belle mère – la discipline en couches

Ma belle mère m’a forcé à porter des couches !
Fiction…
Traduction de
www.dailydiapers.com/content/stories/321.html

Je me suis levé ce matin un peu grogui et un mal de crâne de la dernière soirée bien arrosée à laquelle je suis allée. J’étais de retour à la maison pour l’été après un dur semestre de mastère. La maison familiale était le dernier endroit où je voulais aller depuis que mon père s’est remarié avec une femme, une fille qui a juste 5 ans de plus que moi. C’est dur d’accepter le fait qu’il est marié avec une jeune femme que je n’aime pas.

A 24 ans je pense être assez adulte pour aller et faire ce que je veux, mais quand je suis revenue à la maison pour l’été, ce n’était pas de gaité de coeur. Alors que mon père voyage beaucoup, Noemie ma belle-mère était en charge de la maison et de la discipline dont je pourrais avoir besoin. Je pensais que c’était ridicule et que je n’avais plus besoin de baby-sitter, mais mon père est strict avec moi et je respecte ses vœux de gérer notre relation le mieux possible.

Je n’ai rien fait avant de réaliser l’emprise que Noemie pouvait avoir sur moi. Avec mon mal de tête, je me prépare doucement pour aller dans la salle de bain pour mon premier weekend à la maison. Alors que je me lève, je trouve mes draps mouillés et mon pyjama qui colle à ma peau. J’étais horrifiée d’avoir eu un accident dans la nuit. Au lieu de faire une esclandre de la situation, je retire les draps mouillés pour les mettre à laver avant qu’elle ne s’en rende compte. Mais Noemie souri en me voyant avec les drap et surtout l’auréole toute mouillée sous les fesses de mon pyjama.

« J’espère que tu peux expliquer tout ça ! » dit Noemie.

« Umm, ouais, mais je vois plutôt ça comme un accident » répondis-je.

Noemie souriait et continuait à me regarder en me disant qu’elle allait parler à mon père sur la façon de gérer une jeune fille qui fait pipi dans son lit. Je n’avais d’autre choix que de sourire à mon tour alors qu’elle appelait le mobile de mon père. Alors que mon père décroche, Noemie raconte la situation actuelle et que j’ai passé une soirée bien arrosée. Je ne pouvais m’empêcher d’écouter ses mots à travers le téléphone, il était en colère et dit à Noemie qu’elle avait carte blanche pour contrôler la situation et me punir. Mon sang ne fit qu’un tour à l’idée qu’elle pouvait me punir pour avoir fait pipi au lit.

Noemie fini la conversation avec mon père et me demande de tout nettoyer car la punition commence dans une heure. Je ne savais pas ce qu’elle avait en tête alors qu’elle part en me disant « dépêche-toi petit bébé, tu auras une punition que tu n’oublieras pas de sitôt »

Je mets les draps dans la machine et je me prends une douche, je m’habille et fonce en bas pour voir ce qu’elle avait dans la tête pour me punir. Je trouve un mot qui dit qu’elle revient dans un petit moment pour faire quelques courses mais que ma punition commencera à son retour. Je prends mon petit dej dans la cuisine devant la télé alors que Noemie arrive avec la même sourire munie de 2 grands sacs.

Elle pose ses deux gros sacs sur la table. Sans me demander elle se baisse et touche mon entrejambes et me demande si j’étais mouillée. Je lui réponds non et elle me demande de me lever et de baisser mon pantalon pour commencer la puniton ce que je refuse. Elle prends son air sérieux et me demande à nouveau de me lever ce que je ne pouvais plus refuser alors je me suis mise debout. Elle me descend mon jean et ma culotte à mes cheville alors qu’elle remarque que j’ai le pubis rasé.

Puis elle me demande de libérer le pantalon, je devenais nerveuse, je ne savais pas où cela menait. Alors que j’étais les fesses à l’air à moitié nue elle commence à me dire en quoi consiste ma punition à commencer par les deux sacs posés sur la table.

Elle commence à dire « Jess, ta punition durera tout l’été, tu suivras toutes les règles ou ton père te fout dehors et arrête de payer ton appart et tes études »

Elle sort un paquet de couches pour adultes du sac et le pose sur la table en attendant ma réaction. J’étais là debout moitié nue alors qu’elle ouvre le paquet et sort 2 couches. Les couches font un bruit de grincement de plastique pendant qu’elle les ouvre. Je la regarde et dit que c’était une plaisanterie, ça va trop loin, je ne porterais jamais une couche. Elle répondit « Tu porteras ces couches sinon tu pars de la maison et tu n’auras plus d’argent pour tes études, compris petite pisseuse ? » J’étais en état de choc, gênée et totalement sous son contrôle.

Noemie me dit : « voici les règles petite fille. Tu porteras des couches culottes tout le temps. Tu n’iras plus à la salle bain sans surveillance. Tu feras pipi et caca dans ta culotte peut importe qui sera là. Pour les trois prochains mois tu seras traitée comme une filette de 4 ans qui porte des couches. Tu ne demanderas pas à changer ta couche, c’est moi qui décide. Voici ta sucette, biberons et d’autres fournitures arriveront. Tu seras considérée comme mon bébé durant tout l’été que ça te plaise ou non. Alors il va falloir que tu t’habitue le plus vite possible »

Je me mets à sangloter alors que je me tenais nue devant cette femme qui allait me forcer à porter des couches et me traiter comme une petite fille. Elle me demande « A tu compris les règles ? » Je répondit oui d’une voix plaintive. Elle me demande de la suivre dans le salon et m’allonger par terre alors qu’elle prend le deuxième sac avec elle. Elle sort le talc, la crème pour le change, la vaseline et une tétine rose très grande.

Elle attrape les couches et me demande de soulever mes fesses du sol et d’écarter mes cuisses. Une fois de plus j’hésite mais je n’ai pas vraiment le choix d’échapper à la punition. Elle glisse un première couche sous mes fesses puis a deuxième. Je repose mes fesses sur cette douce épaisseur. Elle me dit qu’elle met 2 couches pour être sure que de ne pas avoir de fuites ne sachant pas quelle pisseuse je pouvais être. Elle fait quelques trous aux ciseaux dans la couche intérieure. Elle me place la tétine dans la bouche, une bonne dose de vaseline dans la raie de mes fesses et colle les adhésifs de mes couches.

Noemie n’avait pas fini. Après m’avoir langée elle sort une culotte plastique aux motif enfantins, me la fait glisser tout le long de mes jambes et recouvre les épaisses couches adultes. Je pleurais alors qu’elle m’entraine dans ma chambre et sort une vieille robe datant du collège. Elle me la passe et cette robe me va toujours alors que je remarque qu’elle est particulièrement courte et ne couvre pas l’épaisseur des couches.

Je reste là totalement abasourdie et ridiculisée par Noemie alors qu’elle me décrit ma chambre. La sonnerie résonne se dit que le timing est parfait pour recevoir mon lit à barreau et ma table à langer. Elle me fait marcher jusqu’à la porte avec elle et je note l’épaisseur, le bruit de froissement de plastique et la manière dont les couches me font dandiner. Le livreur remarque ma tétine puis observe de plus près la grosse épaisseur de mes fesses et le bruit que font mes couches sous ma robe. Alors qu’il dépose toutes les marchandises pour bébé il déballe le grand lit à barreau et la grande table à langer pour adulte. Tout cela était pour moi.

Une fois les meubles montés, Noemie pensait me faire honte devant le livreur en soulevant ma juppe et baissant la culotte plastique pour contrôler l’état de mes couches.

Elle me demande « Jess, a tu fais caca ou pipi ? De toute façon, tu feras tôt ou tard, ne te retiens pas parce que ce charmant garçon est là. »

J’étais rouge comme une pivoine alors que le gars dit « En fait elle a besoin d’utiliser se couches pour faire pipi et caca ? Ne pensez-vous pas qu’elle est un peu grande pour ça ? Je pensais que c’était une plaisanterie mais là je vois que vous en avait fait un vrai tout-petit »

Noemie dis alors « bien ma puce si tu pisse dans ton lit n’a tu pas pensé que maman te remettrai des couches ? Regardez Jess a besoin d’une punition pour la faire marcher droit, tôt ou tard, ses couches entourant ses fesses seront malodorantes et trempées »

Le garçon souri et part approuvant qu’elle mérite cette punition et souhaite bonne chance à Jess. Alors qu’il part, je reste là en train de pleurer alors que Noemie soulève ma jupe à nouveau, me fait pencher en avant et me donne quelques claques sur les fesses et le haut des cuisses. Elle m’annonce que j’ai une heure pour mouiller et salir mes couches, sinon ça sera de force. Puis elle me place dans le lit et m’attache les bras aux entraves présentes dans le lit en attendant que je remplisse ma couche de caca.

Le temps passait lentement jusqu’à ce que je sente un pression dans mon ventre. Je me retiens amis après tout je sais qu’il n’y a aucun moyen de retirer mes couches et d’aller aux toilettes. Je ne savais pas qu’il était aussi difficile de faire dans sa culotte alors que j’étais attachée allongée dans mon lit. Je luttais et poussait jusqu’à ce que je me relaxe et j’ai commencé à remplir ma couche. D’abord la matière sortais devant puis petit à petit revenait dans ma raie des fesses. J’ai fini de pousser et de faire pipi au bout de 10 minutes. Maintenant j’étais sans espoir, vaincue à 24 dans un lit de bébé, portant des couches remplies et trempées suçant une tétine. Je sanglotais et gémissait derrière ma tétine alors que personne ne m’écoutait.

Au bout de 20 minutes Noemie arrive et vérifie ma couche, juste pour ne narguer et se moquer de moi pour sa plus grande joie. Elle me dit qu’elle ne pensait pas que j’y arriverai. Elle me dit aussi que j’étais faite pour porter des couches alors qu’elle me libère de mes attache. Elle me demande de mettre mes sandales, nous allons chez une amie. Mais elle ne me change pas la couche d’abord ?

Je n’ai pas réalisé mais j’ai fauté deux fois, la première pour parler sans la tétine, la deuxième pour demander à avoir une couche propre. Premièrement elle me tape la main et remet la tétine dans la bouche. Deuxièmement elle m’écrase ma couche sur mes fesses pour bien étaler le caca sur mes fesses. Elle me précise que j’écouterai ce qu’elle dit, j’irai où elle veut et me changera quand elle aura décidé que les couches seront pleinement utilisée.

Une fois habillée selon son standard, je me tenais à côté du lit avec ma tétine la peur qu’elle me fesse à nouveau. J’attends patiemment de quitter la maison mais n’avais aucune envie d’aller dehors avec des gens dans cet état là. Peu après Noémie ressort de la chambre pendue au téléphone avec une de ses amies. Elle racontait comment mon père lui avait donné le droit de prendre mon contrôle complet et comment elle en abusait. Elle racontait tous les détails de ce qui arrivait y compris mon pipi et caca.

J’attendais ici en posture la regardant me ridiculiser devant sa copine alors que sentais bouger la matière dans couche. Je me sentais impuissante face à elle et savait que ça n’allait pas s’arranger sachant qu’elle allait me faire honte une fois de plus devant ses amies que nous allions voir.
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Nous quittâmes la maison un instant après avoir raccroché et nous dirigeons vers un magasin où elle pourrait acheter d’autres accessoires cd bébé pour moi. Elle me fit monte à l’arrière au milieu pour que tout le monde vois que j’étais traitée comme une petite fille. Alors que je m’asseyais sur la banquette, je sentais le caca s’étaler de partout. Noémie vois ma tête et se moque « Oh, pauvre bébé avec ses couches pleines et trempées ». Elle m’attache la ceinture, me fait un bisou sur le front et me dit que je suis un méchant bébé. Après une demi-heure de route je ne savais pas où nous allions. C’était un magasin spécialisé dans les articles de bébé adultes.

Nous descendons de la voiture et j’hésite à rentrer. Noémie me tire dans la boutique, les gens ont vite remarqué l’odeur de mes couches et mes fesses qui sont enveloppées d’une couche. Je marchais en canard à travers les clients alors que nous trouvions un vendeur. La fille avait une trentaine d’année et nous demande si nous avions besoin d’aide. Noemie souri et dit qu’elle avait besoin de jouet pour ce grand bébé ainsi que des instruments pour la punir.

La fille nous guide dans la section bébé adulte où ils avaient des rayons complets d’habits, couches, sucettes, lits, culotte plastiques, CD, films et divers livres. Après que Noemie ai pris un peu de tout nous allons dans le rayon des couches. Elle demande d’avoir ce qui se fait de meilleur : le plus absorbant et épais qu’elle avait en stock. La fille cherche et nous montre une couche très épaisse avec trois gros adhésifs qui était faite pour des personnes alitées. Cette couche était étudiée pour de multiples pipi et caca. Elle continue en disant que cette couche pouvait être portée toute la journée sans crainte de fuite et le contrôle des odeur. Cela ne me plaisait pas mais ça semblait la couche parfaite pour Noemie. Je voyais qu’elle pensait qu’il était plus confortable pour elle que le moins elle me changeait le plus inconfortable serait pour moi.

La fille sort un échantillon qui était déjà attaché, la couche restait en place comme si elle avait été moulée sur une personne. Elle était si épaisse qu’il serait évident de voir que la personne porte une couche et la plastique de la couche n’étais pas discret. Noemie dit à la fille qu’elle passait commande pour 500 couches sachant très bien que je resterai à porter des couches au-delà de l’été, et je savais qu’elle avait raison.

Puis Noemie fut guidée vers le rayon des punitions où les murs étaient couvert par des martinets, chaines et entraves de toute sortes. Il y avait aussi des cages, des punitions pour sexe, ceintures de chasteté et baillons de tous types. Noemie parcours le rayon et prends des attaches, des culottes plastiques avec chaines, baillons, accessoires pour lavement. Quand je pensais que c’était fini nous sommes allés au rayon habillement.

Noemie me dit que je n’aurai pas besoin de vêtement d’adultes cet été, alors elle m’habillera comme j’agirai : un tout petit. Elle prend des jeans très larges s’ouvrant complètement avec des pressions pour donner accès à la couche. Biberons, maillots de corps, body, combinaison, jupes et robes courtes avec velcro pour un accès total à mes couches. Nous repartons avec la voiture remplie de tout ces articles.

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