Quel plaisir trouve on dans la fessée ?
Déjà rien que l’évocation du mot fessée m’excite beaucoup.
Voici quelques moments qui m’ont beaucoup marqués.
Depuis longtemps j’ai toujours aimé la fessée et tout ce qui tourne autour.
Je ne l’ai jamais été dans mon enfance, est-ce que cela me manque ? Non je ne crois pas du tout. La fessée doit être juste une jeux érotique ouvrant les portes d’ébats amoureux enflammés.
J’ai commencé par me fesser moi même autour de 10 ans et j’ai beaucoup aimé.
Ensuite lors de la puberté, je fantasmais beaucoup sur ma voisine qui recevait des fessées de son père et de sa mère.
Puis arrive ma première copine sérieuse, j’ai alors 16 ans, je devais lui en mettre trois à quatre par semaines lors de nos ébats chez ses parents ou les miens, mais elle n’était pas très réceptive, elle n’aimait pas beaucoup.
Le temps est passé les copines aussi, toute se sont retrouvées sur mes genoux mais cela restait très vanille.
Un jour j’ai eu la chance de tomber sur une fille qui aimait ça vraiment et là on ne joue plus dans la même court, un peu de bonne volonté change tout.
Pour en revenir sur cette relation, c’était en discutant avec ses parents, sa mère fait allusion à un temps où les fessées étaient monnaie courantes et qu’elle avait reçue une correction parce qu’elle avait tiré la langue à son oncle.
Je n’ai jamais abordé le sujet mais le soir elle me dit qu’elle a saisi que j’aimais ça à la réaction que j’ai eu et qu’elle n’était pas contre se faire corriger.
Doucement, nous avons convenu qu’elle aussi avait tiré la langue… C’était la première, donc un peu timide mais elle s’est retrouvée en travers de mes genoux.
Je la fesses sur sa culotte, puis la descend me voilà en train de lui claquer les fesses tout en la traitant de sale gosse et elle aimait beaucoup ça. C’était partagé bien évidement.
Ce soir là pour récompense, je lui ai mis des boules de geisha avant une belle sodomie en andromaque, je m’en souvient comme si c’était hier.
La suite ne fut qu’une escalade de plaisirs.