J’ai vraiment été très surpris par ma cousine – elle a voulu que je lui prenne sa température 🙂
J’ai quitté mon travail à vélo et rejoins ma maison pensant que mes parents m’attendraient avant d’aller en vacances en bord de mer. Quand je suis arrivé, il n’y avait plus de voiture et la maison était fermée. Je pensait qu’ils faisaient quelques courses et je finissait de faire mes bagages. J’entends sonner et laisse entrer ma cousine Sandrine. Elle me dit qu’elle est passée pour venir me chercher, en effet son père devait aussi finir son travail et que je partais avec eux. Je fini mes affaires.
Sadrine entre dans ma chambre et demande “Je peux t’aider ?” alros qu’elle me fait un bisou. Avant que je puisse répondre elle me dit “Tu es brûlant, tu va bien ?” Je réponds “Je vais bien, je suis rentré en vélo, c’est toi qui est une pouffe froide !” On rit et elle me mets la main sur le front puis dans le bas du dos et dit “Je pense qu’on devrait prendre nos températures” puis quitte la pièce. elle revient avec l’équipement nécessaire pour prendre ma température. Je répondit “Ah bon ? tu a dû mettre la clim trop forte dans la voiture”. Puis elle réponds “Ok, tu prends la mienne en premier”
Sandrine s’assoit sur le lit, nettoie le thermomètre à l’alcool, le secoue et le trempe dans le pot de vaseline. Elle se place au bout du lit, defait la braguette de son jean et m’expose sa culotte rose avec un beau petit papillon blanc. Sandrine s’allonge sur le ventre me regarde en plaçant sa tête sur l’oreiller. “C’est quand tu veux.” J’hésite en regardant l’heure mais comme nous sommes seul, je m’assois à côté d’elle.
Je glisse mes doigts dans la ceinture du jean et commence à le decendre alors que Sandrine décolle ses reins et il descent doucement. Je tire le jean à mi cuisses et elle repose ses reins. Je contemple et profite de la vue. Sa culotte rose couvre ses courbes deux centimères au dessus de sa raie. Au dessus, il y a une bande de marque de maillot du bas des reins. J’ai vu beaucoup de fesses mais celles-ci me faisais un effet de fou. Aprsè un moment je lui demande si elle est OK puis attrappe l’élastique de la culotte, elle soulève ses reins à nouveau et descent sa culotte.
Avec ses belles fesses blanches comme vue, j’attrape le thermomètre maindroite, lui écarte son sillon et insère le thermomètre dans son anus. Je garde ma main gauche sur le thermomètre, attrape mon téléphone, place le compte à rebours sur 6 minutes et passe mon temps à regarder ces fesses dont le thermomètre ressort.
Quand le téléphoen sonne, j’écarte à nouveau ses fesses, retire le thermomètre et j’essuie le reste de vaseline. La température affiche 37.2°C normal. Alors que je me lève elle se tourne sur le dos sans remoter sa culotte. Mes yeux restent rivés sur ce mont de venus avec ses poils chatin bien entretenus et me rassoit pour admirer la vue. Elle me demande “Alors j’ai combien ?” Je répondit que tout était normal, 37.2°C. J’essaie de relever son jean, mais elle fait obstacle en restant allongée ce qui fait que je suis en contact avec sa peau. Puis elle se lève et je remonte son jean et sa culotte. Elle me refait un bisou et me dit que c’est mon tour maintenant.
Elle prends l’initiative, s’assoit au bord du lit et commence à me défaire la ceinture, déboutonne mon jean. Ma bite va percer le caleçon. Elle descent mon pantalon accompagné de mon caleçon à mes genoux.
Elle me fait m’allonger en travers de ses genoux. Je m’exécute sans sourciller. Elle attrape le thermomètre, le plonge dans la vaseline et repose la boite. Elle écarte doucement mes fesses et m’introduit le thermomètre assez profond.
La sensation est trsè agréable et je sent bien le thermomètre. Sa cuisse sent mon dard tout dur. Elle place le compte à rebours du téléphone sur 6 minutes et elle tiens bien le thermomètre en main.
Puis elle change de main et commence à me dire si je me souviens la fois où elle a été fessée à cause de moi. Et elle commence à me claquer les fesses sans ménagement. Les claques sont bien espacées mais sont fortes. Elle mets du coeur à l’ouvrage. Le temps est fini et elle retire le thermomètre.
Elle regarde et annonce 38°C. “Bien maintenant je vais en finir avec toi” et elle continue de me fesser avec ardeur.
Au bout de 4 ou 5 bonnes minutes elle me fait se lever, attrape ma ceinture et me fait pencher sur le lit.
“Si tu fait des vagues, je dis à tes parents que tu cherchais à me tripoter alors tu va prendre 20 coup de ceinture”
clac, clac, clac… clac.
Arrivé au bout, j’avais les fesses en feu mais mon ardeur restait intacte.
Elle me dit de me rhabiller.
Ma cousine avait pris sa revanche 🙂