Tu n’oserais pas

Libre traduction de http://thehearthandhairbrush.com/Free/Stories2011/1YouWoundntDare.htm

Henri Fromenle regarde son horloge pour la dixième fois en une minute. Mais où était sa fille ? Henri comme tout les papas était inquiet pour sa fille chérie, sa ‘petite fille’. Il s’inquietera de sa ‘petite’ de 19 ans jusqu’au jour où elle trouvera un mari amant mais à présent elle reste sa ‘petite’. Henri regarde encore l’heure alors qu’il entends les clés de Sandrine dans la porte.

« Salut papa, ca va ? »

Alors le rôle du père repris le dessus et la gronde. Le vieux cliché des parents qui gronde sa fille parce qu’il était inquiet comme cela se fait depuis une éternité.

« A quelle heure tu rentre ? où était tu pendant ce temps là ? j’étais inquiet, presque malade ! » et ça continue mais il n’écoute pas Sandrine qui essaye de lui expliquer, avec toute sa bonhomie, ce qui est arrivé, comment avec six autre amies elles ont raté le bus et ont du attendre une heure pour le dernier bus. Elle disait qu’elle était désolé qu’il s’inquiète et ferai tout pour ne plus recommencer. Elle voulait s’excuser pour ne pas avoir téléphoné. Elle aurait dû elle le sait et elle était désolée.

Elle remarque qu’il n’écoute pas et ça la mine.

« Oh s’il te plait papa ! je me suis excusé pas la peine d’en faire un fromage  » s’exclama-t-elle alors qu’il faisait une pause. « Je vais me coucher, bonne nuit !  » puis se tourne et monte dans sa chambre mais henri ne l’entendait pas de cette oreille.

« Tu ne pe tourne pas le dos comme ça jeune fille ! j’en ai as fini ave toi. C’est moi qui décide quand tu va te coucher, alors tu reste ici et tu m’écoute ! »

« Papa, s’il te plait, je suis fatiguée, je vais me coucher, alors du calme, du calme ! »

« Tu ne me parle pas sur ce ton » puis lâche « Tu n’es pas trop agée pour venir en travers de mes genoux. Tu n’es pas trop grande pour tes fesses claquées »

Sandrine cassante lui réponds quasi systématiquement.

« Tu n’oserai même pas ! »

C’était le moment de vérité. C’était la dernière chance à chacun de reculer entre deux personnes de grande qualité de s’xpliquer s’excuser. Mais personne ne s’inclina déterminés à en découdre jusqu’à la fin.

Henri cassant « Tant que tu vis sous mon toit, tu dois suivre mes règles, c’est clair ? »

Sandrine agacée « Oui, c’est ça ! » s’exclama-t-elle se retourne et scelle son destin.

« Comment ose-tu me tourner le dos, viens ici ! »

C’était à ce moment là que Sandrine savait que malgré son age ses fesses allaient chauffer. Elle arrête de lutter, ne s’excuse pas ou demande pardon réponds simplement « Oui papa » et ressent la fessée arriver.

Henri, debout devant le canapé où elle sera fessée regarde son visage si mignon. Un visage qui n’exprime plus la colère mais qui est en empathie, il n’y a plus de résistance et qui accepte la situation qui arrive.

« Tu ne me laisse pas le choix chérie » il s’assoit et tapote ses cuisses, « Tu sais ce que j’attends de toi ? »

« Oui papa »

Sandrine s’approche remonte sa jupe et s’allonge en travers de ses genoux, une position qu’elle connait que trop bien. Cette juxtaposion intime père/fille est faite pour le châtiment parternel. Sandrine la tête dans ses bras posé sur le canapé laissant son derrière offert à la fessée de son père, elle s’abandonne vaincue. La main s’abat sèche, elle résiste mais quelques larmes coulent de ses yeux.

Une fois Sandrine dans son lit, elle écoute la routine de son père qui ferme la maison pour la nuit. Il passe ensuite la pardonner et l’embrasse. Le lien entre les deux était très forte. La punition était méritée, c’était douloureux et ses fesses la brule encore un peu. Sandrine est une jeune fille heureuse.

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