Couple découvrant son penchant daddy – petite fille – ageplay
Après avoir passé des années aux bras de petits copains dont j’étais plus ou moins amoureuse, j’ai toujours eu un gout prononcé pour me faire fesser.
Ce fantasme très répandu m’as permis d’explorer tout un monde que je ne connaissait pas : l’ageplay, jouer aux daddy – little ddlg est le maitre mot.
Quand on étais gamins on jouais à papa – maman mais une fois adulte c’est beaucoup plus sensuel.
Me voilà face au mur, la culotte baissée à mes genoux en attendant que mon mec prépare le thermomètre et une couche dans laquelle j’ai hâte d’être langée.
Voilà un cliché en ddlg.
Comment s’est arrivé, voici quelques éléments.
Alors que la relation débutait, mon mec, Baptiste m’as rapidement mise sur ses genoux pour me fesser, ça a eu le don de beaucoup m’exciter, il a commencé doucement toujours en testant mes limites.
Comme j’aime bien jouer la petite fille il m’as parlé de pipi culotte, ça m’as donné une idée, c’est de le faire.
Après quelques pipi culotte volontaires et les fessées qui vont avec il m’avait acheté des couches roses super épaisses mais je n’en savais rien. En tous cas je n’aurais jamais pensé qu’il en acheterai. Il m’avais parlé des couches pour les petites polissonnes et je n’étais pas contre, excitée même a l’idée de me retrouver langée comme un bébé.
Des fois je boudais afin qu’il vienne me chercher et me flaque une bonne fessée.
Je l’embêtais, lui faisait les chatouilles. Au bout d’un moment qu’on s’amusait, il m’as dit stop, mais j’ai continué, j’adore faire ma chipie, une déculottée ça se mérite.
Il arrive à me tenir et commence à me faire la morale, je craque, alors je deviens toute soumise.
Il me place devant lui et commence à me dire que je me comporte comme une vilaine gamine. Ça a le don de me faire mouiller. Je sais que la fessée est imminente.
Jeux de main, jeu de vilains, il m’attrape par l’oreille mais au lieu de m’attirer vers ses genoux il m’attire dans le coin du salon.
Non quand même il ne va pas faire ça, et moi je ne vais pas rester comme ça.
Bien oui, je suis resté au coin. Il m’indique que je reste là pour réfléchir aux bêtises que j’ai faites.
Tout en me sermonnant il descend mon jeans et ma culotte et remarque que le fond de ma culotte est très humide, ça m’as encore plus excitée.
Je voulais rester dans son jeu. Je ne pouvais pas résister à l’envie de mettre ma main sur mon triangle magique.
Après quelques minutes qui semblaient bien longues il m’attrape par l’oreille et me fait marcher toute entravé par mon jean et culotte à mes genoux.
Il s’assoit et me place en travers de ses jambes. Je ne résiste pas beaucoup. Il me fait mettre les fesses bien en l’air, la position est un peu inconfortable. J’ai des papillons dans le ventre qui descendent vers mon pubis et me chatouille mon petit trou.
Il connais bien les zones érogènes avant la moindre fessée il pose sa main sur mes fesses en face de mon anus, sa main n’est pas chaude et ça me procure des sensations très agréables.
Il me traite de vilaine fille pendant que la fessée commence.
Je suis surprise par la fermeté de sa main, il n’y va pas de main morte, putain ça pique.
Je ne peux pas m’empecher de me tortiller, mais ça continue. Il fait un break, ouf.
« J’espère que tu va mieux te comporter maintenant » dit il alors qu’il repris la fessée.
« Aïe putain ça fait mal ! » répondis-je.
Oh l’erreur, que n’avais-je pas dit !
« Pardon ? je vois que tu parles mal en plus ? » sa fessée s’amplifie, je me sens toute penaude.
« Je suis désolé Daddy » c’est sorti comme ça, naturellement. J’ai appelé mon mec Daddy. Ce fut très naturel et il l’as bien reçu. Il m’as dit plus tard qu’il avait été touché.
Cherchant à couvrir mes fesses il marque un temps d’arrêt et me tiens fermement les mains dans le dos.
Pour donner du réalisme je gigotte les jambes sans trop entraver la fessée. La douleur n’étais pas insupportable mais laissait place à une douce chaleur, mes fesses rougies demandaient plus encore.
Il a du ressentir cet appel. Claquant alternativement une fesse, l’autre avec vigueur, le rythme était parfait, sa main faisait résonner un doux claquement qui stimulait tout mon corps.
Il s’arrête et du pouce et de l’index m’écarte les cuisses, je l’ai aidé en remontant les mes fesses et écartant mes pieds libérant la vue des ma chatte toute mouillée.
« Comme tu t’es comportée comme un bébé, tu sera traitée comme un bébé »
Je ne savais pas ce que ça voulait dire mais avait confiance en lui.
Il me fit me lever et me mis au coin à nouveau, je boudais mais je restais résignée.
Il part dans la chambre, j’entends des bruit de plastique ça réveille ma curiosité, je ne savais pas du tout ce qu’il avait en tête. Ce mystère continuais à m’exciter.
Le voilà revenir, un thermomètre et une couche, je suis toute excitée, je n’ose pas dire non j’ai trop envie qu’il s’occupe de moi et pas envie de prendre une nouvelle fessée car si je désobéi il me remets sur ses genoux et bis répetita.
Il déplie la couche, je regarde toute étonnée, ça fait du bruit, le plastique croustille, ça a l’air épais et qu’est ce que c’est grand. Ne connaissant que les couches de bébé là je reste bouche bée.
Il me demande de venir, j’avance timidement et il m’invite à m’allonger sur le canapé sur le dos. Je m’exécute puis il soulève mes jambes et glisse la couche dessous.
Il me demande de venir, j’avance timidement et il m’invite à m’allonger sur le canapé sur le dos. Je m’exécute puis il soulève mes jambes et glisse la couche sous mes fesses et il me relâche.
Ça me fait très bizarre, c’est tout doux, mon cucu tout rouge posé sur l’intérieur rembourré de la couche donne des sensations très agréables.
A nouveau il me soulève les jambes mettre mes genoux vers am poitrine et me les fait tenir.
Je me sent plus qu’exposée, il secoue le thermomètre et le mouille. Je me sent vraiment toute petite et vulnérable mais il est là et je lui fait totalement confiance. C’est toute excitée qu’il m’introduit le thermomètre dans l’anus. Il le rentre, le sort, le tourne. Il le tiens toujours dans sa main les sensations s’accentuent. Puis il pose la main sur mon clito, j’ai du mal à tenir. Il se mets à genoux et commence à me lécher la vulve, il s’applique sa langue passe dans tous mes recoins, sa main sur le clito et la petite sensation dans mon petit trou c’est un grand moment.
Ce qui m’as fait monter dans les tours c’est aussi de sentir mes fesses toutes chaudes.
Je n’ai pas boudé mon plaisir et me suis laissé aller à un bon orgasme. Il a fini le taf parfaitement decrescendo dans les stimulations, retiré le thermomètre et m’as fait poser mes jambes.
Je n’ai pas pu m’empêcher de rire, un rire de plaisir profond, pour le remercier de ce moment tendre et câlin.
Il m’as ensuite refermé la couche, il fait ça tellement bien, je suspecte que je ne sois pas la première qu’il a langé mais j’ai tellement pris de plaisir que la couche me donne une continuité dans le plaisir des sensations entre mes jambes et sur mes fesses.
Je me sent entière, aimée câlinée, prise en main.
Je n’ai pu résister et lui ai retiré son pantalon et descendu son caleçon.
De la même manière dont il s’est occupé de mon entre jambes j’avais très envie de sucer son sucre d’orge, sa bite était là, toute raide, attentive.
Je l’avale, tout en délicatesse, je fait monter son plaisir petit à petit avec des mouvements de tête en alternant avec la main. Je sens ses contractions.
Sa main se ballade sur ma couche, mes fesses et sous ma couche. Je ressent son ardeur à travers mon vagin son doigt me fouille et me donne envie de lui donner du plaisir.
Je sent qu’il est moins actif, je relâche le rythme et prends son sexe dans ma bouche, doucement tout en bouche en massant ses bourses et son entrejambe je le sent gémir et arrive le liquide chaud, je n’avais jamais avalé auparavant, mais là ça coulait de source, au sens propre et au figuré. Je dégustais sa semence avec délectation, je partageais son orgasme. Lui aussi s’est mis à rire de bien être.
Le zizi bien propre, je lui demande s’il veut que je lui mette une couche. Il a accepté avec plaisir.
Il est allé en chercher une et m’as montré comment l’ouvrir la placer et bien l’attacher confortablement.
Voilà ma première expérience langée qui en appelle d’autres.