Discipline et fessée ou la thérapie du bien-être

Discipline et fessée ou la thérapie du bien-être

Certaines personnes ont besoin d’être recadrées par une aide extérieure. La proscratination par exemple. Mon amour, tu pourra ranger tes affaires s’il te plait. Une semaine après, c’est toujours la pagaille.
Certaines personnes ont besoin d’une bonne fessée pour arrêter de se lamenter, ou passer à l’action.
Cette passivité peut être relativement destructrice et un appel à l’aide peut se faire par une autre personne.
Certains fantasment sur la fessée, beaucoup d’entre nous d’ailleurs. Elle peut être pratiquée en couple ou à l’aide une tierce personne.
Cela soulève beaucoup de taboos mais si on arrive à franchir le pas, cela devient une véritable bénédiction.

Grandement inspiré d’un blog que j’adore : Discipline Domestique
Comment associer fessée et bien être ?
Cela a l’air saugrenu de premier abord, une douleur pour un bien être ?
Cela est possible grâce à la création des hormones du bien être : les endorphines.
Lorsque le corps est soumis à une agression et plus particlièrement douloureuse, le corps réagi et le cerveau ordonne la création d’endorphines.

Lors d’une fessée, le cerveau va charcher à compenser la douleur subie par la création d’endorphines. C’est ce qui permet de se sentir bien dans sa peau. Si la fessée est bien dispensée elle sera salvatrice et la personne ayant ses fesses rouges et endolories se trouvera soulagée par expiation de son forfait, pardonnée de ses actes. De plus les endorphines feront effet, deux effets positifs s’ajouterons. Celui d’avoir “payé” pour son erreur et l’autre par l’effets des homones.

C’est notre cerveau qui nous procure ces sensations.

Dans nos sociétés il est difficile d’accepter de montrer ses fesses nues. La fessée est un acte très intime. Les parties concernées – les fesses – sont entourées de tabous très tenaces.

Comment franchir ce pas ? Cela n’est pas naturel mais internet peut grandement aider à se renseigner. On pourra vite se rendre compte que nous ne sommes pas seuls.

N’avez vous jamais pensé à recevoir une bonne fessée ?

C’est tout bête mais j’y ai pensé à de nombreuses reprises. Pas dans un acte de soumission mais dans un jeu de rôle dans lequel je suis le vilain garçon. Dans ma vie je me suis donné des fessées lorsque j’étais seul ne pouvant pas demander cela à mes parents. Trop de honte.

J’imagine la scène : “Maman, je me sent pas très bien, tu peux me fesser s’il te plait ?”
“Retire ton pantalon et penche toi sur la table basse, je vais chercher le martinet”

Cela ressemble à de la science-fiction, mais c’est un peu ce que j’aurais voulu.

J’ai même rêvé que mon voisin me donnait une fessée. Cela m’avait bien plus. Mes premiers fantasmes d’adolescent tournaient autour de la fessée.

Lorsque j’étais seul à la maison, je me déculottais me mettais en position à 4 pattes ou en travers de la cuvette des WC et je me donnais une bonne fessée avec un brosse à cheveux mais le plus souvent d’était à l’aide d’une spatule en bois. J’arrivais à me fesser jusqu’à avoir des contusions. mais cela me plaisiat. Je ne connaissait pas encore le plaisir de la masturbation mais les fessées que je m’infligeais me procuraient vraiment beaucoup de plaisir.

Un jour dans dans le magazine “LUI” j’ai lu des histoires et vu des images sur le film “Histoire d’O”. Une vraie révalation.

Depuis une grande partie de mes fantasmes tourne autour de la fessée. Au plus je prenais de la maturité au plus je comprenais que la fessée pouvait être débarassée de toute relation sexuelle.

Malgré sa forte connotation sexuelle, déculottage, montrer ses fesses et eventuellement ses parties génitales, cela peut rester dans un strict cadre punitif, comme nous avons tous reçu une fessée et sommes allés au coin quand nous étions plus jeunes.

Dans mon adolescence, j’ai eu la chance d’avoir une longue relation avec un pettie amie. La fessée m’obssedais, je ne pouvais pas me retenir de lui flanquer une fessée par jour, déculottée bien evidement. C’était de petites fessées mais cela restait très excitant, d’autant qu’à 17 , 18 ans on peut être très actif sexuellement.

Dans cette période de ma vie, début 90, internet n’étais pas présent, j’ai du aller acheter un magazine dans un sex shop. Un plug aussi 🙂

Cela m’a apporté beacoup plus qu’à ma copine.

Je parlerais de cela dans un prochain épisode.

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