Une nièce pas sage

La maman de Becky demande à son frère Mike si il peut héberger sa nièce dont l’école se situe à proximité de sa maison.
Les relations entre Becky et son oncle vont très bien jusqu’au jour où le manque de sérieux commence à rattraper Becky.

Mike avait accepté d’heberger sa nièce Becky pour aller à la fac juste à côté de chez lui. Sa soeur pensait que c’était bien que Becky puisse habiter chez un membre de la famille, ça lui procure supervision et confort. Elle avait 19 ans et sa mère ne voulais pas d’une cité étudiante, elle craignait qu’elle ne sorte et boive trop. Alors elle a réussi à convaincre son frère pour veiller sur sa nièce.

Becky n’aimait pas beaucoup l’idée à priori. Elle préférait rester libre et éviter qu’un membre de la famille veille sur elle. Mais elle a vite remarqué la difference de confort entre la cité U et la maison de son oncle. Elle n’était pas très grande et avait une piscine. De plus elle était située à côté du campus. Elle connait et adore beaucoup Mike, c’est un type plutôt cool et pensait que l’idée n’était pas si mauvaise.

Les choses sont bien allées pendant les six premiers mois. Becky allait et venais en cours. Elle s’est fait des nouvelles amies et étaient invitées pour prendre un bain. Mike était bon cuisinier et préparait de bons petits plats. C’est un must. Elle n’avait pas à aller au restaurant universitaire et économisait de l’argent. Ce fût le début des problèmes.

Becky utilisait son argent pour acheter de la bière et du vin quand son oncle était au travail. Elle faisait acheter cela par quelqu’un. Puis invitait des amis pour des ‘parties’. Ils rangeaient tout pour être sûr que son oncle ne se doute pas qu’il y ai eu une fête das la journée. Becky ne pensait pas qu’il savait ce qui se passait, mais il avait noté des indices comme des mégots de cigarettes. Une petite odeur de bière dans le jardin. Il fermait les yeux tant que ses résultats étaient bons.

Becky changeait petit à petit de comportement. Elle ratais des cours et négligeait de faire les tâches ménagères qui lui étaient attribuées. Un soir, son oncle l’appelle pour qu’elle prenne place dans le canapé. Il lui explique que son comportement devien de plus en plus exécrable. Becky le reprends en affirmant « J’ai 19 ans et je fais ce que je veux ! ».

Mike répond sèchement « Tu ne fait pas comme tu veux, tes parents t’on envoyé ici pour étudier. Ils dépensent beaucoup d’argent pour cela et tu a la chance d’être dans une maison confortable. Quand ils m’on demandé j’ai accepté avec plaisir. Tout allais bien jusqu’à présent, on vivais bien, tu restait sérieuse. Alors je te suggère de changer de comportement ! Autre chose ta mère m’a aussi donné carte blanche pour maintenir la discipline. Je sais comment te puni ta mère. Je pensais que tu avais un peu plus de maturité alors ne pousse pas le bouchon trop loin. »

Alors qu’elle restait assise écoutant son oncle elle a changé d’attitude passant de l’effrontée à la fille calme et posée. Oui, il sait comment sa mère la punit. De la même manière que sa grand-mère a puni sa mère, son oncle et sa tante. Une bonne fessée déculottée sur les genoux. En fait elle se souvenais d’une fessée la culotte baissée qu’elle a reçu devant son oncle. Elle se souvient aussi d’une fessée cul nu que son oncle lui avait administré quand elle avait 9 ou 10 ans. Elle ressentait un frisson à la pensée que cela puisse arriver maintenant.

« Il y a aussi certaines choses qui me viennent à l’esprit, primo j’ai trouvé des mégots de cigarettes et je pense que tes copains doivent boire de la bière ici quand je suis au travail; deuxio j’ai aussi trouvé ce qui pourrait ressembler à de l’herbe. Autant je peux tolerer que tu boive de la bière mais pour la drogue. Je ne tolère pas ça dans ma maison ou le jardin. »

« Mais Mike je n’y ai jamais touché, mes copains mais pas moi, je te jure. » Becky commence à s’inquiéter ne pensant pas qu’il savait. Ne sachant pas quoi faire, elle commence par le déni et raconte des mensonges. Mais son oncle ne la croyait pas.

« Ma chérie, il me semble que tu raconte des mensonges. Ca commence à bien faire. Je te tends la perche mais tu persiste à mentir. Tu aurai pu être honnête, mais j’en ai marre j’apelle ta mère. »

Becky avala sa salive et « Non, s’il te plait tonton, ne l’appelle pas je t’ai menti. J’ai bu un peu et je sais que des amis avaient de l’herbe mais je veux pas ressembler à une becheuse alors je les ai laissé fumer. N’apelle pas ma mère, elle me fera revir à la maison et me punira »

« Tu aurai pu y penser avant ma chérie. Maintenant comment je peux savoir si tu me ment ou pas. » était la seule réponse de son oncle. Alors qu’il se dirige vers la téléphone Becky le supplie avec force.

« Non s’il te plait tonton, ma mère sera folle et utilisera la brosse a cheveux sur moi. Je ne veux pas quitter mon tonton préféré je ne te mentira plus jamais. Je mérite d’être punie mais s’il te plait ne le dis pas à maman. » dit-elle en larmes.

Mike s’arrête devant le téléphone. Mais au lieu d’appeler il regarde sa nièce qui a les larmes aux yeux. Il l’attrappe par le bras et l’entraine devant la canapé où il s’assoit. Becky n’était pas sûre de ce qui arriverais mais avait une bonne idée.

« Tu disait que tu mérite une punition jeune fille et comme tu ne veux pas que ta mère le sache, ça veux dire que c’est moi qui suis en charge de le faire ? » Becky est là ne sachant trop quoi dire. Elle ne voulait absolument recevoir une fessée de son oncle alors que c’est sa prime intention. Elle réfléchi en un éclair que c’est mieux que l’alternative. Etre renvoyée à la maison avec cette satanée brosse sur ses fesses. Peut être que Mike ne descendra pas sa culotte. Il lui a dit juste avant qu’elle était trop agée pour une fessée. Elle tenta sa chance.

« Ok tonton si je te laisse me punir tu ne dira rien à maman, c’est ça ? »

« C’est ça ma chérie ça restera entre nous mais laisse moi te dire que tu ne t’en sortira pas facilement. Je n’ai pas de brosse à cheveux mais je suis sûr que ma main sera plus ferme pour te donner une leçon. » Cela déçu Becky et elle ne peut y échapper.

« Mais tu a dt que j’étais trop grande pour être fessée, non ? »

« Désolé ma chérie mais tant que tu habite dans ma maison ou celle de tes parents tu connais la chanson et tu reçoit encore la fessée chez toi. C’est comme ça ou tu prend le bus pour rentrer chez tes parents »

« Okay tonton je serai punie ici alors. »

Sur ces mots, il s’assoit et tire Becky à côté de lui. « Maintenant jeune fille, tu va baisser ce short. »

Becky souffla à l’annonce de ça elle pensait jamais l’entendre de la part de son oncle. « S’il te plait tonton ne me fait pas descendre mon short » se plaint elle.

Il sait que la fessée est amplifiée par la gêne que ça peut lui occasionner. Il l’a appris par lui même. Sa mère lui descendait systématiquement ses pantalons et sous-vêtements avant de s’allonger sur ses genoux. Même à 17 ans la dernière fois qu’il fut fessée il était très gêné. « tu la sait aussi bien que moi Becky, dans la famille les fessée sont donnée cul-nu »

Connaissant l’issue Becky descent lentement son short à mi-cuisse. Elle hésite pendant un moment espérant qu’il change d’avis et qu’il ne lui ferai pas baisser sa culotte. Il se fait craquer les mains et lui dit de s’activer alors qu’elle verse quelques larmes de honte. Alors elle attrape l’élastique de sa culotte et la descent avec rétiscence pour la placer a hauteur du short. Elle place ses mains devant ses poils pubien.

Il guide sa nièce par le bras vers ses genoux, il la positonne de façon a bien lever ses fesses, attrappe son poignet droit et lui maitient dans le dos puis commence la fessée. SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK SMACK

D’une fesse à l’autre, de haut en bas il fesses son postérieur tout tendre. Becky reste calme et commence à gémir alors qu’elle commence à sentir la douleur.

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La fessée continue alors que becky commence à se plaindre et crier. Cela n’arrête pas la détermination de son oncle, il s’arrête de temps en temps pour la gronder. Son cul commence à chauffer et elle était sûre que ses fesses étaient rouges.

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A un moment, la fessée s’arrête. Son oncle l’aide à se lever et elle s’assoit sur ses genoux ou il la cajole, lui rapellant qu’elle l’a mérité. Becky sanglotte sur son épaule. Elle se lève et frotte ses fesses ne se souçiant pas de ce qu’elle montre à son oncle. Avec son short et culotte à ses genoux, elle se donne en spectacle. Mike se lève et se dirige vers la cuisine laissant sa nièce à moitié dénudée frottant ses fesses endolories.

Après cette fessée Becky redevint plus sérieuse en classe et faisait un peu moins la fête. C’était moins rigolo d’aller en cours avec les fesses rougies et elle ne voulait pas que ça recommence. Cela l’a rapprochée de son oncle et n’avait aucune rancune pour la fessée qu’elle méritais qu’il lui avait donnée. Après tout ce fût pour son bien.

Le trimestre suivant avait bien commencé mais elle n’aimais pas le cours d’histoire qui était obligatoire. Elle trouvait ça très ennuyeux et commençait à secher. Elle ne voulait pas le montrer. C’était le premier cours de la matinée et elle pouvait dormir plus longtemps. Son oncle partait plus tôt et ne savait pas qu’elle sechait. Cela continuait sans problèmes depuis quelques semaines mais un jour.

Elle se lève, en retard comme d’habitude et fût surprise de trouver son oncle à la maison. Il avait pris un jour de repos mais elle ne le savait pas. Il passe sa tête à traver la porte lui demande pourquoi elle n’est pas en cours. Elle lui dit qu’elle en se sent pas très bien. Un mensonge sûrement. Mais son oncle y a cru et il referme la porte.

Mike décide d’appeller l’école pour avertir que Becky ne sera pas en cours aujourd’hui. Il fût surpris de savoir qu’elle a été beaucoup absente à ce cours et il a des doutes sur son histoire. Il décide d’appeler sa soeur. Il l’averti que Becky est malade mais pas pour les absences répétées en cours.

dans la conversation sa soeur lui demande « Mike est ce qu’elle a de la tempéraure ? »

« Je ne sais pas je ne l’ai pas prise je ne sais même pas si j’ai un thermomètre. »

« Je lui en ai fait prendre un au cas où, mais est ce que tu a de la vaseline ? »

« De la vaseline, pourquoi faire ? tu ne pense pas à ce que je pense ? »

« Allez grand frère, tu sais ce que je veux dire et tu dois te souvenir comment maman prenait nos température même à cet age. »

Mike a un blanc et se souvient. Oh oui il se souvient de ce que sa soeur lui rapelle. Leur mère était une infirmière à l’ancienne qui ne jurait que par la température prise directement dans le rectum. Lui et ses soeur avaient leur température prise dans les fesses peu importe l’age. Il avait 19 ans quand il est tombé malade la dernière fois quand il était à la maison. Comme toujours il s’était vu demander de baisser son pyjama s’allonger sur le ventre alors que maman plantait le thermomètre dans ses fesses. Ses soeurs avaient le même destin se voyant les uns les autre le thermomètre planté dans les fesses.

« je prends toujours la température de Becky par le rectum une fois avec le bucal elle a tenté de me gruger. Elle est habituée comme ça.

« Mais ça c’est toi pas moi mais ne pense tu pas qu’elle ne va pas me laisser faire. »

« Mais bien sûr tu peux le faire, c’est pas compliqué. Ce qu’elle veux n’est pas important. Alors tu va dans sa chambre, tu prends le thermomètre et je t’appelle après. Si elle n’est pas d’accord, je passe la chercher lui faire un check-up à la maison » Mike dit ok et raccroche pas sûr du résultat.

Il marche le long du hall et se dirige vers la chambre de Becky. Il s’assoit au pied du lit « Comment te sent tu chérie ? » tout en touchant son front.

« Pas très bien tonton, j’ai mal à la tête et au ventre. » essayant de faire la voix malade.

« J’ai appellé ta mère, après avoir appelé l’école. Il m’a dit que tu a beaucoup manqué et qu’il y a un rapport avec ta maladie. Puis ta mère m’a suggéré de te prendre la température. Je pense que c’est une très bonne idée. »

Becky dit ok pensant que son oncle allait lui donner un thermomètre buccal. Elle a été très embarrassée lorqu’il lui demande « Où est le thermomètre que ta mère t’a fait prendre ? je n’en ai pas et je dois utiliser le tiens. »

Becky n’en revenait pas non, son once ne lui prendrait pas la température dans ses fesses, elle en mourrais de honte. « Allez Becky ta mère m’a dit que tu l’avais emporté »

Elle pointe son doigt vers l’armoire que Mike ouvre. Il se trouve dans une petite boite plastique sous les chaussettes. Mike la prends et lit l’étiquette marquée ‘utiisation rectale seulement’. Becky serre les dents alors que son oncle prends le thermomètre. « Je reviens » dit-il en allant à la salle de bain.

Becky Commence à s’inquieter lorsqu’il est de retour avec le thermomètre et le pot de vaseline. Elle commence à se plaindre « Est-ce-que tu dois vraiment faire ça, tu peux oublier. D’ailleurs je commence à me sentir beaucoup mieux, tu n’es pas obligé de faire ça. Je suis trop grande pour que tu me prenne la température dans mes fesses. »

« Mais non Becky je sais que ta mère te la prends comme ça, ta grand mère aussi prenait la température rectale et tu n’est pas trop grande. En plus comme tu manque beaucoup de cours, il doit y avoir quelque chose. Si tu ne veux pas que je balance toute l’histoire tu va coopérer. Maintenant mets toi sur le ventre est descend ton pyjama. »

Voyant qu’il n’y avait pas d’autres alternatives, Becky descend la couette et se tourne. Elle espérait avoir un peu de fièvre ou Mike saura qu’elle a simulé. Alors que Mike s’assoit à côté d’elle, elle baisse son bas de pyjama et expose son derrière. Elle met sa tête dans les coussins alors que Mike ouvre la pot de vaseline. Elle sent l’air frais sur ses fesses alors que son oncle prends le temps pour étaler la vaseline sur le thermomètre. « Descent un peu plus ton pyjama ma chérie. » Puis joingnant les actes à sa parole, il expose un peu plus ses fesses. Il écarte les fesses d’une main et met un peu de vaseline sur sa petite ouverture. Il avait déjà vu ses fesses avant mais là c’était pire, a 19 ans elle allait se faire prendre la température dans les fesses par son oncle. Elle soupira un peu lors de l’introduction du thermomètre. Alors qu’elle état là le thermomètre planté dans les fesses, son oncle le re rentrais alors qu’il ressortais un peu. Puis elle a senti sur ses fesses qu’il s’est mis à le tenir. Elle cru qu’elle allait mourrir de honte. Après cinq longues minutes, le thermomètre est enfin retiré. « Tu a un peu de fièvre ma pauvre Becky. »

« Oui, je me sent pas très bien, mon ventre me fait mal aussi. J’ai un peu mal à la tête mais j’aurais juste besoin d’aspirine ou qelque chose comme ça. »

« Oui, je vais aller à la pharmacie, je n’ai rien ici. reste cochée ou devant la télé en attendant que je revienne. »

Becky est contente d’avoir trompé son oncle si facilement. Il ne doit pas savoir que la température rectale est plus élevée que buccale. Cela aurait été moins facile avec sa mère. Elle sait que si c’était sa maman elle lui ferais un lavement. Pour sa mère un mal au ventre est synonime de lavement et évacuation. Elle a horreur de ces lavements et évite d’être malade chez elle à tout prix. Alors qu’elle réfléchit si son oncle se rends compte qu’elle simule. Elle aurait droit à une autre fessée et il pourrait même appeller ma mère ce qui serait le plus terrible. Elle esperait qu’il ne voit rien. Elle l’entends revenir il porte un petit sac.

« Je reviens de chez le pharmacien et m’a suggéré ce qu’il y a de mieux pour toi. Il m’a dit que si tu avait mal au ventre l’aspirine risquait d’aggraver les choses alors il m’a donné ça. » C’était flou pour Becky et elle était curieuse. Elle observait la boite que son oncle sortait de son sac. Elle ne pouvait pas lire ce que c’était. Elle s’inquiéta lorsqu’il ressorti le thermomètre et la vaseline.

« Mais pourquoi tu ressort ça, tu viens juste de la prendre tonton. »

« Relax chérie je n’en ai pas besoin maintenant mais je préfère tout garder ensemble. Le pharmacien m’a dit qu’il y avait beaoucp de grippes en ce moment et il faut bien veiller à la température. Alors je devrai vérifier à nouveau plus tard. »

Becky semblait résignée à l’idée d’être piégée. Elle s’est mise toute seule là-dedans. Elle sait que si elle ne suit pas les ordres à la lettre ça lui vaudriat une autre fessée et pire, un retour à la maison. Ce qu’elle ne voulait absolument pas. Les songes de Becky s’arrêtent alors que son oncle vient s’assoir sur le lit. Il sort quelque chose emballé dans une feuille métalique et le pose à côté du thermomètre. Becky remarque la forme allongée et se doute qu’il s’agit de suppositoires. Son plan commence à tourner au cauchemard elle ne s’attendait pas à ça et ne pouvait que jouer le jeu. Après tout si ce n’était que la prise de température par son oncle. Après l’embarras initial elle aimait bien la main de son oncle posée sur ses fesses et la sensation du thermomètre. C’était complètement différent quand sa mère ou son père lui mettaient des suppositoires. Elle se souvient comment ils étaient insérés profond dans son anus. Cela semblait irriter un peu quand le doigt s’enfonçait dans l’anus pour bien pousser le médicament. Elle allait presque tout avouer allors que son oncle met son doigt dans la vaseline. Elle ne trouva pas les mots.

« Ok Becky, montre moi bien tes fesses » Alors qu’elle baisse son pyjama une fois de plus, l’air frais lui donne la chair de poule. Son oncle souri en voyant les fesses dénudée de sa nièce avec la chair de poule. Elle doit être gênée pense-t-il. Elle sent sa main qui se pose sur ses fesses et il commence à écarter ses globes laissant libre accès à son petit trou. Il commence à étaler de la vaseline autour de l’anus puis rentre le bout du doigt dedans. « Relaxe toi Becky, ça l’aidera à passerer tout seul. »

« Je sais tonton mais c’est très inconfortable » alors qu’elle essayait de relaxer son petit trou. Elle sent le doigt sortir, elle sait ce qui va arriver après. Son oncle a la main qui maintien ses fesses ouvertes alors qu’il attrape le suppositoire. Elle ferme les yeux alors qu’elle sent ce petit objet froid et glissant être lentement indroduit en elle. Très lentement il lui introduit en entier.

« C’est presque fini chérie. Je dois l’enfoncer encore un peu. » Alors qu’il parle Becky peut ressentir son doigt qui s’enfonce un peu plus dans ses fesses poussant le médicament froid dans elle. Elle se cambre un peu et gémi quand le doigt s’enfonce encore un peu plus. Avec le doigt presque complètement enfoncé elle ressent le dos de la main qui touche ses petites lèvres. Elle commençait à mouiller et espérait que son oncle ne le remarque pas. « Ca devrait aller » Becky sent qu’il retire son doit et retire ma mains qui lui écartais les fesses. Becky se protège en voulant remonter son pyjama. Il attrape un gant de toilette humide pour se laver le doigt et l’empêche avant qu’elle ne l’ai remonté.

« Une minute chérie, laisse moi t’essuyer, jai mis un peu trop de vaseline. » Avant qu’elle ai pu protester, elle sent le gant mouillé lui essuyer son anus.

Le gant était un peu froid et elle contracte ses fesses. Puis l’épruve se finit. Elle peut remonter son pyjama. Elle remonte aussi la couette toujours troublée par ce qu’il vient de se passer. Elle n’arrive pas à regarder directement son oncle alors qu’il lui dit qu’il allait préparer à manger.

Alors que Becky prends la télécommande elle saisi le paquet de suppositoires et lit l’étiquette. Elle rale quand elle lit la posologie. A prendre tout les 4 ou 6 heures, ses problèmes ne sont pas fini.

Fin de la première partie.
End of part one

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