postérieur du puni’e).
Il y a plusieurs manière d’aborder cela.
D’après l’article sur le début de la fessée, la fessée à déjà commencé, le déculottage arrive quand les fesses sont déja chauffées.
Les préparatifs sont effectués (voir article), l’ambiance est posée, maintenant, il faut passer à l’acte.
Voici une version d’une fille soumise.
La punie part du coin et passe chercher la brosse à cheveux dans la salle de bain, s’approche de vous avec son instrument de torture, elle vous la tends et baisse son regard en attendant les instructions.
Elle a des papillons dans le ventre et le fesseur l’elastique du caleçon qui est très étirée. Son fond de culotte commence à être humide. Vous lui demandez de se pencher sur la table, de bien allonger sa poitrine et d’attraper les bords de la table. Posez la brosses sous ses yeux, afin qu’elle sache quand elle sera fessée avec cet instrument.
Les fesses son bien offerte. Vous vous placer à bonne distance, poser votre main correctrice sur ces fesses si bien exposée en attente de la sentence.
L’idée de la fessée a germée, elle pousse. Voir article precedent sur les prémices
Les préparatifs peuvent commencer. Je vais me baser sur l’exemple d’une mauvaise note à l’école.
Il faut avertir mademoiselle qu’elle a cherché à cacher une mauvaise note, en plus elle conteste et a cherché à cacher celle ci, il y a la mauvaise note et recherche de dissimulation, il manque un mensonge flagrant et la coupe est pleine : mademoiselle va recevoir sa fessée.
Dans la vraie vie cela se traduit par une relation complice dans le couple, mademoiselle va vite se s’habiller en schoolgirl .
La fessée est un jeu très excitant, mais tout commence par une idée qui germe comme l’envie de voir et malaxer les fesses de sa compagne ou son compagnon.
On peut mettre en place un petit scénario, tout dépends de l’amour de la fessée de chacun, des fois c’est juste, viens ici je vais te mettre une fessée, des fois c’est plus élaboré.
Il y a la mise en situation, l’un accuse l’autre d’avoir fait une bêtise et mérite une punition, les excuses de la fessée son très nombreuses comme un retard, un vase cassé… Mais les prétextes fictifs marchent bien aussi, ça évite de casser un vase.
Une fois que l’idée du fesseur est entrée dans la tête du fessée, manque plus que son approbation. Si c’est non, tant pis ce sera pour une prochaine fois sinon la réponse ne se fera pas attendre.
Je m’appelle Pascal, j’habite à Poitiers, dans le centre-ville. Depuis tout petit, mes parents me faisaient passer l’été à la campagne chez ma tante dans le Gers. C’est un endroit où il y a plus de canard et d’oies que d’habitants. C’était l’été de mes 15 ans dans la fin des années 80.
Arrivant de Poitiers, ça fait du changement : le décor et un accent très prononcé que j’adore. Ma tante et mon oncle m’attendent à la gare. Embrassades, nous rentrons à la maison. Nous discutons, de tout de rien, de l’année passée.
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