Libre traduction de Daddy’s little girl (http://www.saxon-web.co.uk/fiction/htm/domestic/domestic-3.shtml)
Une fille rejoint son “papa” pour jouer à une séance de fessée.
Je suis émoustillée alors que je me rends chez mon “papa”. Je me concentre sur la conduite alors que mon esprit se trouve là-bas. De temps en temps ça prend la dessus te je suis déconcentrée.
Finalement, je me gare dans le parking, trouvant des excuse pour retarder le moment, changer mes chaussures, jouer avec mon CD dans le lecteur. Un étrange mélange de répulsion et attirance. Je traverse le parking, appelle l’ascenseur.
L’appartement de ‘papa’ se situe au dernier étage, au fur et a mesure que je monte des étages je me sent rajeunir. J’entends ‘papa’ ouvrir sa porte d’entrée.
“Bonjour Chérie”
‘Papa’ me prends par le bras et me dirige vers le salon. Je le suis, arrivé dans la salon.
“Maintenant jeune fille…” me dit-il en regardant par-dessus ses lunettes.
“Mais papa…” Je proteste, le souffle court alors que rien n’est encore arrivé.
“Je t’avais avertie..” continue-t-il. C’était à propos de la ceinture de sécurité que j’ai oublié de mettre.
“Oui papa”
“Tu va dans ta chambre mettre ton pyjama. Maintenant !”
Ma chambre est en fait une chambre d’amis, mes pyjamas sont ceux d’une fillette en satin rose. Je suis petite (1m50 et à croire que ceux-ci sont sont fait pour moi !)
“Mais papa !”
Même si je proteste, je me dirige vers la chambre. Je me déshabille lentement. Symboliquement a chaque vêtement retiré je me sent plus jeune. Talons hauts, sous-vêtements avec lacets, jupe moulante.
Finalement je me tiens là attendant nerveusement mon ‘papa’ en pyjama de soie.
Papa arrive il est grand et brun et me regarde par-dessus ses lunettes.
“Tu as fait la vilaine…” alors qu’il s’assoit au bout du lit. Doucement pais fermement il me tire en travers de ses genoux.
“Non, papa…” alors que je sens qu’il me ceinture avec ses bras musclés et sa main dans la taille de mon bas de pyjama. J’essaye de me tortiller instinctivement puis “owwwwwhh !…”
“Non, papa s’il te plait…” la première claque sur une fesse, puis l’autre. Je n’ai jamais compté les claques dans cette première partie de la fessée mais je pense qu’il m’a infligé au moins une cinquantaine alors que ‘papa’ me fait la morale.
“Toi, clac, jeune fille, clac, je t’ai clac déjà clac avertie clac”
Alors je commence déjà a avoir les larmes aux yeux.
“Si tu n’arrêtes pas de chouiner, je te fesse avec la badine (cane) !”
(Je précise que je n’ai jamais reçu la fessée à la badine jusqu’à présent mais elle est suspendue à l’entrée dans le hall). Mais la menace a suffi pour me tenir tranquille.
“Garde bien tes fesses en l’air!” alors je me mets bien dans la position demandée et ‘papa’ continue la morale et moi je pleurniche.
“Ne pense pas que j’en ai fini avec toi” m’avertit papa.
A ce point je suis autorisée à me lever mais juste pour aller me dandiner dans le coin, mon pyjama à mes chevilles entravant mes pas.
“Ne bouge pas” alors il sort de la pièce.
Je ne pensais pas une seconde à quitter le coin, j’en profitait pour me frotter les fesses.
Dix minutes plus tard, papa est de retour.
Il reste debout à côté du lit alors alors que mes oreilles sont inévitablement attirées par la ceinture qui sort de ses passants.
“Ohh no ‘papa’ s’il te plait…”
“Sur le lit” ordonne-t-il. Je me présente, empile 2 coussins avant de me mettre à genoux puis présenter mon postérieur surélevé par les coussins à la cinglade qui va arriver.
“Ca sera 12, jeune fille et tu va les compter !”
La ceinture fend l’air et splat ! “Oooohhhh !” j’écrase les coussins et compte “Un !” dans un gémissement.
‘Papa’ me rappelle que si j’oublie de compte, il recommence au début. Je n’ai jamais raté un numéro alors je ne sais pas si il serait capable de le faire.
Splat ! “Deux !”
Splat ! Trois… Splat !…
A chaque coup je me baisse. Alors que nous arrivons à dix je ne pense pas y arriver. Mais j’ai la badine à l’esprit et absolument tout est mieux que ça.
Splat ! … Splat !… douze…
Nous allons nous assoir dans le canapé du salon. je suis assise sur ses genoux, mon bas de pyjama juste à me genoux les fesses à l’air il me caresse mes fesses rougies.
“Ok mon cœur, tu sais que je fais ça pour ton bien” me dit-il, mais en fait on fait ça parce qu’on aime beaucoup tous les deux.
Je me mets à suce mon pouce.
Je suis bien ‘la fille à papa’.